Economie et Développement Durable
Construisons ensemble une économie durable !
La Commission Économie et Développement Durable vous invite à partager vos idées pour une croissance inclusive et respectueuse de l’environnement. Quelles solutions proposeriez-vous pour un développement équilibré et durable ?
Laissez votre proposition en commentaire et participez à la transformation de notre économie !
3444 Commentaires
Ma voix est la voix de toute la jeunesse Nigérienne, en apportant ma contribution dans l’assise nationale , j’enumerai quel point qui me tient à cœur. SEM le chef de l’état, le CNSP doit veiller à ce que aucun individu mal intentionné ne reviens au pouvoir, rendre la justice à tous les nigériens qui attendent toujours que justice soit faite depuis l’avènement du 26 juillet, changer la démarche de la coldeff que le peuple nigérien n’arrive toujours pas à comprendre, faire la promotion de la jeunesse dans tous les secteurs, mettre une transparence dans les différents concours, combattre la corruption à tous les niveaux, relâcher tous les innocents politiques condamnés arbitrairement par le régime déchu, réduire le chômage en multipliant les usines de transformation….
Bonsoir et bon début des travaux des Assises Nationales.
Mes souhaits les meilleurs pour la réussite des travaux.
Cependant, à mon avis la fécondation ne peux être que si nous nous éloignons de la démocratie de type occidental.On peut trouver un modèle dans nos réalités socio historiques.Secondo, le développement économique de notre chèr pays doit impérativement s’appuyer sur un Schéma National de l’aménagement du Territoire.
Faisons tout pour qu’il soit une priorité nationale pour le gouvernement après ces assises.
Bonne réception et je reviendrai plus tard pour des propositions concrètes si vous le voulez bien
Il y a trois problèmes qui empêche développement social économique, il faut décider à cet effet. Il s’agit de la corruption, la laïcité et l’ignorance.
Salam à tous les membres.
Mes contributions.
1. Diversification des partenaires économiques
2. Signer des contrats gagant gagnant et qui mettent en avant les intérêts de notre pays.
3. Exiger la prise en compte des aspects environnementaux et sociaux lors des signatures contrats .
4. Mettre l’accent sur lemployabilite des jeunes
5. Mettre l’accent sur la formation profetionnelle et mettre en place des mécanismes pour le financement des projets porteurs des jeunes.
6. Soutenir de manière évidente les initiatives de création des entreprises à travers la création d’un climat des affaires attractivité.
7. La chambre de commerce doit jouer rôle moteur de promotion et de soutien aux initiatives de créations d’entreprise.
8. Les agronomes et autres cadres du ministère de l’agriculture doivent véritablement jouer leur rôles en proposant des initiatives de modernisation de notre agriculture.
9. L’initiative sur le programme de grande irrigation doit être généralisée et suivi sans complaisance pour l’autosuffisance alimentaire.
10. Signer des contrats de coopérations sous forme d’assistance a nos producteurs avec les pays comme la Chine, l’inde, le Pakistan qui sont très loin en matière de programme d’irrigation
11. L’état doit contrôler, ou même gérer l’exportation des détails, de la viande, des.cuirs et peaux, du kilichi,…
Bonjour,
Je formule le vœu d’une bonne assise
Je souhaite la réactivation des inspections inopinées dont la durée d’intervalle n’excède pas six mois couplées aux inspections régulières.Cela remettra les agents au travaille et empêchera le détournement des deniers publics.
D abord toutes les thématiques roulent sur la justices équitable et la bonne gouvernance économique, politique, sociale, culturelle , éducative , sanitaire
CI JOINT MA. CONTRIBUTION
> REFONDATION SUR FOND DE
> TOILLETTAGE JURIDICO-IDEOLOGIQUE ET FINANCIER DES IDEES POUR UN ESSOR ECONOMIQUE SOUVERAIN
> La refondation bien ancrée suppose aller de la déconstruction idéologique juridique des textes et des connaissances à la reconstruction économique et financière dans l’espace public, lieu symbolique dans lequel circulent les idées.
