
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
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2242 Commentaires
Un seul partie politique pour le pays et un programme décidé par le peuple souverain non par les acteurs de la société civile ni par l’armée par tous et pour tous nous travaillerons pour l’unique partie celui du niger.tant k il y aura deux parties c rater
Mes propositions en vrac :
Réforme de la nomination des juges et des magistrats
Mettre fin à la nomination des magistrats par le président.
Création d’un Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) indépendant , élu par les juges eux-mêmes.
Interdiction aux magistrats de toute affiliation politique.
Création d’un Fonds spécial pour l’indépendance du Parlement et de la Justice, financé par des ressources propres et non par l’Exécutif. Obligation pour le gouvernement de publier un rapport annuel sur l’utilisation des fonds.
Mise en place d’une Cour constitutionnelle réellement indépendante
Juges nommés par un collège mixte (Parlement, magistrats, société civile).
Mandat unique et non renouvelable pour éviter toute pression politique.
Possibilité de destituer un président pour violation de la Constitution.
Contrôle renforcé du gouvernement par le Parlement.
Obligation pour le Premier ministre de se présenter chaque trimestre devant l’Assemblée nationale pour rendre compte des politiques publiques. Droit de veto du Parlement sur les nominations aux postes stratégiques (ministres, hauts fonctionnaires).
Création d’un Comité parlementaire d’évaluation des politiques publiques, avec droit d’enquête.
Mettre fin à la corruption et assurer la transparence.
Création d’une Haute Cour de Justice et de Transparence
Tribunal spécial pour juger les crimes économiques et financiers des hauts fonctionnaires. Compétence étendue aux anciens présidents, ministres et hauts cadres de l’État.
Peines exemplaires en cas de corruption avérée.
Suppression des transactions en cash dans les administrations publiques.
Mise en place d’un guichet unique numérique pour réduire la bureaucratie et les risques de corruption.
Renforcement de la gouvernance locale et décentralisation effective
Transfert effectif des compétences aux régions et communes
Révision du code des collectivités territoriales pour donner aux régions plus d’autonomie dans la gestion de leurs ressources.
Allocation de 30 à 35 % du budget national directement aux collectivités locales, avec obligation de transparence dans l’utilisation des fonds.
Création d’un Fonds de Développement Local, financé par une partie des revenus des ressources naturelles.
Élection des gouverneurs régionaux au suffrage universel
Actuellement, les gouverneurs sont nommés par le pouvoir central, ce qui réduit leur légitimité locale. Leur élection par la population permettra une meilleure prise en compte des réalités régionales. Un mécanisme de révocation en cas de mauvaise gestion ou de corruption doit être mis en place.
Mise en place d’un « Sénat des Régions »
Création d’une Chambre des Collectivités au sein du Parlement pour représenter les régions.
Cette chambre devra être consultée obligatoirement pour toute réforme touchant aux finances locales ou aux ressources naturelles.
Une refondation politique et institutionnelle axée sur les valeurs humaines pourrait s’articuler autour de plusieurs axes clés :
1. Renforcement de la démocratie participative et endogène
– Consultations citoyennes régulières : Instaurer des forums où les citoyens peuvent donner leur avis sur les décisions politiques et les projets de loi.
– Référendums locaux: Permettre aux communautés de voter directement sur des questions qui les concernent.
2. Éducation aux valeurs humaines
– Révision des programmes scolaires : Intégrer l’éducation civique et morale pour renforcer le respect, la solidarité et l’égalité.
– Formations pour les élus : Assurer que les élus reçoivent une formation sur l’éthique, la déontologie, l’intégrité, l’empathie et la gouvernance responsable.
3. Transparence et responsabilité.
– Accès à l’information : Mettre en place des mécanismes de transparence dans la gestion des fonds publics et des décisions politiques.
– Reddition des comptes : Créer des dispositifs permettant aux citoyens de demander des comptes à leurs élus et aux institutions.
4. Protection des droits humains.
– Législation renforcée : Assurer que toutes les lois respectent les droits fondamentaux de chaque individu, y compris les minorités et les plus vulnérables.
