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Mémorandum N°0002/ MA/2/2025Appel aux Citoyens, Rêve d’une Administration Contribution Intellectuelle au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), au CNSP, aux Assises Nationales Notre Administration, l’Autre Manche du CombatExcellence, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat ; Mesdames et Messieurs, Chers citoyens et citoyennesPréface : Par la grâce d’Allah, le Miséricordieux, l’honneur m’échoit en tant que citoyen lambda, dans les limites de mes capacités de nous prêter à cet exercice de soutien du noble combat pour l’avènement de la souveraineté, de la dignité, de l’indépendance totale. Cela, avec ce modeste support de communication et d’engagement de tous. Excellence Monsieur le Président, en prenant pour référence votre dernière adresse à la nation de fin de l’année, en rappelle, vous aviez solennellement invité les citoyens à dénoncer les tares qui minent notre pays. Pour en venir justement, nous en convenons d’être plus général, mais impartial et intransigeant face à tous les citoyens en leur offrant ce modeste modèle de dénonciation plein d’inspiration. L’expression de ce devoir citoyen se fera sous les angles de la restauration de l’ordre moral de défectuosité dans notre administration d’une part, d’autre part de l’ordre factuel du travail. Ça ne sera non plus de la création d’un mode ou miracle, mais d’un rappel de plus, à l’image du ‘’prêche ‘’, loin de toute connotation politique ou clanique. Introduction : L’initiative du présent mémorandum, de critique, autocritique et surtout de dénonciation est digne d’intérêt général et nationaliste, surtout pour l’avènement d’une administration de refondation, devant répondre impérativement aux préoccupations réelles de ses usagers, avec toute la célérité requise, qui est synonyme de diligence, promptitude et d’efficacité. Comprenons ici, le retour de ses valeurs cardinales pour sa relance d’une part et d’autre part sa résilience. Cette contribution intellectuelle exhorte le Devoir Moral des Citoyens à travers un regard franc. Celui d’une Convergence Unanime, fondée sur notre meilleure compréhension, conviction et exaltation dans la même direction du mouvement patriotique. Les idées qui rentrent en ligne de compte tirent leur essence de l’expérience de terrain. Certes nous notons quelques insuffisances liées à la modicité des moyens et au temps imparti, ou à la complexité du sujet. Ce mémorandum porté à votre amiable appréciation est un message citoyen à l’endroit de tous les Nigériens. Il est une œuvre de participation aux perspectives courageusement entamées par le CNSP. L’on ne peut prôner un tel raisonnement sans en tirer les leçons qui s’imposent avec bien sûr des illustrations, ‘’Labu sani no-Zancan kasa né’’.
Contenu moral et illustrations : La date mémorable du 26 juillet 2023 est plus que gravée dans tous les esprits pour la marche de notre nation, la République du Niger et des autres pays de l’alliance (AES), le Mali, le Burkina Faso. Dès lors, l’armée nationale, sous le leadership de SE Le Général de Brigade Abdouramane TIANI, Président de la République, Chef de l’Etat, Président du CNSP a jeté les bases de notre souveraineté. Comprenons par-là, que nous tournons le dos à l’histoire coloniale de notre pays, avec toute la sérénité, la sincérité à l’aune de l’engagement à la mission de sauvegarde de la patrie, loin de tout qualificatif rétrograde tendant à maintien nos esprits dans le vil carcan impérialiste, pire forme d’endoctrinement incarnant tout court un état de précarité psychologique. Encadré N° 1 : Transition, junte, etc. sont des termes taillés sur mesure comme d’habitude pour valoriser la démocratie type frelatée et importée. Ils nous commandent de les décrier dans leur ensemble. Par contre, Il y’en a bien d’autres que nous convenons de tenir comme des discours respectant la déontologie et l’éthique de la communication, par ceux qui sont habilités à s’adresser au peuple. Absolument, le langage de sincérité s’impose à tous. Dieu merci, nous pouvons désormais nous adresser alaises et avec fierté au Président de la République, Chef de l’Etat, en toute confiance n’en déplaise aux valets occidentaux. Tel est le vrai sens que nous enseignent les principales terminologies courantes dont la souveraineté, la dignité, l’indépendance, le patriotisme, la justice sociale, etc. qui tendaient avant la date historique du 26 Juillet 2023, vers de pires