
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
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La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
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2233 Commentaires
Bien sur la réfondation politique et institutionnel je propose
1. Réduction des nombres de partis politiques au moins trois et au plus cinq
2. Repartir les bureaux des ministère dans les différents régions du pays .
3. Chaque représentant des peuples Nigeriennes au parlement doit obligatoirement avoir son bureaux au centre de population qu’il représente cela va permettre de vivre avec eux et de répondre à leurs besoins
4. Chaque parti politique doit avoir des objectifs claires des vision du développement et quoi qu’il arrive restée sur ses ambitions
5. Assurer la continuité de l’état et de gouvernance quel qu’en soit le partis politique qui arrive
Sur nos institutions déjà j’ai vu de nombreuses réformes qu’on est entrain de faire j’encourage à œuvrer dans ce sens , des visites inopinée qu’on fait ce de bonne chose merci que Dieu Allah le tout puissant miséricordieux protège le Niger de ces ennemis internes et externes amine
Nous proposons le remplacement de la laïcité au nom d’une République Islamique vu que à 99% la population est musulmans. Sans que les autres religions ne soient discriminé aussi
Dissoudre tous les partis politiques .
Limiter le nombre de partis politiques
Éliminer de la course tous les tous anciens dirigeants qui ont participé aux trente ans de gestion du pouvoir. S’ils n’ont pas participé au pillage, ils ont contribué.
Mettre des garde-fous pour éviter la prédation.
Aslm salam alaykoum cher comité ma proposition concerne notre système éducatif Svp chère comité l’EPS enseigné doit refléter notre culture islamique au moins les filles ont les apprend comment cuisiner ou comment faire la couture que de amener sur le terrain presque nue pour sauté où courrire svp il faut réformé laissé les filles apart
Suprimer tout les partis politiques et aussi leurs leader si vraiment le Général ne veux pas continuer
– réduire le nombre des partis politiques: seuls ceux qui ont un maillage national peuvent être considérés comme tels
– mettre des gardes fous pour que la gestion du pays ne soit pas aux mains d un clan
– pratiquer effectivement la séparation nette des 3 pouvoirs: judiciaire, législatif et exécutif
On veut une justice libre
L’épine dorsale!!!
Tout se joue ici,
Sans faire trop de bruit, je propose:
– Encadrer les partis politiques et leur fonctionnement : poser des principes qui ne vont pas laisser persister les partis-boutiques qui ne peuvent faire élire même un conseiller, ainsi tout parti politique qui, à la sorti des élections n’a pas pu faire élire au moins un député nationale et au moins un conseiller locale dans chaque région, ou qui ne participe pas aux élections, sera d’office dissout,
– tout élu ou ministre qui quitte son parti perd automatiquement son poste,
– Il faut que la prochaine constitution donne un canevas du nombre des membres de gouvernement,
– il faut aussi prévoir que les ministres périodique(par an) passent devant la presse publique et privée et un public pour présenter leur bilan et répondre à des questions sans restriction
– Pour l’assemblée nationale : il faut prendre des dispositions pour que les députés soient véritablement nationaux, représentant la nation et non leur partis politiques. Il faut supprimer les groupes parlementaires et détacher le député carrément de son parti comme pour le président de la République,
– il faut aussi prévoir que les sièges de députés seront accordés par la CENI conformément à la liste présentée par le parti, il ne faut pas qu’une personne dynamique batte campagne, les gens votent pour elle et après le parti accorde le siège à un « vaurien » qui va aller dormir à l’assemblée nationale
– Les élus font le bénévolat en principe, il faut donc prendre des dispositions pour que les uns et les autres ne s’accaparent pas des ressources de l’Etat pour leurs indemnités il faut limiter les indemnités
– Il faut que les listes des partis politiques pour les élections législatives et municipales comportent un pourcentage élevé obligatoire des jeunes.
