Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif. Exprimez-vous en commentaire et contribuez à ce grand chantier national !
1625 Commentaires
1)Aslam aleykoum chers compatriotes. Nous vous encourageons pour ces assises. Nous nous proposons la suppression de tout ces partis politiques car c’est un frein pour notre pays et aussi cela empêcherait de créer des divisions sociales.
2) concernant les nominations dans différents domaines, mettez l’accent sur les connaissances dans les postes en non une nomination par appartenance politique ou régionale et ethnique.
Nous voulons un système politique claire
Kumma dan allah aduba mana matsalar mega a niger wallahi mudai samarin niger munaganin takaici akan network
Assalam aleikoum. Pour la refondation politique et institutionnelle, voici 3 propositions :
1-Promouvoir l’alternance et la valorisation de la jeunesse nigérienne dans l’espace politique. Appliquer le même âge de la retraite professionnelle aux membres des bureaux politiques des partis politiques. A 63 ans, nul ne pourrait être ni membre de bureau politique, ni candidat à quelques élections
2- Promouvoir l’accès des femmes aux instances de décisions. Adopter la parité de Genre dans les postes électifs et nominatifs
3-Limiter les partis politiques à 5. La représentativité populaire (exemple Envergure géographique -PV d’implantation-) pourrait être le principal critère
#Iyo
@ concernant les nominations dans différents domaines, mettez l’accent sur les connaissances dans les postes en non une nomination par appartenance politique ou régionale et ethnique.
Nous voulons un système politique claire
@@ tout les chefferies du Niger discriminé par les colonnes qu’il soit rétabli dans leurs droit plus particulièrement ceux là qui on choisi de soutenir le patriote djibo boukary….
Montée une Constitution rigoureuse. Adopter un régime présidentiel. Le régime semi-presidentiel avait développé la mauvaise gouvernance, la corruption, l’injustice, le traffic d’influence et le nomadisme politique.
Pour refonder notre nation et eu égard à notre expérience malheuse de démocratie importée basée sur des élections financées par l extérieur même dans une situation d insécurité généralisée.
Le pourvoir actuel doit rester au moins 5ans après l adoption de tous les documents des assises.
L histoire a démontrée qu aucun pays ne s est développé avec des élections.
Notre problème est la gouvernance, au mieux les chefs d États qui ont dirigé le pays qui n écoutent souvent ni les spécialistes qui les conseillent encore moins leur serment et les textes de la république.
Un État sans chef modèle et exemplaire,le Niger n en veux plus.
Il faut créer une union sacrée pour que les richesses déjà supposées dilapidées soient récupérer et que plus jamais les des nominations ne soient source de richesses.
Le français ne doit plus etre la langue officielle.
Le choix d une langue nationale s impose, pour valoriser toutes nos langues, il faut créer un ministère perrain de la promotion des langues et de l alphabétisation.
Choisir au sein de l AES, l anglais comme langue internationale.
Créer sans délai la monnaie et la banque centrale AES,
Une école unique des finances, des marchés publics, du trésor et de la diplomatie.
Je vous souhaite une bonne assise et profite de l’occasion pour proposer un régime présidentiel à un tour . Tout le problème découle des élections à deux tours au cours desquelles des alliances sont scellées et vont revenir se partager le Niger au détriment des nigériens compétents et autres technocrates. Merci d’avance
Je me rejouis à l’avance de la tenue de ces assises. Pleins succès dans les différents travaux tels sont en substances les voeux que je formule. Certes au Niver les défis sont multiples. Ainsi pour améliorer la gouvernance mes proposions sont les suivantes:
– La transition actuelle peut durer jusqu’à 5 ans. Ce faisant au niveau de tous les ministères et institutions on doit instaurer le plan de performances à tous les agents et apliquer les critères sans complaisance aucune.
– le choix de la présidentielle serait bien;
– mettre en place un organe indépendant qui fera le suivi des recommandations issues des assises même après la transition;
– revoir la charte des partis politiques. Toutes les formations politiques dans la configuration actuelle ne sont pas représentatifs. Comme exemple les représentants sont choisis sur la base de la liste proposée par les bureaux des partis avec des personnes sans relation avec les aspirations des citoyens. En plus je propose que tous celui qui sera nommé à un poste de responsable soit de surcroit un élu. S’il est véritablement certaines décisions ne seront pas prises ou exécutées par eux car ils vont rendre compte;
– revoir le principe de la décentralisation actuelle
– au niveau central ce serait bien de penser à déconcentrer certains ministères et ou directions générales à l’intérieur du pays, ceci a un double objectif reduire la centralisation excessive de la capitale Niamey et devélopper les autres régions en fonction des domaines déconcentrés;
– créer un fichier/ base des données fiables de compétences ou les nigériens peuvent s’inscrire selon leurs domaines de compétences.
les dégâts causés par la laïcité au Niger : la prostitution à ciel ouvert ,LGBT, consommation de la drogue , un système éducative qui a échoué à 100 % délinquance , immoralité, toxicomanie etc……….
