Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif. Exprimez-vous en commentaire et contribuez à ce grand chantier national !
1995 Commentaires
Assalam, qu’Allah dans sa miséricorde infinie vous facilite les travaux.
Nous disons haut et fort que ce dont le Niger a besoin, c’est ne pas la démocratie, c’est ne pas aussi seulement la politique. Non, non ; Ce dont le Niger a besoin, c’est UN SYSTÈME DE GOUVERNANCE CONFORME ET COMPATIBLE À NOS RÉALITÉS RELIGIEUSES, CULTURELLES ET SOCIALES, CAPABLE D’ENGENDRER UN DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIE ET HUMAIN.
Entre 5 à 10 ans de transition avec la possibilité de la candidature du président Tchiani et les membres du gouvernement à la fin de la transition !
Mun’ah Goyon bayan wannan sojin 100%100 abinda zamuce dasu sunyi adalci
Mun’ah Goyon bayan wannan sojin 100%100 abinda zamuce dasu sunyi adalci
– créer un conseil consultatif restrait de 160 membres où les membres auront simplement des indemnités et non des salaires ; – Dissoudre le conseil régional ; – Conditionner l’entréé à la fonction publique au service civique militaire obligatoire et les postes de DG/ministres aux fonctionnaires en activités
Recevez mes civilités.
Tout protocole respecté.
De prime abord permettez moi de vous étaler une portion de mes doléances pouvant servir a tous.
1. Le système politique :
Le pluralisme politique devient un obstacle pour le concours d’excellence.
En ce sens que des nullards possédant uniquement de quoi déposé comme caution créer des partis politiques pour prétendre diriger. A ce niveau nous proposons un dualisme pour la magistrature suprême.
– Le nombres des députés doit être revu ou carrément la création d’un sénat.
La principale sur cette question, ils foutent rien que de voter en faveur de l’exécutif des lois allant contre la volonté populaire.
– Les départements ministériels ( maintenir a l’heure le nombre existant durant cette transition même si par ailleurs il y’a des ministères fantômes.
2. Instaurer une politique participative en associant toute les couches sociaux.
3. Promouvoir l’excellence politique.
4. Définir entre autre l’âge et un diplôme afin d’avoir des dirigeants représentatifs.
….je reviendrai
Bonsoir ,
Nous félicitons le Chef d’État Son excellence le général de brigade abdourahamane tiani pour le courage et le risque qu’il a pris pour oser redonner une orientation à notre chère patrie. Pour les assises en cours, nous mettons en garde les participants à ne pas répéter les erreurs du passé pour imaginer la république idéal pour nous tous dans la quelle les dérives du pouvoir ne seront pas possible . Sur le plan politique nous invitons les participants à tenir compte de du rôle des autorités coutumières traditionnelle dans la vie politique future en les intégrant une place de choix dans la prise des décisions car ils ne sont pas corruptible que les gens issue des bas peuple comme ce fut les cas avec les députés passé qui ne pensent qu’à combler les pauvretés historiques de leurs familles. En outre la révision du système éducatif est Un impératif en réduisant les études littéraires non productifs au profil de l’éducation au métier et à innovation technologique.
Les futurs textes doivent aussi prévoir que les auteurs de crimes économiques soient interdits aux postes de responsabilité !
La politique ne se résume pas aux élections
Réflexions pour une meilleure refondation politique et institutionnelle au Niger
1. Contexte historique et sociopolitique : Le Niger a traversé des périodes d’instabilité politique, de coups d’État et de crises sociales. Une refondation politique doit prendre en compte ce contexte historique pour éviter de reproduire les erreurs du passé et favoriser une gouvernance stable.
2. Inclusion et représentativité : La diversité ethnique et culturelle du Niger doit être reflétée dans les institutions politiques. Une refondation doit garantir que toutes les voix, y compris celles des femmes, des jeunes et des groupes marginalisés, soient entendues et représentées.
3. Renforcement de la démocratie : La démocratie ne se limite pas à des élections libres, mais implique également la participation active des citoyens dans le processus politique. Il est essentiel de promouvoir une culture démocratique qui valorise le dialogue, la transparence et la responsabilité.