– Il faut aussi limiter catégoriquement le nombre de conseillers du président, des ministres et à l’assemblée nationale
– Il faut prévoir que tout accord militaire avec une puissance étrangère soit validé à l’unanimité par l’assemblée nationale
– Il faut mettre en place une institution de lutte contre le conflit d’intérêts
– Pour le volet décentralisation : je propose que le niveau régional soit supprimé et renforcer le niveau communal
1. PRINCIPES FONDAMENTAUX DEVANT REGIR LA TRANSITION :
Dans le cadre d’une transition de trois ans :
1.1. Rupture et réorientation diplomatique
• Nous encourageons le CNSP et le gouvernement de transition à rompre les liens diplomatiques désavantageux, à fédérer les politiques étrangères des 3 pays de l’AES et nous rapprocher du bloc des BRICS qui redessinent la géostratégie mondiale.
1.2. Renforcer les liens de développement et de sécurité avec le Mali et le Burkina Faso
• Nous exhortons le CNSP et le gouvernement de transition à œuvrer à renforcer les liens de coopération sécuritaire au sein de l’AES et travailler à leur élargissement à des domaines porteurs d’avenir pour les peuples de la zone.
1.3. Promouvoir des accords stratégiques
Nous exhortons le CNSP et le gouvernement à promouvoir des accords stratégiques de long terme ayant des volets militaires, industriels, commerciaux et financiers avec :
• La Fédération de Russie (armements, avions militaires, avions commerciaux, exploitation minière et pétrolière et financement des échanges par les monnaies nationales) ;
• La République Populaire de Chine (armements, avions commerciaux, commerce, industrie, exploitation minière et pétrolière et financement des échanges par les monnaies nationales) ;
• La République Islamique d’Iran (armements, avions commerciaux, commerce, industrie, exploitation minière et pétrolière et financement des échanges par les monnaies nationales et le troc) ;
• La République de Turquie (armements, avions commerciaux, exploitation minière et pétrolière et financement des échanges par les monnaies nationales).
1.4. Sécuriser le pays
• Renforcer les FDS en formation et en équipement afin de faire du Niger une puissance militaire ;
• Contracter toutes les alliances militaires nécessaires à l’éradication du terrorisme et la défense contre toute agression étrangère.
1.5. Promouvoir la sérénité nationale
• Être à l’écoute du peuple en entreprenant avec courage les réformes politiques, économiques et sociales demandées dans le débat national ;
• La justice, par la traduction devant les tribunaux de tous les auteurs de crimes économiques et financiers contre le pays ;
• Réconcilier l’Etat et la religion, eu égard à l’attachement des Nigériens à l’Islam et au rôle de premier plan joué par cette religion dans le réveil citoyen et la mobilisation populaire contre les ennemis du pays.
• Maintenir et renforcer le rôle et la place de choix de la chefferie en tant que structure sociale collaboratrice de l’administration, en lui conférant une position importante au sein du processus de décentralisation ;
• Institutionnaliser son rôle de médiateur dans la société
1.6. Libérer le pays de toute servitude étrangère et institutionnelle
• Dénoncer tous les accords de servitude coloniale et d’assujettissement à l’ordre mondial ;
• Soustraire la gouvernance économique du pays à toute domination et système de pillage, en posant des actes concrets traduisant notre pleine souveraineté sur nos ressources naturelles et nos terres ;
• Sortir le Niger de la Cour Pénale Internationale (CPI) et réaffirmer l’indépendance de sa justice.
1.7. Emanciper et promouvoir la chefferie traditionnelle
Une vision nationale
Des valeurs morales
– Patriotisme
– Justice
– Islam
– Valeurs sociales
Politique de souveraineté
2. PRIORITES NATIONALES DURANT LA PERIODE DE TRANSITION
Nous exhortons le CNSP et le gouvernement à jeter les bases d’une économie nigérienne émancipée du pillage étranger et à sortir des sentiers battus des politiques publiques pour créer de la richesse et du développement économique et social. La période de transition est cruciale pour opérer les réformes ci-après.
2.1. Sortie du paradigme néolibéral sur le développement
Nous recommandons au CNSP et au gouvernement de transition de promouvoir :
• Une gouvernance en rupture d’avec le système néolibéral qui appauvrit et affaiblit l’Etat au point de le rendre incapable de s’assumer face à ses missions ;
• Un retour de l’Etat dans la valorisation des ressources naturelles ;
• La nationalisation progressive du secteur minier à l’exception du pétrole, du gaz et des salines ;
• La création de grandes entreprises publiques pour prendre en charge tous les grands secteurs productifs (énergie, agriculture, mines, industries, services). (VOIR 2.4.)