> Or la marche économique et financière actuelle du pays semble fortement influencée par des mécanismes conçus ailleurs. Ces mécanismes sont tout juste pertinents pour les intérêts étrangers.
> La pensée unique néolibérale a quasiment englouti tout le droit dit positif, sous la loi du marché comme un carcan blindé.
> Le franc CFA, le dollar et les choix paradoxaux d’investissement en sont la matérialisation dont on va tenter d’analyser, ci-après, les effets pervers sur le développement durable du pays.
> L’objectif est ici, de s’en rendre compte, faire le point et s’en débarrasser méthodiquement pour réussir la refondation idéologique, économique et stratégique de la nation.
> 1. *Briser Le carcan des textes internationaux*
> Le néolibéralisme inspiré de la compétitivité pour le développement, semble-t-il, le mieux-être de toutes les personnes humaines à travers les libertés, a largement glissé vers un nouveau carcan suivant son principe quasi-sacré de l’économie du marché qui n’est, en réalité, que de la loi des ‘ *marchands États* ’ les plus puissants.
> Tout doit leur être vendu, tant qu’ils le voudront, mais les autres ne peuvent ni vendre ni acheter librement des denrées telles que les idéologies, l’uranium, les armes de guerre et mêmes des dettes.
> En fin de compte rien, ni les capitaux, ni les opinions, encore moins les libertés n’échappent à la dictature du marché instituée par le droit international désormais mué en démocratie débridée sous la férule de l’impérialisme occidental.
> C’est ainsi que, jusqu’ ici, tout est régi dans notre pays par la référence constante aux agendas dits internationaux qui n’en sont que pour les ambitions égoïstes d’un petit groupe d’États qui se proclament unilatéralement communauté internationale.
> On peut en citer entre autres, le libre-échange à sens unique, le changement climatique, le genre/droits humains, la démocratie multipartite dont les visées sont respectivement, arracher les consommateurs d’autrui, bloquer l’industrialisation des autres, freiner le déséquilibre de la reproduction humaine au détriment de l’occident vieillissant et monétiser y compris la liberté.
> S’agissant du malaise de la liberté par laquelle jurent certains donneurs de leçons, on n’en voudrait pour preuves que la justice payante, la libération sous caution, les opinions inaudibles à cause des médias coûteux, inaccessibles au citoyen moyen, les candidatures et les élections politiques financiarisés etc.
> Tout ceci par le truchement de la privatisation de l’économie, du pouvoir d’État, la désétatisation des œuvres sociales régaliennes, la dictature du capital financier privé etc.
> Le tout est couronné par la standardisation politico-technique des indicateurs de développement à l’échelle mondiale, nous classant toujours dernier, de sorte que le souci d’en sortir, fait que tout est prioritaire, non pas pour résoudre pertinemment nos problèmes mais pour répondre aux injonctions des puissances de l’argent, dispersant du coup, toutes nos énergies en voulant atteindre un niveau de consommation localement inconnu et auquel, évidement, la base populaire n’aspire nullement.
> En fin de compte les règles et les idées auxquelles l’État obéît font que nos solutions, pertinentes, nos priorités et nos potentialités sont tributaires de la pensée unique occidentale sous le couvert de ce qu’on appelle, aujourd’hui démocratie qui se confond totalement à la fameuse loi, pour ne pas dire la tyrannie du marché.
> Le gouvernement actuel y travaille, sincèrement peut- être ou à son corps défendant, car beaucoup d’actes et de déclarations en lien avec la gestion du pays riment ou s’en réfèrent, surtout lorsqu’il s’agit de haut -patronage des réunions d’activités financées par certaines organisations Onusiennes ou leurs « hommes de mains » parmi les ONG étrangères.
