
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
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2258 Commentaires
Je vous souhaite de très bonnes assises.
Vous n’avons pas de doute quant à vos capacités de faire des propositions pour refonder notre système politique et même social, car le Niger en a tant besoin.
– sur le plan politique, il faudrait disloquer tous les partis politiques pour permettre une nouvelle recomposition de la cartographie politique du Niger.
– si cette solution n’est pas envisageable, alors proposer la dissolution de toute formation politique qui n’a jamais totalisé 11 conseillers municipaux ( en prenant en compte la plus petite commune du Niger ayant le plus petit nombre de conseillers), à plus forte raison un député
– revoir la loi sur le nombre de députés en agissant sur le ratio député/population afin de réduire le nombre de députés à l’assemblée, dont certains ne siègent jamais.
Par exemple on peut aller à 1 député pour 175000 habitants ou 200000 habitants. Cela permettra d’améliorer la fonction parlementaire.
– Proposer la création d’autres régions au Niger par un redecoupage administratif.
À Tillabéri on peut proposer:
La région du fleuve ou du liptako: Say- Gotheye- Téra
La région de Kourfeye: Balleyara- Filingué-Abala
À Tahoua:
La Région de Gobir: Konni- Malbaza- Madaoua
A Dosso:
La région de ou Djallil: Doutchi-Tibiri-Dioundiou
À Maradi
1 région avec Mayahi-Tessaoua-Gazaoua
À Zinder
La région de Daouda, avec Kantché-Magaria-Dungass
Pour cela le choix du chef lieu de région doit tenir compte de plusieurs facteurs dont entre autre l’histoire coloniale si la localité a été un chef lieu de cercle ou pas, le poids démographique, les infrastructures existantes, etc.
Je veux dire région de Dallol au lieu de Djallil
II. Refondation de l’Etat
Niger nouveau : l’unité dans la diversité culturelle
La diversité est une marque et une nécessité des peuples. C’est un truisme que de disserter sur l’assise de l’humanité sur la diversité. C’est un constat évident, le thème central de tous ceux qui traitent ou tentent de traiter de la gestion des hommes. Cette diversité a été souvent le lien unificateur des peuples et des sociétés, car on ne peut chercher auprès de l’autre que ce qu’on n’a pas. Allah soubhaanahou wa taalà l’a souligné dans le majestueux Coran. « Oh humains, nous vous avons créés d’un homme et d’une femme. Nous vous avons répartis en peuples et en communautés pour que vous vous entre-connaissiez. Le meilleur d’entre vous est le plus croyant ». De cette sentence, Allah insiste sur la nécessité de se fraterniser, de vivre ensemble dans l’harmonie. Ce qui n’est possible que quand nous nous respectons les uns et les autres et nous appliquons la devise Kantienne : « Et si les autres agissent de la même sorte à mon égard ». Et tous les mécanismes de règlement des différends et des conflits ont été définis dans le Coran et les Hadiths du Prophète alaihi salam. Beaucoup de philosophes se sont inspirés de ces textes majestueux du Coran. Adelard de Bath au 13ème siècle de notre ère, Voltaire, Nietzche, Lamartine…
Le problème est que ces beaux textes et les Hautes Autorités qui les ont produits n’ont pas empêché à l’humanité de fondre souvent dans une barbarie inouïe faite de crimes, de massacres, de destructions, de vols, de viols et d’abus désobligeants de toutes sortes. Aucun garde-fou n’a encore résisté à la pression des instincts destructeurs des hommes. Kant nous le dit assez bien. « L’homme est fait d’un bois si sinueux qu’il est difficile d’en tirer des poutres droites ». La guerre, partout la guerre, dans tous les coins du monde et à toutes les époques. Kant nous explique encore pourquoi. « la tendance naturelle de l’homme est de vouloir avoir toujours une loi qui limite la liberté de tous, tout en lui permettant à lui seul d’avoir une liberté illimitée ».
Voilà pourquoi l’humanité n’a pas encore trouvé le modèle idéal de gestion des hommes qui assurerait une liberté égale à tous et les mêmes chances à chacun de mettre en valeur ses potentialités. Plusieurs tendances de comportements se dégagent. Les uns aspirent à dominer les autres et sont prêts à passer par tous les moyens pour y arriver. D’autres se complaisent dans la servitude ou le parasitisme, ils sont incapables d’assurer la moindre responsabilité pour eux-mêmes et par eux-mêmes, encore moins pour les autres. Il y en a d’autres qui sont au milieu, sans initiatives personnelles, prêts à tout accepter, l’essentiel est que l’ordre leur soit profitable ou moins contraignant.
Voilà le contexte général dans lequel a évolué l’Humanité depuis l’aube des temps.