4. Lutte contre la corruption : La corruption est un obstacle majeur à la bonne gouvernance. Une refondation politique doit inclure des mesures strictes pour lutter contre la corruption et promouvoir la transparence dans la gestion des ressources publiques.
5. Décentralisation et gouvernance locale : Renforcer la décentralisation peut permettre une meilleure prise en compte des besoins locaux et une plus grande participation des citoyens dans la gestion de leurs affaires. Cela peut également contribuer à réduire les tensions entre les différentes régions.
Propositions pour une refondation politique et institutionnelle
1. Révision constitutionnelle : Engager un processus de révision constitutionnelle participatif pour adapter la Constitution aux réalités actuelles du pays, en intégrant des dispositions qui garantissent la séparation des pouvoirs, l’indépendance de la justice et la protection des droits humains.
2. Établissement d’un cadre électoral inclusif : Mettre en place un cadre électoral qui favorise la participation de tous les groupes, en particulier les femmes et les jeunes, et qui garantit des élections libres, transparentes et équitables.
3. Création d’institutions indépendantes : Établir des institutions indépendantes, telles que des commissions électorales et des organes de lutte contre la corruption, dotées de pouvoirs suffisants pour agir sans ingérence politique.
4. Promotion de la société civile : Renforcer le rôle de la société civile dans le processus politique en soutenant les organisations qui œuvrent pour la transparence, la bonne gouvernance et la défense des droits humains.
5. Formation et sensibilisation : Mettre en place des programmes de formation pour les acteurs politiques, les fonctionnaires et les citoyens sur les principes de la démocratie, des droits humains et de la bonne gouvernance.
6. Mécanismes de dialogue national : Instaurer des mécanismes de dialogue national pour favoriser la concertation entre les différentes parties prenantes, y compris les partis politiques, la société civile et les communautés locales, afin de construire un consensus sur les grandes orientations politiques du pays.
7. Utilisation des technologies de l’information : Exploiter les technologies numériques pour améliorer la transparence et l’accès à l’information, notamment en facilitant la participation citoyenne et en rendant compte des actions des gouvernants.
8. Suivi et évaluation des réformes : Mettre en place des mécanismes de suivi et d’évaluation des réformes politiques et institutionnelles pour mesurer leur impact et ajuster les stratégies en fonction des résultats obtenus.
En mettant en œuvre ces réflexions et propositions, le Niger peut aspirer à une refondation politique et institutionnelle qui favorise la stabilité, la justice et le développement durable, tout en répondant aux aspirations de sa population
Il faut un modèle démocratique conforme à nos réalités, comme en Chine ou en Iran. Pour ce faire, il faut obligatoirement dissoudre les partis politiques. Lorsque dans un pays il y a plus de 150 partis, l’objectif visé par ceux qui les ont créés est de soutenir un candidat pour participer à la mangeoire, ce qui anéantira pour toujours l’intérêt général. Proposer des nouveaux textes qui vont interdire les candidats de double nationalités, interdire les financements des partis et sociétés civiles par d’autres pays ou des organisations internationales…. Il faut obligatoirement une institution nouvelle appelée comité des sages, constituée des chefs traditionnels, des imams, des officiers et juges de bonnes moralités, qui sera chargée de valider ou rejeter les lois votées à l’assemblée nationale, parce que les députés sont à la solde du pouvoir exécutif au lieu du peuple.
Nous souhaitons plein succès aux assises nationales.nos recommandations .
c’est de Respecter l’adéquation profil poste notamment au Ministère de la santé ou en lieu et place des cadres formés dans certaines spécialités ,ce sont des faisant fonction qui sont nommées en laissant les diplômés en marge
Chers membres des assises nationales
Aujourd’hui, une fois de plus, nous nous réunissons pour bâtir ensemble un destin commun, fondé sur une gestion autonome et responsable de nos ressources, au bénéfice des générations futures. Tout bon dirigeant doit avoir pour priorité de léguer à nos enfants un Niger prospère et en bon état.