– Institutions indépendantes : Renforcer le rôle des autorités indépendantes qui veillent au respect des droits humains.
5. Promotion de l’économie sociale et solidaire.
– Soutien aux initiatives locales : Financer et promouvoir des projets qui favorisent la coopération, l’inclusion et le développement durable.
– Systèmes d’échanges alternatifs : Encourager les monnaies locales et autres systèmes d’échange pour encourager une économie plus humaine.
6. Écologie et développement durable.
– Politiques écologiques : Adopter des lois et des régulations qui protègent l’environnement tout en tenant compte des besoins humains.
– Transition énergétique: Favoriser les énergies renouvelables et les pratiques respectueuses de l’environnement.
7. Renforcement des services publics
– Accès égalitaire : Garantir que tous les citoyens aient accès aux services de santé, d’éducation et de justice.
– Investissement dans les ressources humaines : Former et rémunérer correctement les travailleurs du secteur public pour garantir un service de qualité.
Conclusion
Cette refondation politique et institutionnelle devrait s’appuyer sur une vision commune des valeurs humaines, centrée sur la dignité, l’égalité et le respect de chacun. En mobilisant les citoyens et en garantissant leur participation active, nous pouvons construire un système plus juste et plus inclusif, capable de répondre aux défis de notre temps.
Assalamou aleikoum chers frères rendons grâce à Allah pour la tenue de ces assises
Pour la durée de la transition, je pense qu’il faut planifier une période électorale avec les autres pays de l’AES. Sinon pour moi c’est la durée de la transition n’est pas aussi pertinente, nous avons un grand défi sécuritaire. Des écoles fermés, des villages déplacés, nous devons d’abord assurer le retour des déplacés et réfugiés, la réouverture des écoles fermées. Le CNSP doit assainir et stabiliser le Niger avant de le remettre dans les mains des politiciens
Membres CNSP, vous êtes la dernière chance pour le Niger, dan Allah il faut regarder le Niger, après tout le sacrifice du peuple, vous voulez vite vous en débarrasser pour le remettre la gueule du loup, parce que les politiciens sont des loups
Vous voulez des institutions fortes et performantes ?
Mais vous ne mettez pas en place les mécanismes pour garantir la méritocratie dans le recrutement des cadres ?
Et vous voulez que le pays avance ?
En plaçant des gens dont le seul mérite est de savoir soutenir telle ou telle mouvance ?
Continuer a demandez « tu viens de la part de qui » au jeunes qui postules dans vos institutions.
Continuez dans le culte de l’ego et des personalités.
Continuez a bloquer les admis des différents concours quand les « diyan man’ya » echouent. Vous allez voir si le pays va aller quelque part.
qu’Allah guide vos décisions
un président en exercice, s’il est candidat pour un second mandat doit démissionner;
l’organe qui organise les élections (CENI par exemple) doit etre dirigé par 3 personnes: 1 du pouvoir en place, 1 de l’opposition et 1 de la société civile;
les résultats des scrutins doivent etre scannés par les répresentants de tous les candidats (président, deputés, conseillers) et publier sur les RS ainsi cet organe (CENI) va proclamer les résultats le même jour;
aucun scrutin ne doit se faire au delà d’une journée;
les magistrats doit etre autonomes et indépendant de la présidence de la république
le PR ne doit pas nommer un parent proche dans son cabinet; valable pour les ministres et DG;
pour etre ministre, il faut avoir fait ses preuves au sein de la fonction publique ou démontrer ses compétences dans un domaine privé ayant été bénéfique pour le Niger
Avant tout, il faut savoir choisir les futurs hommes politiques à travers dès enquêtes de moralité pour éviter le retour à la situation chaotique de notre pays. Déterminer le nombre de fois qu’un homme politique peut prétendre à être sélectionné parmi les candidats.
Durée de la transition: pour une question d’harmonisation , je souhaiterais une concertation entre les autorités actuelles du Niger avec les deux autres pays de l’AES à savoir le Mali et le Burkina Faso pour convenir d’une même durée.