L’Afrique qui a dominé le monde dans l’Antiquité et a créé des grandes dynasties jusqu’à la fin du Moyen-Age au 15ème siècle, a été pris d’assaut par les Asiatiques et les Européens qui ont fini par la soumettre pour la coloniser et l’exploiter et disposer de ses ressources. Pour réussir cette domination elle a été acculturée avec l’imposition de nouvelles religions, de nouvelles cultures et de nouveaux modèles politiques.
« Borfo moudoune a si té borfo sé ; da a mane hayi ; a ga doungourya » disait Dargné Gadaizé, une star de la chanson nigérienne. Autrement dit on ne peut pas se développer avec une culture importée, encore pire, imposée. L’acculturation vous enlève le goût des initiatives, car vous chercherez seulement à satisfaire aux exigences de la nouvelle culture. De là, l’on perd toute orientation personnelle pour l’avenir.
C’est dans ce sens qu’il faut comprendre les systèmes politiques pratiqués en Afrique depuis la fin formelle de la colonisation. Calqués sur les modèles européens ils se sont montrés inadaptés aux contextes africains et sont devenus sources d’instabilité et d’insécurité chroniques. C’était l’éternel recommencement. D’abord c’était le système des élections folkloriques aux lendemains des indépendances, puis les régimes d’exception avec des coups d’Etat sanglants et brutaux. Enfin, c’est la « démocratie baulienne » qui, depuis quelques années, a montré ses limites évidentes en introduisant dans nos sociétés l’antagonisme communautaire source de corruption, de népotisme et d’abus de toutes sortes qui ont été la cause de conflits meurtriers et l’anarchie dans nos sociétés. En cherchant la cause profonde de ces conflits, on découvre régulièrement que c’est moins l’application des textes qui est à la base des conflits que leur inadéquation avec la conception culturelle de la gestion de l’Etat.
Pour certaines communautés, le pragmatisme qui consiste à s’accommoder de tous régimes est une valeur. Il n’y a pas de frontières morales ou de barrières administratives contraignantes. Tout est permis pour mener ses activités. La corruption, le népotisme, la fraude sont généralisées dans tous les secteurs. La conséquence de cette permissivité excessive est la création d’un no man’s land. Le pays devient une jungle dans laquelle personne n’est en sécurité. C’est bien contre un tel système qu’Allah souhânahou wa taalâ a descendu le Coran pour baliser le cadre d’une société viable et vivable que les philosophes politiques européens ont repris et codifié pour créer la démocratie.
Il existe bien des sociétés africaines, qui, sans avoir connu le Coran et les philosophes occidentaux, ont érigé des valeurs et des principes contraires, voire antagoniques à la permissivité. Dans ces communautés, le respect de la différence, la défense des indigents, le partage équilibré et sans frontière des ressources, le sens de la retenue sont les normes de référence, les valeurs cardinales.
Voilà la difficulté.
L’autorité coloniale a forcé la création d’entités territoriales qui rassemblaient des peuples de cultures différentes voire antagoniques sans se soucier des difficultés de gestion et d’harmonisation des comportements. Les uns distribuaient toutes les ressources à tous, et, surtout en favorisant les plus faibles, tandis que d’autres composantes du même territoire ne trouvaient normal que de s’approprier de toutes les ressources et même pire, de confiner les autres dans l’indigence voire dans la privation totale.
L’objectif visé par le colon est de créer une situation de conflits permanents qui rendront son interposition entre les communautés, vitale pour la stabilité. Ainsi, chaque partie se verra obligée de faire du colon son recours ultime.
C’est dans cet esprit que la gestion des pays, depuis les indépendances a toujours été contrariée par des conflits armés animés par certaines communautés organisées et armées par le colon pour continuer à tenir en respect les deux parties.
Nous osons croire que c’est cette mise ensemble forcée et mal organisée des populations sur un même territoire qui est à la base de l’instabilité politique chronique de nos états. Aussi, pour y remédier, nous devons courageusement et intelligemment repenser les différents chainons de l’organisation politique actuelle de nos états.
L’Etat doit être refondé à plusieurs niveaux :
1- Le découpage territorial des entités administratives
2- Le statut de ces entités administratives et le type de liens qui les lient
3- La base culturelle et sociale de chaque entité
4- Le mode de sélection des dirigeants
5- La gestion du patrimoine commun
6- Dispositions transitoires pour aller délicatement à la configuration et à la création des Etats
I. Le découpage territorial des entité administratives
I. 1. Le diagnostic
En faisant une lecture objective des chuchotements souvent bruyants des remontrances des communautés les unes à l’égard des autres, la référence culturelle délimitée par la couverture linguistique est le premier démon à dompter faute de pouvoir l’exorciser. Par conséquent les entités administratives pourraient mieux marier les contours des grands groupes linguistiques dominants dans des territoires connus. Par exemple le groupe Ayneha peut constituer un seul territoire allant de la frontière malienne aux confins de l’Aréwa. Le groupe Haoussa qu’on peut appeler Daouara, en se référant à la reine mythique qui a donné naissance aux 7 états haoussa, pourra s’étendre de l’Aréwa aux confins du Manga. Le groupe Kanouri – Toubou occupera du Lac-Tchad au Djado. Enfin l’entité Touarègue couvrira le nord du pays. Les autres entités ne sont pas oubliées, mais depuis toujours elles vivaient en parfaite symbiose avec les communautés de l’entité territoriale sur laquelle elles vivaient. Les populations sur les zones frontalières des différentes entités territoriales se rattacheront librement à l’Etat qu’elles auront majoritairement choisi à la suite d’un referendum d’autodétermination.