péchés, face à l’impudence politique.La Nouvelle ère, d’un ordre nouveau nous commande l’intégrité, la conscience, la responsabilité, l’humilité, la vigilance, la modestie, la sincérité, la bonté, somme toute un bon comportement vis-à-vis de l’intérêt général. Nous les retrouvons déjà dans l’hymne national ‘’l’honneur de la patrie’’, guide de notre rythme, de tout temps et en toute circonstance. Fondamentalement ‘’souverains’’, nous sommes nous-mêmes, point d’autres. L’engagement total de tous en est notre modèle, c’est-à-dire, resté debout à jamais. Comprenons-nous tous, que toute responsabilité conférée au citoyen un temps soit peu, aussi minime qu’elle soit, n’est point synonyme d’ignominie, zèle, ni accaparement, qui sont tôt ou tard détectables et condamnables. Encadré N° 2 : Nous osons souvent penser que l’injustice relève souvent d’une tare judiciaire. Plus que sûr, l’administration en est pour quelque chose en termes de déni crucial de servir le peuple, loin de travailler dans le sens de l’éthique, de la déontologie, des RDG et d’autres lois. Pourtant ces textes sont clairs et faciles à appliquer avec une bonne dose par les responsables honnêtes. Une administration tendancieuse hypocritement tenue, infâme, essouffle énormément la justice, freine et inhibe le développement. Au passage c’est inéluctablement, expressément ce qui justifie plein de soucis à peine voilés (détournement de biens, d’objectifs, blocage de procédures, favoritisme/passe-droit, irrégulaté et retards criards des avancements, s’ils ne sont pas sélectifs et claniques, etc.). Les affaires priment véritablement sur le droit, au point où de nombreux responsables en ont été victimes et épinglés dans leurs propres turpitudes. Leur malhonnêteté ne leur permet point de sanctionner, ni de restaurer l’ordre. Ils se sont ainsi condamnés à servir dans l’injustice. Fondamentalement, cette injustice est à l’origine du non fonctionnement normal des conseils de discipline.
Au regard de ce qui précède, nous nous invitons individuellement et collectivement à assumer notre devoir, tout juste comme notre partition. Suite à notre nomination, nous demeurons des agents de l’Etat. Les agents de l’état que nous sommes, dans la préservation d’abord et l’observance du droit dans toute sa plénitude, vis-à-vis de la mission et des intérêts de l’administration et à travers elle, de tous les citoyens. Notre position, aussi grandiose soit-elle, ne peut point nous dérober du fait d’être l’agent, ni de nous en arroger ou déroger.Quelle que soit notre compétence, nous ne suffiront pas techniquement et stratégiquement pour l’atteinte de l’objectif, qui par essence requiert un travail d’équipe. Notre position, aussi grandiose, ne peut point nous dérober du fait d’être l’agent, ni de m’en arroger à outrance.La responsabilité est synonyme de gouvernance vertueuse, de veille et de vigilance sur nous-même d’abord et ensuite sur les autres dans les mêmes normes et conditions d’agent de l’état tout court. Encadré N°3: Malgré la taille de ce mémorandum, nous ne clôturons pas ses lignes sans tirer les leçons sur les principes et les bases de fonctionnement de administration, qui en constituent l’objet, tendant à sa banalisation sous trois (3) ordres, notamment: *Les prises récurrentes de causes et effets en lieu et place de la hiérarchie destinataire, dans le sombre dessein de blocage, de destruction, de manière ouverte, tacite des intérêts de l’état et d’autrui (citoyens) ; *Le déni de devoir, soit de servir, d’accompagner/assister, d’appuyer les opportunités. *L’usurpation de titre et la monopolisation, constituant les sources de la chasse aux postes comme gain facile et la culture du clientélisme dû à l’incompétence de certains agents. Les mérites qui en découlent frôlent souvent l’hypocrisie, tout comme les sanctions despotiques, contre les plus imbus. Nous les chefs, nous y tombons en raison de nos propres turpitudes, souvent de violation flagrante de la loi, reléguant la saine compétitivité, les conseils de discipline aux calandres grecs, qui sont pourtant des instances de plein pouvoir d’état, exclusivement fondées sur le droit.Par ses manières, nous les chefs, nous provoquons très certainement nos propres regrets, pas plus. Par conséquent, mobilisons-nous tous contre les dérives et certainement nous en découvrirons nos insuffisances. Par la suite nous dissiperons allègrement nos désarrois dans un simple et sincère mea-culpa. Comme le recommande l’intégrité, la compétence au sein de l’admiration pour toutes les âmes éprises de valeur. Nous tirons la conclusion que l’incompétence est pire que l’ignorance, c’est-à-dire la pire manière d’être ignorant. Résilients nous sommes et demeurons, avec comme seul code d’honneur la tolérance zéro à l’endroit de l’agent de l’état : – Contre toute infraction dans l’administration, contre notre peuple et l’intérêt général ; – Contre toutes les ingratitudes, malhonnêteté, paresse, hypocrisie, avidité, opportunisme vis-à-vis de notre administration, qui nous a fondamentalement et gracieusement tout donné ; – Contre la culture de l’incompétence. Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat ; Nigériens, Nigériennes ; chers citoyennes et citoyens,
Permettez-nous de louer votre haute amabilité pour conclure par ces mots et citation : Ainsi, incarnons véritablement le principe sacré de notre habilitation pour servir l’état selon ‘’Labusani no-Zancan kasa né’’. Bannissons tous et à jamais l’injustice, la discrimination, le trafic d’influence, la collaboration avec l’impérialisme, le despotisme, etc., d’une part et d’autre part respectons scrupuleusement les lois, les serments, les engagements avec dévouement, dignité, loyauté, intégrité, impartialité, courtoisie et probité morale. Cet idéal, point de convergence de tous les citoyens, devra être soutenu et partagé en permanence par tous. Le Dix Huit (18) Décembre 2024, SE le Général de Brigade, Abdouramane TIANI, Président de la République, Chef de l’Etat, disait, nous paraphrasons : Chaque responsable rendra compte au peuple et conséquemment devant Allah. Nous tenons à rendre un hommage particulier aux plus hautes autorités dont les sages citations nous ont paru nécessaires pour orienter ou illustrer certains passages et exprimons notre gratitude à tous ceux qui nous ont aidé dans l’élaboration de ce document par leurs conseils et critiques constructives.Vive le Niger, uni et solidaire, Que Dieu bénisse le Niger. Signé : Lieutenant Mamoudou AMADOU, Conseiller Forestier, Mle 56 384/Z, Ecrivain, Startup Nigérien, Innovateur du Logiciel de Bio Comptabilité-Niger (Log. BC-Niger) Tél : (227) 96899875/90280485 Assisté de : Mr. Mohamed ABDOU ASSALEH, Administrateur Civil
Bonsoir
Ne faudrait il pas redéfinir un autre mode de gouvernance……cette démocratie est ce l’unique mode ou le meilleur !
De mon point de vue le multi multipartisme n’a pas été une bénédiction pour la plupart des cas!
Promotion de la malhonnêteté
Le chantage
Le partage du gâteau
Etc…
….
Il ya des pays qui vivent le paradis même n etant pas démocratique
…
Assalamou alaykoum chers concitoyens,ma proposition et/ou contribution s’articulent comme suit :
1-Pour la refondation, instaurer deux tendances idéologiques comme la droite et la gauche très fermes;
2-Rajeunir la classe politique en limitant le mandat à une seule fois;
3-Pour la députation, supprimer les listes et les têtes de liste, l’électorat est individuel et personnel.Si X est premier,c’est lui qui siégera ; même si tu es président du parti,tu ne pourras pas confisquer l’électorat d’un tiers ;
4-Supprimer les alliances et le second tour;
5-L’Armee doit être garante de la bonne gouvernance ;
6-Le jugé suprême doit pouvoir interpeler le président de la République en cas de non respect de la constitution ;
7-La laïcité doit être supprimée ;
8-La corruption doit être un crime de lèse-majeste et le coupable est jugé publiquement.
A mon avis , il n ya pas de démocratie dans un pays sous développé. Les militaires ont pris la tête du pays , donc laissez les de grâce finir avec l insécurité qui avance à pas de géant dans le pays , banir la corruption et ramener les biens du peuple qui ont été pillés et sécurisés dans les banques extérieures. En ce moment on peut parler de la date de la transition.
Le Niger doit effectivement évoluer vers un modèle de gouvernance qui respecte ses valeurs culturelles et ses convictions profondes. Plutôt que d’adopter des modèles étrangers, il est crucial de bâtir un régime politique qui reflète les réalités sociales, économiques et culturelles du pays, tout en étant inclusif et respectueux des droits humains. Ce modèle pourrait allier respect des traditions et modernité, en mettant l’accent sur la justice sociale, la solidarité et la stabilité.
Tout d’abord je présente mes encouragements aux participants de ces assises nationales et leur dire que nous attendons beaucoup des conclusions qui en seront issues.