2.2. Monnaie nationale
Nous proposons au CNSP et au gouvernement de transition de sortir le Niger de la servitude appauvrissante du Franc CFA pour promouvoir dans un délai d’un an une monnaie nationale ou de l’AES qui s’attèlera à la transformation de l’agriculture, à l’émergence d’une classe moyenne rurale et au développement industriel. Le cas échéant, la nouvelle monnaie sera nationale, mais pourra négocier des parités fixes avec le FCFA et les autres monnaies nationales africaines.
2.3. Renégociation des contrats pétroliers et nationalisations du secteur minier
L’ANASI demande urgemment au CNSP et au gouvernement de transition :
• Une renégociation des contrats de partage de production de pétrole brut avec les partenaires comme CNPC de Chine en vue des parts nigériennes de 80%. Les contrats pétroliers doivent désormais se renégocier en imposant un remboursement des investissements étrangers sur une période de cinq ans au maximum ;
• La nationalisation de toutes les mines d’uranium ;
• La production d’uranium naturel pour dépasser le stade d’uranate auquel ORANO et toutes les autres compagnies ont confiné notre pays depuis plus de 50 ans. Pour ce faire un partenariat basé sur la fourniture de technologies est requis avec la Russie ou l’Iran ;
• La nationalisation intégrale du secteur aurifère, comprenant l’interdiction planifiée de l’orpaillage qui s’avère être un pillage organisé par les multinationales tapies aux comptoirs d’achats pour contourner les exigences financières, sociales et environnementales des contrats formels avec nos pays ;
• La nationalisation de la distribution d’hydrocarbures
• L’audite de tous les permis d’exploration et d’exploitation sur tous les métaux et minéraux ;
• La création de grands groupes miniers et pétroliers pour prendre en charge la valorisation des ressources naturelles.
2.4. Implantation d’industries structurantes pour l’économie
Nous demandons au CNSP et au gouvernement de transition de créer les conditions d’une autonomie nationale dans les domaines suivants :
• Energie électrique, par l’implantation d’au moins deux centrales thermiques, dont une à charbon (Salkadamna) et une à gaz naturel (Zinder) ;
• Acier, par l’implantation d’au moins un complexe sidérurgique à Say ;
• Ciment par l’implantation d’au moins deux nouvelles cimenteries dans l’Ader-Doutchi et à Kao ;
• Engrais, par l’implantation d’au moins deux usines de production d’engrais à base de phosphore, azote et potassium, notamment en réhabilitant l’usine de phosphate de Tahoua ;
• Céramiques (carrelages, sanitaires, faïences), par l’implantation d’au moins deux usines ;
• Plâtre et craie l’implantation d’usine de plâtre et production de craie scolaire à Tahoua à partir du gypse de l’Ader Doutchi.
2.5. Déclassifier des zones du patrimoine mondial
Nous demandons au CNSP et au gouvernement de transition de lever souverainement les mesures de classification de certaines parties du Parc du W et du Massif de Termit au patrimoine mondial de forêts et de faune. Ces zones concentrent d’immenses ressources naturelles nécessaires au développement du Niger (phosphate, alunite, fer, kaolinite, bauxite, diatomite) et leur versement au patrimoine mondial fut fait hâtivement, dans l’ignorance de ce potentiel.
2.6. Clarification du potentiel minier et pétrolier du Niger
Nous recommandons au CNSP et au gouvernement de transition d’engager une prospection systématique pour mieux préciser le potentiel minier et pétrolier de tout le territoire national. Cela permet d’asseoir la souveraineté sur nos ressources et planifier leur exploitation en fonction de nos besoins et priorités.
2.7. Agriculture et élevage
Nous demandons au CNSP et au gouvernement de transition de formuler un programme d’infrastructures agricoles, axé sur :
• La finition et la mise en fonctionnement effectif du barrage de Kandadji
• La construction d’un barrage à Gambou (en aval de Say) aux fins d’irrigation et d’hydroélectricité
• La construction du barrage de l’Irhazer
• L’érection de nouvelles retenues d’eau de ruissellement dans toutes les régions favorables ;
La transformation de l’agriculture se fera en outre par :
• La grande irrigation à partir des grandes nappes quaternaires des Dallol, du bassin du Lac Tchad et fossiles de l’Irhazer, conduite par des entreprises étatiques ;
• La mécanisation, grâce à l’implantation d’unités d’assemblage de tracteurs russes, chinois, iraniens, indiens, nord-coréens, pakistanais, etc. ;
• Le développement de l’agriculture périurbaine.