Qu’on ne se méprenne pas ici sur nos intentions. Les esprits superficiels crieront tout de suite, c’est de l’ethnocentrisme. Il y a risque de diviser le pays. Soit ! C’est de bonne guerre, mais telle n’est pas notre intention. Nous sommes partis de constats réels. La référence à l’origine ou à la culture d’un acteur pour apprécier ses réalisations a longtemps affecté négativement la gestion politique et sociale de notre pays. Pour certaines communautés la référence ethnique est le seul et unique critère qui permet d’accorder de la valeur ou de la refuser à un acte posé ou à une réalisation. Pour s’en convaincre, il suffit de faire une lecture diachronique des relations entre les syndicats et les pouvoirs publics. Pendant les trois premières décennies de l’indépendance (1960-1990), la seule force organisée et incontrôlée par l’Etat était l’Union des Scolaires Nigériens (USN). Avec ce syndicat, nous avions régulièrement assisté à des gigantesques manifestations violentes qu’elle organisait contre les pouvoirs publics pour prétendument protester contre les mauvaises conditions de vie et d’études des scolaires. Pourtant, en observant de près la situation de l’école avec recul, on vient à l’évidence que les scolaires n’ont jamais été aussi bien traités qu’en cette époque. L’école était la première priorité des dirigeants. L’enseignement était gratuit, les apprenants étaient entièrement pris en charge depuis le primaire, pour les zones nomades ou celles qui sont un peu éloignées des centres urbains, avec des cantines scolaires et des internats. A l’université c’était une bourse en numéraire qui était octroyée pour permettre à l’étudiant de faire face à tous les besoins et même souvent de faire des dépenses de luxe ou des investissements. Avec cette bourse tous les étudiants vivaient comme des petits bourgeois. Ils achetaient les motos à la mode et les appareils de récréation de dernière génération. L’étudiant était un roi. Il avait tout pour mener une vie de bourgeois.
A cette période, le Niger était l’un des rares pays africains qui offrait une telle prestation. Dans les autres pays même l’inscription au primaire était payante. Au Niger, tous les établissements étaient en matériaux définitifs. Les outils didactiques (livres, cahiers et autres accessoires, tenues et matériel de sport) étaient fournis gratuitement et en quantité suffisante aux enseignants comme aux apprenants. Mieux, l’infirmerie ou la boite à pharmacie de l’école recevait mêmes les populations environnantes.
Bref, l’école avait tout pour fonctionner correctement. Le président Issoufou Mahamadou n’a -t- il pas rendu hommage à cette école, lors de son investiture à la présidence ? Une école qui lui a permis de sortir, malgré lui et ses parents, de sa brousse lointaine de Dandaji, pour être président.
A l’instar de Issoufou, tous les hauts responsables de la scène politique de 1980 à ce jour, sont le fruit de cette généreuse école. Et pourtant pendant leur cursus scolaire et dans leur carrière professionnelle, ils étaient les ennemis mortels des promoteurs de cette école. Et pour cause, ils ne seraient pas de leurs communautés.
La suite des événements en dit plus.
De 1991 à 2O23, l’école publique est tombée dans une déliquescence imparable. Les acteurs politiques en faisaient le dernier de leurs soucis. Tout y manquait : les classes, les enseignants et le matériel. Pire, les écoles sont devenues des mouroirs, construites en grande majorité en paille, y compris dans les grandes villes dont la capitale, elles prenaient feu à tout moment et faisait cramer des dizaines d’enfants en un laps de temps. On se rappelle des drames récents de Niamey et de Maradi où plus de 50 enfants (21 à Niamey et 35 à Maradi) avaient péri dans les flammes de leurs classes en paillote.
Les enseignants sont recrutés sur le tas. Dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder, le test d’évaluation organisé par le régime a révélé que plus de 90% des enseignants recrutés localement étaient incapables d’écrire proprement leurs noms. Pour confirmer sa tendance régionaliste, le régime au lieu de recruter des vrais enseignants a plutôt utilisé la solution de facilité en déplaçant les bons enseignants de la région de Tillabéri vers ces régions. Par exemple en 2021 plus de 4oo enseignants de la région de Tillabéry ont été affectés dans la région de Tahoua. Les projets d’internat pour les jeunes filles sont concentrés uniquement dans ces régions, alors que dans la région de Tillabéri, les écoles sont en train d’être incendiées et fermées. Les enseignants sont égorgés pour les obliger à déserter la région. A la date d’aujourd’hui dans cette région, plus de cent mille élèves errent sans école.