Cependant, il est essentiel de souligner que des résultats pertinents ne seront possibles que lorsque nous, Nigériens, nous affranchirons de cette mentalité hypocrite, immature et individualiste qui gangrène notre société. Le Niger est notre bien commun, et nous avons le devoir d’être sincères, transparents et objectifs dans notre engagement pour son avenir.
Depuis trop d’années, notre pays est miné par l’injustice, la cupidité et le détournement des ressources, des maux perpétués par nos aînés et assimilés par la jeune génération comme une norme. Transmettre aux générations futures un Niger digne, c’est aussi leur transmettre un comportement ancré dans nos valeurs africaines de droiture et de solidarité.
Les Nigériens aspirent à la justice. Nous devons donc faire preuve d’intransigeance face à ceux qui ne placent pas l’intérêt national au cœur de leurs priorités. Pour que l’espoir renaisse, il est impératif de prendre des mesures concrètes et courageuses. Ainsi, je propose :
1. Un renforcement de la justice et de la gouvernance
– La justice, dans toute son indépendance, doit traiter en priorité les dossiers des dirigeants responsables de l’appauvrissement du peuple. Cette initiative constituera le premier socle d’une fierté nationale retrouvée et d’un espoir renouvelé.
– Il est crucial de revoir notre stratégie internationale. Notre diplomatie ne doit plus être dictée par l’émotion mais par la raison et l’intérêt national. Aucun État ne peut survivre seul, mais rappelons-nous que les nations n’ont pas d’amis, seulement des intérêts. Seuls les faibles se courbent devant les puissants. Ayant affirmé notre souveraineté, il est désormais temps de gouverner avec stratégie.
– Nous devons adopter des mesures fortes en faveur de nos forces armées. Ceux qui risquent leur vie pour défendre notre patrie méritent une reconnaissance totale du peuple, à travers une meilleure prise en charge, des équipements modernes et un soutien indéfectible.
– Un changement de mentalité s’impose au sommet de l’État. La discipline et l’intégrité doivent être les piliers de notre gouvernance afin que cette transformation s’étende à l’ensemble de la société et devienne un moteur de développement.
2. Trois solutions pour impliquer la jeunesse dans la bonne gouvernance
– Créer un Conseil National de la Jeunesse pour la Gouvernance: Un organe consultatif composé de jeunes engagés, permettant de faire entendre leur voix et de participer activement aux décisions politiques et économiques.
– Instaurer un programme de formation civique et éthique obligatoire : Sensibiliser la jeunesse aux principes de la transparence, de la gestion responsable des ressources et du leadership éthique pour briser le cycle de la corruption.
– Favoriser l’entrepreneuriat et l’innovation sociale: Mettre en place des financements et des incubateurs pour encourager les jeunes à développer des initiatives créatrices de valeur, tout en intégrant des critères de responsabilité sociale et de développement durable.
Ensemble, œuvrons pour un Niger juste, fort et souverain, où chaque citoyen, et en particulier la jeunesse, joue un rôle actif dans la construction d’un avenir meilleur.
Salam alaikum,cher membres des assises nationales.
Étant citoyen,et connaissant,les gouvernements depuis sem Seyni kountché à aujourd’hui 15/02/2025.
Le peuple nigérien avait tout vu, les chefs d’états qui se sont soucier du peuple en les écoutant,et à vouloir leurs rendre la vie facile c’est
sont les Excellences kountché, Baaré, Tandja,Tianni.
Walahi ne permettez à ce gouvernement de transition remettre le pouvoir aux politiciens.
Si non nous retournerons à la case du départ.
Donc vous les membres des assises le peuple nigérien ne vous pardonnera jamais.
Si les Nigériens ne parlent pas des présidents que j’ ai pas cité c’est parce que se sont des présidents imposés au peuple par les colons par trucage des urnes.
Si vous laissez le président Tianni partir walahi le Niger est foutu.
Et soyez sûrs que le coup d’état ne finira pas au Niger.
Vive le Niger
Je vous remercie.