Notre contribution porte sur deux (2) axes à savoir :
1- sur le plan politique, il faut nécessairement prendre des décisions qui iront dans le sens d’assainir radicalement le climat politique suspendu lors de l’avènement du CNSP. En effet, ce climat a beaucoup de tares, nomment la pléthore de partis politiques (dissoudre les partis actuels et autoriser la création des nouveaux sur des nouvelles bases, peut être une solution), le nomadisme politique ainsi que l’organisation et le déroulement des scrutins lors des élections. Il faut revoir tout cela en profondeur.
2- sur le plan administratif, il faut revoir radicalement, également, l’organisation de l’administration publique nigerienne actuelle. En effet, aujourd’hui l’administration ne se sent pas obligée ou ne s’oblige pas à un résultat. Le système de désignation également est de moins performant. Il faut alors nécessairement créer les conditions d’obligation de résultat et assainir le climat d’une bonne et franche collaboration à tous les niveaux de la hiérarchie.
Bonjour monsieur le président de la commission refondation politique et institutionnelle,
Je me nomme Bahari Dodo, 96502642, email : d_bahari2000@yahoo.fr , ancien élu municipal commune d’Agadez.
Pour ma contribution au débat national en tant qu’acteur de la décentralisation (j’accompagnais les communes depuis 2007 sur le plan professionnel ), je voulais vous faire des propositions sur quelques points suivants :
1) sur les partis politiques : en effet le profane s’évertue a vouloir qu’on dechoit tous les partis politiques, c’est vraiment une aberration. Mais on peut tenter de prendre des dispositions pour limiter le nombre des partis politiques a travers par exemple la redéfinition de la charte des partis politiques en intégrant une dimension de représentativité sur l’ensemble des régions , donc exiger a tout parti les conditions pour rester en lice : avoir atteint un quota de signatures d’adhésion, des bureaux locaux au moins dans chaque département, des sièges propres…. Tout parti ne satisfaisant pas aux conditions déterminées sera radié.
2) le mode de gouvernance et d’élections : la gouvernance est fragilisée par les alliances. Il faudrait intégrer la dimension du mode d’élection a travers des élections a 2 tours pour éviter des alliances d’intérêt donnant la gestion a un parti ayant dégagé sa majorité au 1er ou 2e tour. Au sein des partis, il faut désormais exiger des têtes de liste car on a tendance dans le passé a berner les électeurs, en effet le choix de l’élu devant diriger la collectivité revient au désidératas du parti et non au leadership du candidat . Enfin, il faut instaurer la prestation de serment aux présidents des conseils et leur déclaration des biens avant leur prise de fonction et faire la reddition des comptes un principe constitutionnel.
3) sur les différents paliers, il faut maintenir la région , ville et commune
4) pour les représentations nationales il faut créer les 2 chambres : assemblée nationale et sénat.
5) il faut prendre la prise en charge des élus locaux afin de permettre à chaque camp (pouvoir et opposition) de bien jouer leurs rôles
6) Durée de la transition : 3 ans sont raisonnables à compter de mars 2025, cela permettra de parachever tout l’arsenal constitutionnel et juridique
7) enfin, les conclusions des travaux avant leurs mises en œuvre peuvent être soumis à un référendum.
Je vous encourage et vous souhaite plein succès pour les travaux des assises.
Zance kasa ne / labou sanni no
1. Dissoudre les partis politiques ou ramener leur au maximum de 3 a 5;
3 . Réduire le nombre des syndicats;
2. Représenter le chef coutumiers dans les organes legiatifs;
3. Interdire la politique aux garants de nos traditions( chef traditionnels )
4. Adopter un Régime présidentielle mais avec vice présidence.
5. Instaurer les primaires au sein des partis politiques pour élire les candidats aux présidentielles
6.. instituer le fédéralisme comme mode de gouvernance ;
7. Supprimer les postes des gouverneurs qui seront élus avec le fédéralisme ou une décentralisation poussée quidonne aux zgions une large autonomie de gestion ;
8. Instituer des assemblée régionales
qu’Allah facilite
Assalam aleykum chers tous. Qu’Allah guide vos pas afin que nôtre pays soit doté au sortir de ces assises d’une constitution et textes qui tiennent compte de nos réalités Socio-culturelles , économiques et religieuses. Je propose pour le compte de vôtre sous commission les points suivants :
1. Une transition supérieure ou égale à 5 ans;
2. Au moment des élections, organiser un scrutin présidentiel à un seul tour à majorité simple ;
3. Instaurer un régime présidentiel ;
4. Dissoudre tous les partis politiques actuels et limiter le nombre de partis politiques autorisés à participer aux nouvelles élections à 3.
5. Pendant le délai de transition, nommer des civils aux postes des gouverneurs, préfets et A.D car les civils ont plus peurs des militaires.