Ici, ce n’est pas la gestion clanique institutionalisée par le régime et la mise à sac de la région de Tillabéry avec le massacre et le déplacement forcé des populations qui intriguent, mais l’absence de réaction de compassion des autres communautés et particulièrement du syndicat des scolaires.
A ce tableau macabre de la gestion de l’école s’ajoute la chasse aux sorcières dans l’administration. Aucune responsabilité n’est exercée par un ressortissant de cette région s’il n’est pas un faire – valoir, c’est-à-dire un instrument manipulable pour faire les sales besognes.
Et pourtant, aucune réaction de ces foules fanatisées et surexcités qui organisaient, dans le passé, les manifestations gigantesques dans une violence hystérique, pour vilipender les dirigeants de l’époque et affabuler sur des injustices imaginaires.
L’école ne recevait plus rien des pouvoirs publics de ce qu’elle recevait auparavant. Curieusement, aucune protestation de l’USN, encore moins des « autres forces vives de la Nation ». Tout au plus des chuchotements, des réactions timorées et amorphes. Les tenseurs vindicatifs d’antan sont inhibés par la pression du ressentiment grégaire. Toutefois, « ventre affamée n’a point d’oreille », quand la situation empire, les manifestations sont obligées. Ce sont des cris de détresse pathétiques : « Magna muna târé da kou , kou mâ, kuna boûra wouba ». Triste réaction, qui montre le degré de dépit des victimes.
Alors, pourquoi avec toutes ces brimades et privations les réactions étaient-elles timorées et amorphes ? Encore plus grave, à ces manifestations obligées, parce que la survie était en cause, avec des mois d’arriérés de bourse ou de salaire incalculables (3, 7, 12, 24 mois), la réponse du régime clanique qu’on ne voulait pas défier, était toujours la répression dans le sang, souvent avec mort d’hommes et emprisonnement massif des pauvres damnés. Combien de familles d’élèves et étudiants ont été endeuillées par la brimade sauvage lors des revendications légitimes de leurs enfants. Les syndicats, la société civile et mêmes les communautés promptes à animer des rebellions armées sont restées sans yeux et sans voix. « Dôri sa biné do dârou ». « Ce sont les nôtres nous ne pouvons pas les bousculer, ça va profiter à « eux » ».
A chaque fois qu’une victime meurtrie voulait protester, il reçoit comme remontrance, voire comme menace : « il travaille pour « eux », c’est notre régime qu’il veut déstabiliser ». Le Synaceb de Halidou Mounkaila en a pris à ses dépens. Pour contrecarrer ses légitimes revendications qui demandaient juste le paiement des pécules après 7 mois de retard, le régime créa un syndicat opposé dirigé par « les nôtres » plus compréhensifs et plus coopératifs mais pour qui les revendications des camarades sont des vaines protestations des communautés adverses.
Voilà comment la fétichisation du communautarisme a désintégré un pays qui était l’un des plus enviables auparavant.
L’école n’est pas la seule victime de la gestion clanique des régimes post-conférence nationale. Tous les secteurs publics de l’Etat ont connu le même abandon et la même sectarisation.
Les populations de certaines régions ont subi les pires maltraitances. Dans le premier communiqué du CNSP, Issoufou et Bazoum étaient dénoncés comme étant les parrains des terroristes qui avaient décimés nos FDS et massacré nos innocentes populations. Pire, ils libéraient les terroristes arrêtés par l’armée, en disant péremptoirement que c’était leurs amis. Pour mieux protéger ces criminels, les soldats étaient équipés de fausses armes et de fausses munitions (fait révélé par le fameux rapport officiel de l’Etat appelé « MND gate »).
Quant aux populations civiles elles ont été d’abord délestées de tous les moyens de défense. Pour réussir la manœuvre, le régime a instauré l’Etat d’urgence permanent. Ce qui rendait facile la fouille des populations dans les moindres coins et recoins. Tout ce qui pouvait leur servir de moyen de défense leur a été retiré : les armes, même blanches, les motos qui leur permettait de se déplacer pour fuir ou chercher de l’aide. Et pour les empêcher de s’en procurer de nouveau, le régime, à travers ses mercenaires appelés terroristes, imposait des rançons sous formes de taxes pour le droit de vivre, enlevait les animaux, fermait les stations d’essence pour empêcher l’agriculture de rente, fermait les maisons de transfert d’argent pour empêcher aux parents de la diaspora de soutenir leurs familles. Les greniers étaient incendiés et enfin pour les obliger à déserter leurs terroirs d’origine, les populations sont massacrées sans motifs.
