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14 février 2025Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
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840 Commentaires
Je propose 1)une transition de 4 ans jusqu’à la réalisation des grands projets en cours. ONAHA , raffinerie de Dosso kandadji et autres. 2) depolitiser le poste de premier ministre. 3) les mandats des présidents ne doivent pas dépasser 5ans pas renouvelable. 4) limiter le nombre de partis politiques a 12 et tout parti politique qui ne gagne pas 20 députés reste non éligible pour les prochaines élections.et avoir une assise nationale. Supprimer ou réduire les appuis aux partis politiques. Avoir un droit de regard sur les cotisations des militants…..
Assalamou alaikoum
Nous allons être très bref pour vous dire qu’en ce qui concerne la réconciliation je dis tout simplement :
c’est à dire il faut d’abord situer les responsabilités avant de pardonner car on ne peut pas pardonner une faute qu’ont ne connaît pas ni à un inconnu
La paix et la cohésion passent par la justice.
Il faut transmettre tous les dossiers pour juger tous les délinquants afin d’un assainissement .
Il faut dissoudre carrément les partis politiques et réhabiter la Samaria
Metre les fds dans les Bonne conditions ils faut les augmente leurs salaires achete des equipment millitaire des nouvelle generation ent suite metres toutes les fonctionnaires dans les Bonne conditions. Pas retard au services
Au faite je salue avant tout votre courage a l’égard de cette tâche qui vous est confiée. En effet pour parler de la sécurité il faut penser a l’éducation car la vraie sécurité d’un pays se résume autour du système éducatif d’un pays. Si le système éducatif d’un marche pas comme ça se doit je ne pense pas si la sécurité, la paix et la cohésion sociale peuvent en marché. En plus, la mauvais traitement du système éducatif conduit les enfants a être des illustrés, les illustrés constituent une menasse d’un pays. A titre de proposition, je propose a ce que le changement commence à notre système éducatif, qui permet de changer notre mentalité, avoir des jeunes armés très intellects et aguerris avec une bonne cohésion sociale surtout de revoir le programme de notre système éducatif.
L’honnêteté intellectuelle et l’amour de la patrie commandent de faire le mea culpa de la conférence nationale souveraine dont les conséquences, faut-il le rappeler ont été désastreuses pour le développement du Niger.
– Altération de la cohésion sociale et remise en cause de l’unité nationale ;
– Déclanchement de la rébellion armée suite au mauvais traitement du dossier des évènements de Tchintabaraden
– Mutineries consécutives à la banalisation de la hiérarchie militaire illustrée par l’humiliation en pleine conférence du chef d’état major en exercice (père du ministre de l’intérieur actuel).
– Arriérés de salaire résultant de 3 mois de non travail ;
– Divulgation des secrets d’État ayant facilité la tâche aux puissances extérieures ;
– Mauvaise perception de la démocratie se traduisant par un dévoiement de la liberté d’expression, un discrédit jeté sur nos valeurs traditionnelles caractérisées par certaines velléités de suppression de la chefferie traditionnelle.
Partant du constat des échecs de la Conférence nationale ayant engendré une instabilité chronique qui plombe le développement du pays (5 républiques en 35 ans soit une république tous les 7 ans) comme l’a si bien dénoncé le Gouverneur de Niamey dans son intervention.
En conséquence, il ne faudrait pas, sous prétexte d’inclusion et de réconciliation, que l’on en vienne à occulter ou à passer par pertes et profits les actes graves ayant conduit à :
– L’aliénation de la souveraineté du pays et son inféodation à des puissances extérieures ;
– L’altération du tissu social et de la cohésion nationale
– La spoliation du patrimoine et des richesses du pays ;
D’où la nécessité parmi les priorités de la transition de la mise en place d’une structure de vérité et justice pour situer les responsabilités, sanctionner les coupables et indemniser les innocents.
– Faire de la culture de la paix, le moteur des relations humaines internes et externes.
– Garantir la sécurité individuelle et collective des citoyens en tous lieux et en toutes circonstances par le renforcement des capacités de ripostes des FDS.
– Promouvoir les valeurs ancestrales de cohésion sociale, de piété, d’unité et de solidarité nationales.
– Encourager la parenté à plaisanterie sur des bases saines de compréhension réciproque et d’entente mutuelle.
– Promouvoir la culture de citoyenneté responsable par le respect des couleurs nationales et les attributs de la république.
– Cultiver la tolérance religieuse et encourager le dialogue inter-religieux en bannissant tout esprit de secte, de clan ou de communautarisme.
– Doter les FDS des moyens matériels humains et technologiques modernes pour répondre à toute adversité (harmoniser la formation commune de base de tous les corps habillés et éviter toute disparité afin d’assurer la compétitivité en leur sein).
– Réintroduire le service militaire obligatoire pour les jeunes nigériens en âge d’intégrer les FDS.
Assalamou aleykoum waraha matoullah.
Bonjour les embassadeurs de la paix
Avant toute décision ou solution,
Construisez d’abord le mur sur toute la frontière nigérienne,
Un mur électrique s’il le faut,
Et pourquoi pas ?
C’est la première solution.
Merci
Pour plus de paix et de sécurité, il faut plus associé la populations autochtone concerné par cette insécurité dans le renseignement et la prise de certaines décisions, les associés dans les sensibilisations, créer de l’emploi pour la jeunesse et créer des comités d’échange dans toutes les communes!!
Dans le cadre de la cohesion sociale je propose la rehabilitation de 《GAYA》autrement dit les travaux collectifs. Comment peut on comprendre que pour trailer une enclave pastorale envahie par les especes herbacees non appetees il faut zttendre un projet. Dans les grands villes compte tenu de l incivisme il faut organiser le GAYA pour les assainir. Pleine de developpement peuvent etre realisees a Travers cette approche
Chers membres de la Commission Paix, Sécurité, Réconciliation et Cohésion,
Recevez mes salutations les plus distinguées.
Que ces assises soient un levier pour instaurer la paix, la sécurité et la cohésion sociale, et non un terrain de division, d’ethnocentrisme ou de régionalisme, comme l’ont malheureusement laissé en héritage certains anciens dignitaires du Niger. Nous avons pleine confiance en cette commission et sommes convaincus qu’elle atteindra ses objectifs afin d’entrer dans l’histoire. Il s’agit ici d’une question de destin pour tout le Niger. Comme le rappelle le noble Coran : « Comme tu fais, on te fera. »
Si vous choisissez de mener le Niger vers une véritable indépendance, l’histoire retiendra votre engagement. Mais si vous laissez place à des considérations politiques et personnelles, cela n’engagera que vous. Car le Niger d’aujourd’hui est et restera debout, envers et contre tout.
Nous faisons face à un terrorisme international qui nous a été imposé par les mêmes figures politiques présentes lors de l’ouverture de ces assises. Chacun a été témoin de leur gestion et des conséquences désastreuses qu’elle a eues pour notre pays. Il est donc impératif de rompre avec le passé et d’opérer de véritables changements.
Nous devons réviser la Constitution, héritée du colonialisme et de l’impérialisme, afin de fixer une durée de transition de cinq ans, réduire le nombre de partis politiques insignifiants et adapter les critères d’âge pour les candidats à l’élection présidentielle. Ce n’est qu’en posant ces bases solides que nous pourrons reconstruire notre nation et transformer notre culture politique. Alors, et seulement alors, nous pourrons parler d’élections crédibles et bénéfiques pour le Niger.
L’heure du changement est venue.
Je vous remercie.