2.8. Transports aériens
Nous recommandons au CNSP et au gouvernement de transition de créer une compagnie aérienne nationale pour le désenclavement intérieur du pays, de la sous-région et pour solutionner définitivement le problème d’acheminement de pèlerins vers les lieux saints.
2.9. Télécommunications
Nous demandons au CNSP et au gouvernement de nationaliser la compagnie NIGER TELECOMS et de créer les conditions pour sa compétitivité.
2.10. Assainissement des mœurs sociales et politiques
Nous demandons instamment au CNSP et au gouvernement de mettre fin aux activités de :
• La société CANAL+, dont les programmes diffusent l’immoralité et autres déviations sexuelles ;
• PMU-Niger, activité de jeu de hasard constituant une source de saignée financière sans contrepartie de valeur ajoutée à l’économie ;
• Marie Stoppes et toutes les ONG promouvant les immoralités sexuelles au Niger (éducation sexuelle à l’école, homosexualité, entrave à la natalité, etc.).
3. VALEURS FONDAMENTALES DEVANT GUIDER LA REFONDATION DE LA REPUBLIQUE
3.1. De la République du Niger
• Une nation une et indivisible, démocratique et sociale, dans une forme républicaine.
3.2. De la démocratie :
• Une démocratie assainie, moralisée conformément à nos réalités socioculturelles et religieuses ;
• Un parlement de 71 députés ;
• Un conseil économique et social de 21 membres, qui veille sur les orientations économiques et sociales du pays ;
• Un consensus sur un programme de développement économique et social et des orientations stratégiques et géostratégiques.
3.3. Institutions de la république :
• Un conseil économique et social, gardien d’un programme économique et social consensuel ;
• Parlement de 71 députés nationaux ;
• Conseil de la défense ;
• Conseil de la magistrature indépendant du pouvoir exécutif ;
• Conseil islamique national.
3.4. De la place de la religion
L’Etat reconnaît l’Islam comme « religion d’Etat ». Il garantit le libre culte, protège toutes les religions et veille à la tolérance entre les croyances.
La reconnaissance de l’Islam comme religion d’Etat implique :
• L’interdiction de tout ce qui nuit à sa libre pratique, sa morale et ses valeurs ;
• L’enseignement de l’Islam dans les écoles primaires, les collèges et les lycées ;
• Des investissements de l’Etat dans la promotion de l’Islam ;
• La reconnaissance du service des Imams de vendredi comme service public ;
• L’abrogation de la Loi sur le culte.
3.5. Critères d’éligibilité aux hautes fonctions de la république :
Seront inéligibles aux fonctions politiques et de gestion dans l’appareil de l’Etat, les personnes :
• Reconnues de mœurs légères ;
• Soupçonnées ou coupables de détournements de deniers et biens publics ;
• Impliquées dans les trafics illicites, les rébellions contre l’Etat, etc. ;
• Ayant appelé des forces armées étrangères à agresser le Niger ;
• Incapables de justifier leurs biens meubles, immeubles et sommes d’argent en espèces et en dépôts bancaires ;
• Ayant joui d’emplois fictifs de conseillers des institutions (présidence, parlement, primature, CESOC) ;
• Ayant loué des « villas conventionnées » à l’Etat ;
• Ayant fait du faux et usage de faux.
Bonjour à tous,
Au Niger nous sommes à 99% musulmans pourquoi pas faire une République islamique basé sur islam.
Et oublier pas d’autre Nigerois qui sont des organisations qui se retrouvent en chômage.
Revoir le mode d’organisation des élections pour empêcher les fraudes par exemple faire le dépouillement sur place parce la fraude se fait au moment du trans port des urnes d’un point à un autre.
Nous voulons des institutions qui reflète nos réalité et non du copier coller. Le Niger est pays en majorité musulmans d où la nécessité de suppression de la laïcité de l États et l enseignement de l islam à l école