Curieusement, toutes les voix bruyantes d’antan étaient restées inaudibles. Tout au plus on entend sur les réseaux sociaux des audios cyniques de personnalités qui jubilent.
Et ce n’est pas tout, autant les campagnes étaient soumises à cette maltraitance, autant en ville, les leaders d’opinions des mêmes communautés sont pourchassés nuit et jour pour être emprisonnés sans motif de droit ou froidement abattus en pleine rue (cas du fils Ali Seybou, du président des jeunes patriotes de Téra, plusieurs chefs de villages et imams) ou éliminés par empoisonnement ou par accident simulé (cas probable du Professeur Yacouba Harouna Djimba et de son collègue de bureau, du Député – Médiateur Diabri Hassoumi, du DG de l’Ecole de Magistrature Hamadou Hamani, pour ne citer que ceux-là).
Des personnalités comme Hama Amadou, Oumarou Hamidou Tchana et moi-même (Hassane Idrissa Souley) ne sont encore en vie que par le destin. Tout a été utilisé pour tenter de nous éliminer.
Ils ont d’abord tenté de bloquer toutes les voies par lesquelles nous pouvons avoir des ressources pour subsister. Par exemple, les investissements d’Oumarou Hamidou Tchana ont été bloqués dans toutes les entreprises que le régime pouvait contrôler. Quant à moi, c’est un secret de polichinelle. Le régime a bloqué avec cynisme et antipatriotisme, tous les programmes d’achat de mes inventions à hauteur de plusieurs milliards, par les partenaires techniques et financiers qui voulaient les utiliser pour solutionner les problèmes de santé.
Et ce n’était pas tout. Tous les moyens criminels sont employés jusqu’en ce jour pour tenter de nous liquider physiquement. A l’instant même, les brigades criminelles de surveillance et d’exécution sont aux aguets pour trouver le moindre moment d’inattention de ma part pour m’inoculer la N ème dose de poison. Au début c’était des gendarmes en civil qui gardaient ma maison. Plus tard, l’équipe a été étoffée avec du tout-venant pour renforcer ses capacités. Incroyable mais vrai ! Plus d’un million d’agents dont des talibés et des mineurs de moins de 5 ans (utilisés comme indicateurs) sont utilisés pour cette macabre mission. Ils ont des codes de ralliement visibles, des tenues et des outils de travail. Il est vrai que je ne suis pas la seule cible, mais de toute évidence je fais partie des cibles d’envergure.
Faudra-t-il taire tous ces crimes pour sauver quelle unité nationale ? Devrons nous continuer à courir comme des lapins devant des criminels sans foi, ni loi qui eux, ont le droit d’assassiner les citoyens en toute impunité, de bloquer leurs activités, de s’approprier de toutes les ressources de l’Etat, de priver les autres de tout droit, d’emprisonner à volonté des innocents pendant que les pires criminels sont en liberté. Le 18 août et le 06 octobre 2018 un prisonnier conduit par la PJ au parquet pour qu’il purge sa peine sous le bordereau N°722, a été soustrait à la prison en dépit de la décision de justice N°71 de juin 2017 qui confirmait sa condamnation de première instance, qui de sursis, est devenu définitif pour récidive dans le délit.
Quelle est la viabilité d’un pays dans lequel l’appartenance communautaire est la seule clé qui conduit en enfer ou au paradis. La « Justice « emprisonne des innocents, des mois, voire des années, elle laisse courir des criminels qui sont même souvent accueillis à la présidence comme héros (confère les déclarations de Bazoum).
Dans ce pays nous avons assisté à la magnification de personnes qui se sont illustrées par des crimes horribles contre l’Etat et contre les citoyens. Elles ont été intégrées dans les corps stratégiques de l’Etat, sans respect aux exigences de ces corps. Elles ont été affectées à des postes de responsabilité pour lesquels, elles n’ont aucune compétence.
A l’opposé, on a des citoyens très intègres, très compétents, mais à qui tout a été refusé dans le pays, y compris le droit de vivre en famille ou de circuler librement, uniquement parce qu’ils sont de certaines communautés. En 1998, il m’a été demandé de donner des notes à des faux étudiants qui n’ont fait ni cours, ni examen, pour qu’ils puissent avoir le diplôme qui leur permettra d’occuper les postes qui leur sont réservés dans le cadre de « l’intégration des « anciens rebelles » dans les services de l’Etat ». Une grosse enveloppe m’a été proposée. Le problème, moi à qui on demandait ce service avec le premier doctorat d’université du Niger, obtenu dans la plus prestigieuse université du monde francophone (la Sorbonne) n’avait pas de poste permanent, et cela jusqu’à la fin de ma carrière.
Alors, de quelle unité nationale à préserver peut-on nous parler.
Voilà la problématique.