Pour construire un être humain il faut revenir à une république islamique déjà au Niger nous somme à 99 % musulmans.
NB : N’oubliez pas avant tous que vous êtes musulman , même si tu es parti à l’assisses au nom d’une organisation ou association et ALLAH va nous demander des comptes le jour du jugement vive la République islamique du NIGER
Je vous souhaite beaucoup de courage dans vos travaux durant cette Assise Nationale, un moment crucial pour l’avenir de notre nation.
La refondation politique et institutionnelle que vous entreprenez est une tâche d’une importance capitale, qui exige une réflexion profonde et l’expertise d’une nouvelle génération de penseurs et de leaders. Il est essentiel que cette refondation soit guidée par une objectivité sans faille, tout en priorisant les intérêts généraux et en tenant compte des réalités propres à notre pays. En alignant nos orientations sur les valeurs de l’Alliance des États du Sahel (AES) et en respectant nos traditions culturelles, nous pouvons construire un système politique qui soit à la fois moderne et enraciné dans notre identité.
Cette Assise Nationale représente une opportunité historique de tourner la page des erreurs du passé et d’écrire un nouveau chapitre pour le Niger. Plutôt que de nous attarder sur les bavures d’autrefois, je vous encourage à saisir cette occasion pour que l’histoire retienne vos actions comme un exemple de courage et de vision. Que les générations futures puissent se référer à ce moment comme une source d’inspiration et un tournant décisif vers un avenir meilleur. En faisant preuve de sagesse et de détermination, vous avez le pouvoir de laisser un héritage durable et positif.
Il est temps de laisser le passé derrière nous et de concentrer nos efforts sur la construction d’un environnement politique apaisé et d’institutions fortes, respectées et exemplaires. Ces institutions devront être conçues pour résister aux défis du temps et servir de modèles à l’échelle mondiale. En renforçant la transparence, la justice et l’efficacité, nous pouvons créer un système qui inspire confiance et qui soit au service de tous les citoyens, sans distinction.
Enfin, mon plus grand souhait est de voir nos enfants grandir dans un Niger où les systèmes administratifs sont souples, efficaces et accessibles à toutes les couches sociales. Un pays où chaque individu, quels que soient son origine ou sa condition, puisse bénéficier des mêmes opportunités et contribuer au développement de la nation. C’est cette vision d’un Niger uni, prospère et équitable qui doit guider vos travaux.
Vive le Niger,
vive l’AES,
et que cette Assise Nationale marque le début d’une ère nouvelle pour notre cher pays.
Je propose que le poste de chef de l’État soit assumé à tour de rôle par les sultans, avec une période de rotation définie, par exemple tous les six mois. Cette rotation permettrait une répartition équitable des responsabilités et une représentation équilibrée des différents intérêts. Par ailleurs, je suggère que le chef de l’État occupe également le rôle de commandant suprême des armées, consolidant ainsi son autorité sur les questions de défense et de sécurité nationale.
Dans ce système, les élections se concentreraient uniquement sur le choix d’un Premier ministre, chargé de diriger la politique intérieure et de gérer les affaires courantes de l’État. En revanche, les décisions stratégiques majeures, telles que la politique de défense, la vision à long terme du pays et les questions de souveraineté nationale, relèveraient exclusivement du chef de l’État. Cette séparation des pouvoirs permettrait de garantir une stabilité politique tout en assurant que les enjeux nationaux cruciaux soient traités par une autorité suprême légitime et respectée.
Je propose également que le syndicat scolaire soit encadré de manière à promouvoir l’excellence académique et l’engagement étudiant. Au collège, l’âge maximal pour être membre du bureau devrait être fixé à 17 ans, et seuls les élèves à partir de la classe de 4ème pourraient y participer. Au lycée, l’âge maximal serait limité à 22 ans, avec une éligibilité ouverte à partir de la classe de 1ère. À l’université, l’âge maximal serait de 28 ans pour les étudiants en médecine (en raison de la durée plus longue de leurs études) et de 25 ans pour les étudiants des autres filières.
Par ailleurs, je suggère que tout élève ou étudiant souhaitant intégrer le bureau du syndicat scolaire fasse partie des trois premiers de sa classe et n’ait jamais redoublé la même année scolaire. Cela implique que, au collège et au lycée, la mise en place du bureau ne pourrait intervenir qu’après la délivrance du premier bulletin scolaire, afin de s’assurer du respect de ces critères. À l’université, l’adhésion serait conditionnée aux résultats académiques de l’année précédente, garantissant ainsi que seuls les étudiants les plus méritants et engagés puissent assumer des responsabilités au sein du syndicat.