Responsabilisation et imputation: pour des nominations au poste de responsabilité notamment ministres, directeur général, directeur, etc : attribuer un cahier de charge et chaque mois , le responsable fait la situation de l’atteinte des résultats attendus. Si les résultats ne sont pas atteints de manière objective dans les conditions normales d’exercice, remercier tout simplement le responsable.
Développement des différents secteurs notamment l’agriculture, l’élevage, les mines, l’énergie, l’industrie etc: identifier les freins au développement de ces secteurs. En général les diagnostics sont connus donc ne perdons pas de temps à l’identification et propositions de solutions.
Tous les techniciens, ingénieurs doivent être mobilisés sur le terrain pour faire le travail. Exemple je ne peux pas comprendre que presque dans tous les domaines nous avons des professeurs, des docteurs, des ingénieurs, des techniciens des agents de maîtrise, des ouvriers spécialisés et aujourd’hui nous nigériens nous ne sommes pas à mesure de faire une bonne route, de faire un barrage hydroélectrique, de transformer les produits agricoles et d’élevage, de faire de l’irrigation etc. A ce niveau on demande à l’état de mettre à la disposition le matériel pour faire le travail. Exemple si l’état peut mettre à la disposition des machines qui peuvent forer pour avoir de l’eau pour l’agriculture partout où il y a le potentiel nous n’auras plus besoin d’importer la nourriture comme le riz, le mail etc. Il faut développer les centres professionnels pour produire sur place le matériel dont on a besoin. Tant que nous ne produisons pas nous même le Niger ne peut pas se développer.
Aide ou prêts auprès des institutions financières ou partenaires au développement : comme le dit Thomas Sankara, l’aide qui ne permet pas de s’en passer de l’aide on n’en veut pas. D’abord comprenons que ces aides ou ces institutions financières sont créées pour nous maintenir dans la dépendance et le sous développement. De mon expérience parmi tant de travers de l’aide ou des prêts FMI, Banque Mondiale et autres, ils vous prêtent de l’argent mais tout retourne chez eux car les prestataires c’est eux directement ou indirectement, les experts c’est eux et pire ils vous dictent comment le dépenser. Il faut vraiment casser ce cycle pour que si un jour nous devons consentir un prêt tout sera dépensé au Niger et orientés à des objectifs de développement.
Création d’un fonds et un appui pour l’innovation. Je vois beaucoup de talents nigériens surtout des jeunes qui créent et innovent que l’Etat doit encourager et appuyer. Je propose que l’Etat créé une structure financière rattachée à la présidence ou primature pour appuyer ces jeunes. Je propose déjà de faire un inventaire de ces jeunes qui innovent et créent, les encadrer, les appuyer financièrement et matériellement pour que les prototypes qu’ils ont créé puissent être valorisés. nous ne pouvons nous développer que par notre génie local de création. Ces dernières années il y a beaucoup de jeunes pépinières dans divers secteurs qui n’attend que le soutien de l’état pour matérialiser ou mettre dans le marché leur innovations.
Sil n’y a pas un moyen d’empêcher le vol des victoires électorales, un mandat présidentiel unique de 8 ans serait mieux.
Cela pourrait faire économiser les sommes exorbitantes dépensées dans l’organisation des élections de deuxième mandat souvent émaillées d’irrégularités, de bourrage d’urne, de braquage et de trucage.
Qu’à tous les niveaux, il y ait seulement un scrutin, donc pas de second tour.
Que seul le nigérien d’origine âgé de 35 ans à plus et dont l’âge ne dépassera pas 75 ans à la fin du mandat unique de 8 ans soit autorisé à se présenter aux élections présidentielle, législative et municipale qui sont organisées le même jour.
Qu’aucune révision de la constitution ne remette en cause les dispositions sur la durée du mandat et les critères d’éligibilité.
Suppression des groupes parlementaires à l’AN afin de se conformer au principe de nullité de mandat impératif.
As salam aleykoum
Pour une refondation politique moi je suis convaincu que l’idéologie islamique me paraît une solution mais pas dans l’immédiat mais un projet bien structuré pour l’avenir de ce pays dont la fondation doit posée par les assises nationales.
Merci beaucoup pour votre compréhension.