Chercher la paix voudrait-il dire fuir ou s’abandonner à l’adversaire. Devenir le souffre-douleur ou l’esclave des autres, uniquement parce que l’on est de certaines communautés.
Passer sur cette plaie sans la traiter, exposera tôt ou tard le pays à une paralysie ou à une implosion certaine.
Voilà pourquoi, nous préconisons la responsabilisation de chacun dans son aire géographique ancestrale.
Nous proposons la charte de l’ethnocratie pour faciliter la gestion de ces entités dans la complémentarité et l’harmonie.
II. Statut des territoires et les liens qui les lient
Les nouveaux territoires seront des Etats autonomes qui disposeront en toute liberté de leur gestion politique, éducative, culturelle, économique, sécuritaire. Aucun des Etats n’a le droit d’interférer dans la gestion de l’autre sans accords préalables mutuellement consentis.
Ils établiront entre eux un pacte de non-agression, un accord de défense mutuelle, un partenariat économique de privilège qui mettra le citoyen de chaque Etat au même pied d’égalité que les autres au niveau des facilités fiscales. L’accès à un Etat et la domiciliation est libre à tout originaire d’un des autres Etats.
Un cadre de concertation coiffera ces Etats pour promouvoir la fraternité, réfléchir sur des réalisations intégratives bénéfiques à tous, prévenir les conflits et faire face ensemble aux défis communs.
III. La base culturelle
L’ensemble des Etats ont l’Islam comme religion dominante. Nous pensons que chaque Etat pourra s’appuyer sur l’Islam pour sa législation et complétement abandonner le système occidental. Tous les codes juridiques seront refondus et recréés en tenant compte de nos réalités. Sur le plan culturel chaque Etat pourra développer ses langues, ses us et coutumes compatibles avec l’Islam.
IV. Le choix des dirigeants
La charte de l’ethnocratie : l’unité dans la diversité culturelle.
Pour exorciser les démons de la dérive communautaire, nous proposons que dans les nouveaux états, chaque citoyen ait une référence communautaire obligatoire sur la carte d’électeur. Que tout postulant à une responsabilité élective soit élue par toutes les communautés avec la procédure suivante.
Phase 1. Election communautaire. Les candidats sont uniquement élus par les autres. Celui qui n’a pas de moyenne chez toutes les communautés est recalé pour la 2ème phase.
2ème phase : l’élection intracommunautaire, le candidat est élu par sa communauté.
La note finale est la moyenne des deux notes (note extra et la note intra – communautaire).
En cas d’Exco, la note communautaire est affectée de coefficient 2 pour les deux candidats.
Cette mesure obligera chaque candidat à travailler autant pour sa communauté que pour les autres communautés. Les candidats seront obligés de faire la promotion des valeurs unificatrices. A la place du « Eux et nous », il s’installera un seul « nous » indivisible.
Pour éviter les joutes partisanes à la recherche des postes, nous proposons que la fonction politique ne soit plus rémunérée. Tout responsable à quelque niveau qu’il soit, ne se contentera que de ses revenus initiaux. Seules les charges liées au fonctionnement de l’Etat seront imputées au budget national. Le président de la république restera chez lui à la descente du travail et ira au bureau comme tout fonctionnaire. Ce sont les avantages matériels disproportionnés par rapport à la vie des citoyens qui font de la fonction politique un investissement de rente et non de prestige. « Le sage est insensible à l’argent, mais il n’est pas insensible aux honneurs ». Rousseau. Kountché n’a pas laissé de l’argent à ses descendants, mais il a laissé une célébrité morale inoxydable jusqu’à la fin des temps.
V- Le patrimoine commun
La Commission de concertation fera le point du patrimoine commun. Elle aura comme base la capitale et disposera de toutes les infrastructures immobilières qu’elle exploitera pour ses activités. Pour le matériel meuble, il sera équitablement réparti entre les Etats.
Les biens matériels meubles seront répartis équitablement entre les Etats nouvellement créés.
Ici aussi nous pouvons faire le chronogramme et le budget.
D’évidence, si nous avons décidé d’être responsable de notre propre destin, nous ne devons pas nous encombrer des désidératas d’une quelconque communauté dite internationale. Nous devons aller à notre rythme, avec nos moyens et surtout travailler pour convaincre et non bousculer les esprits. En travaillant pour convaincre et non sous la précipitation de la chicote de prétendues institutions internationales, nous ne ferons pas de la tresse sur une tête pleine de poux, qui sera défaite sans crier gare.
Je partage l’avis lié à la suppression des anciens partis politiques pour donner un nouveau souffle, un nouveau visage, aucun anciens noms n’est doit revenir en tant que partis politiques.
Tout ce passe au Niger sache que une personne qui dépasse l’âge de la retraite ne doit pas gouverne.il faudrait permettre à jeunesse nigérienne de se propulsé.s’il vous plaît ne soyez pas timide et égocentrisme. Nous proposons l’âge d’être président 60ans au plus 65ans Pour une gouvernance de transparence
Assalam alaikoum, tout en souhaitant bon déroulement aux travaux des nos assises je profite de cette opportunité pour faire la proposition ci dessous :
Veillez insérer désormais pour occuper des postes clés et important à l’ échelle nationale tels que ministre, DG directeur national ou régional il faut soumettre les candidats à ces postes pour un fin screening et enquête de moralité publique pour que la population et autres structures concernées les jugent ou approuvent qui ils sont saints, capables et aptes à assumer les responsabilités à eux confiées
Nous estimons que les problèmes de notre pays reste et demeure l’inégalité qui est à la base des maux sociaux et politiques pour paraphraser (Rousseau et Rawls), nous estimons qu’il il faut une justice sociale qui n’est plus sélective, supprimer le népotisme et créer les conditions d’une égalité des chances partout au niger car la majorité de la population nigérienne et nous précisément ne se sentent pas concernés par la marche du pays , on dirait que le niger s’arrête à Niamey ! Eh bien ,je pèse mes mots et mes propos ne sont pas teintés de régionalisme c’est juste un constat amer ! En guise d’illustration certains concours jusqu’à présent restent, demeurent et se déroulent à seulement Niamey ! Pour nous les jeunes ce n’est pas un mythe, c’est plutôt une question d’observation des faits. Nos institutions doivent être décentralisées d’une manière équitable et ils doivent mettre en exergue la méritocratie non et non cantonner tout à l’ouest du pays ! C’est notre crie de cœur ici que nous exprimons !!!
Citoyen qui œuvre pour un niger nouveau !!
Bonjour, le chômage des jeunes constitue un défi majeur pour le développement socio-économique du pays. Chaque année, des milliers de jeunes achèvent leurs études secondaires et universitaires avec l’espoir d’intégrer le marché du travail. Cependant, l’absence de politiques de recrutement efficaces et le manque d’opportunités d’emploi ont conduit à une situation où plusieurs générations de diplômés restent sans emploi.
Cette situation entraîne non seulement un gaspillage de compétences et de talents, mais elle accroît également la précarité sociale et économique des jeunes, limitant ainsi leur contribution au développement national. Par ailleurs, cette inactivité professionnelle des jeunes constitue un risque potentiel d’instabilité sociale.
Face à ces défis, il est impératif de mettre en place des stratégies de recrutement ciblées et inclusives afin d’intégrer cette main-d’œuvre qualifiée dans les secteurs public et privé. Cela contribuera à réduire le taux de chômage, à dynamiser l’économie nationale et à offrir des perspectives d’avenir aux jeunes générations.
Bonjour à tous
ma noble contribution sera:
Permettre au Président du CNSP à un renouvèlement de mandat;
Prendre toutes décisions qui va dans le cadre de la confédération AES;
Réduire les nombres des partis Politiques;
Réduire le nombre des députés;
Organisés des élections de mis Mandat qui sanctionnerais le régime en place;
Instruire les ministre de venir défendre leurs feuilles de route annuellement;
Organisés les recrutements de certains poste clés par avis d’appel d’offre;
Changé notre devise national;
Refondé en profondeur le système éducatif national;
Je tiens à vous encourager de cette lourde tâche patriotique confiée à vos modestes personnalités
Tout mes petites contributions
1. Dissoudre tous les partis politiques
2. Création de deux partis politiques uniquement
3. Scrutin à un seul tour
4. Un député pour 3000 habitants
5. Régime type présidentiel
6. Regrouper les communes à faible ressources
Je vous remercie infiniment et bonne chance dans vos assises
Felicitations aux membres de cette sous commission. Que Dieu vous assiste et avec des camarades doit nous temoignons l’integritee et surtout le carisme, nous ne doutons pas qu’ils defendront la volontee du peuple nigeriens et qu’ils veuilleront a la justice sociale dans la gouvernace dans les domaines. Il est important de noter que les parties politiques ont detruis tous les tissus social, economique, professionel, relilieux et de justice dans notre pays. Il est aussi important de noter que ces parties et ceux qui les dirigienet ont utiliser leur position pour s’enrichir et mettre autour d’eux des inconditionnels du fait de l’alimentaire. C’est pourquoi, je propose:
1. La dissolution de tous les Partis politiques.
2. La mise en place d’une inspection generale et des audits pour tous les partis politiques,
3. De mettre a l’ecart en tant que dirigeants (et non en tant que militants) de tout nouveau partie politique dans la perspective des prochaines lections generales.
4. Mettre des dispositions pour mettre fin a toute alliance apres le 1er tour des elections.
5. Prevoir des santions penales pour tout parti ou candidats reconnus coupaple d’utilisation de l’argent dans le cadre des elections
6. De mettre en place un Obervatoire de la Gouvernance compose des militaires, de la chefferie traditionnelle, des representanst de syndicats, de la Disposra, des organisations feminies, scolaires, etc. afin de statuer en cas de besoins sur les manquements de tous dirigeants du sommet (chef de l’Etat, aux dirigeanst syndicaux, associations etc.). Cet observatoire aura des decisions executoires immediatement et en cas de refus, les FDS interviendront de plain droit pour ecarter l’indilequat et proceder en son remplacement en meme tant que les autres organes de l’etat continue a vaquer a leur obligations.
7. Mettre fin a la question de lever d’immunite parlementaire afin que tout citoyesn indeliquat fait face a la justice apres decision de l’observatoire de la gourenace en cas de besoins.
Que Dieu continue a accompagner le Niger et son peuple.
Cordialement
Supprimer les parties politiques,
Améliorer les conditions des enseignants pour une éducation de qualité
Bonjour,
A l’attention de la Commission de Refondation politique et institutionnelle
On dit couramment que ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces, pour ainsi admettre que votre commission est assez bien doté de personnalités qu’il faut pour mener à bien la mission à ce sujet.
Cependant une maigre contribution pourrait peut-être comme il convient à tous de contribuer.
Le cadre de référence de la vie publique au Niger est la démocratie pluraliste et ce, depuis la Conférence Nationale Souveraine de 1991. Il consacre l’État de droit, le respect des droits de l’homme et la bonne gouvernance. La situation actuelle du Niger impose de fortifier les institutions, socles de l’expression démocratique et de consolidation de l’État. S’il est vrai que toutes les institutions ont été mises en place à un moment donné, il n’en demeure pas moins que ces dernières n’ont pas joué pleinement leurs rôles dans le maillage de la vie publique.
Pour preuve, le diagnostic que l’on peut tirer, est que jusqu’à la veille de l’avènement des autorité militaire, la gouvernance est jonchée d’actes de corruption, d’inégalités sociales et d’impunité qui ont freiné considérablement l’avancée vers le développement socioéconomique.
Au regard des régimes passés, beaucoup de griefs sont portés au fonctionnement des institutions car, le poids de l’exécutif n’a pas permet que ‘’le pouvoir arrête le pouvoir‘’. La situation que le Nigérien a vécu pendant les régimes dits démocratiques, confirme la considération que le peuple n’est souverain que le jour du scrutin.
Pour qu’il ait une forte démocratie, il faut s’engager à faire les reformes suivantes :
– Concéder au minimum une durée de 10 ans aux autorités militaires pour poursuivre la REFONDATION dans le cadre de la sauvegarde de notre Souveraineté ;
– Démanteler le principe de la laïcité de notre système d’organisation sociale ;
– Associer la chefferie traditionnelle et les leaders religieux dans notre système de gouvernance;
– Dissoudre tous les partis politiques et trouver un mécanisme de les limiter au besoin;
– Démanteler toutes les institutions budgétivores ;
– Trouver un mécanisme permettant de restituer à la Justice son indépendance vis-à-vis des autres pouvoirs,
– Faire élire les Procureurs ;
– Opter pour un Régime présidentiel ;
– Instaurer un système législatif à deux chambres en prenant en compte le niveau d’instruction des élus et en écartant tout contrevenant dans une affaires malversation;
– Dissoudre la COLDEF et donner ses attributions à l’Inspection Générale d’Etat dont c’est la vocation;
– Dissoudre le Fonds de Solidarité et confier son rôle au Ministère des Actions humanitaires à qui ça devrait revenir;
– Faire de la Médiature de la République une Autorité forte du dialogue et du consensus national, elle sera dirigée par un collège de personnalités dont:
Le Doyen d’âge parmi les plus grands chefs traditionnels pour Médiateur ;
Un représentant du Président de la République;
Le doyen d’âge de l’Assemblée Nationale;
Un magistrat désigné par ses pairs,
Un représentant des jeunes;
Une représentante des femmes;
Les deux représentants légaux des plus grandes communautés religieuses;
– Rétablir l’égalité entre tous les citoyens:
Abolir les privilèges bloquant notre société et privilégions les compétences;
Interdire absolument au élus et autre hauts cadres d’embaucher des membres de leur famille dans leurs équipes.
Mettre fin aux injustices de notre système de retraites ainsi que de la pension d’ancien parlementaire;
Augmenter les salaires et les effectifs du personnel des secteurs prioritaires, notamment l’éducation, la santé, le développement ;
Diminuer le train de vie de l’État :
– En réduisant le gouvernement à 20 membres et l’Assemblée Nationale à 85 députés (dont 5 pour la diaspora);
– En supprimant les postes non diplomatiques de chargés de mission ;
– En ramenant à 15 au maximum le nombre de Conseillers à la PR, à l’Assemblée Nationale, au Sénat et à la Primature;
– En réduisant au strict minimum le Parc de véhicules de l’administration ;