> Une refondation décomplexée de la vie nationale voudrait que tous les textes et toutes les idées qui sous-tendent ces activités et leurs financements soient revisités et purgés, par chaque cadre et chaque citoyen respectivement du haut de sa responsabilité et ou de son patriotisme intransigeant, avant toute éventuelle poursuite du travail.
> A cet égard, on peut déjà noter le ton donné dans les actes ponctuels posés par le CNSP sans que cela ne soit systématisé et érigé en principe cardinal de sa gouvernance. Pourtant il le faut et au plus vite pour que toutes les réflexions stratégiques voire les plans de contingence en soient inspirés, et aux niveaux institutionnels et aux niveaux populaires et civils.
> 2. Se dégager du joug financier international* .
> La finance internationale pille nos ressources à travers le franc CFA et le Dollar aux lois desquelles nos économies sont directement soumises ; il convient de s’en libérer résolument pour gérer librement et prospérer souverainement.
> *Abandonner le Franc CFA : faux billet à Paris.
> Le franc CFA, monnaie utilisée au Niger et dont les vertus économiques sont tant chantées, ne se dépense pas sur le sol de la France, pays qui avait, jusqu’à récemment la primauté dans l’achat de nos ressources stratégiques.
> Ainsi le CFA étant invalide le Niger doit trouver chaque fois que de besoin de l’euro pour acheter les produits français dont, il a besoin. C’est le comble de la duperie
> De même le CFA est invalide pour libeller et garantir le remboursement des dettes de réalisation des projets, souvent dictés, ou de payement des prestations des entreprises françaises et autres.
> En effet l’€uro et le Dollar sont, seuls, valables pour le service de la dette hors zone CFA et le payement légal du reste du monde, y compris certains de nos voisins immédiats.
> Ce qui limite fortement la marge de manœuvre et les opportunités de nos concitoyens ordinaires dans les échanges transfrontaliers directs.
> En plus la zone Fcfa nous assurerait prétendument, la couverture des déficits d’importation en Dollars ou en €uro pour justifier son cours dans notre pays, alors que les autres pays à monnaies nationales ne se plaindraient de rien du tout à cet égard ; mieux ils sont plus solides que le Niger.
> D’ailleurs avec notre balance commerciale toujours déficitaire du fait surtout des importations de luxe, nous ne sommes que perdants tout le temps en train de s’endetter en Dollar ou Euro pour rembourser.
> L’avantage supposé de l’arrimage du CFA à l’euro sur fond de stabilité monétaire des pays est contrebalancé par le fait que les besoins de nos économies ne sont pas les mêmes avec ceux de la France /EU.
> En fait ils demandent très peu de nos biens et nous achetons beaucoup de leurs produits de sorte que les politiques économiques et financières qui nous avantagent véritablement, contrarieront leurs visées sur nos consommateurs.
> Dans cette perspective, des conventions et accords sont arrachés pour limiter un crédit suffisant à l’économie du secteur primaire et à l’industrialisation. C’est précisement le cas avec la privatisation puis la faillite organisée de la CAIMA
> En effet le sous-développement dans lequel on est délibérément maintenu se caractérise par une relation de dépendance vis-à-vis des pays « industrialisés » en l’absence de production de biens, d’investissement de capitaux propres dans notre pays, rendant nécessaires les importations de ces biens, elles-mêmes financées directement ou indirectement par des exportations de matières premières.
> C’en est visiblement un piège à con qui ne fait que trop durer.
> Au regard de tout ce qui précède, on peut péremptoirement conclure que le FCFA est une fausse monnaie encore utilisée par la France pour se servir gratuitement de notre uranium et de notre endettement extérieur.
> II est temps qu’on s’en débarrasse fermement car aucune conséquence néfaste ne peut être plus lourde que celles dejà subies, depuis des décennies.
> Il urge de faire les calculs précis et décomplexés sur les risques qui ne seraient d’ailleurs qu’une vue de l’esprit des techniciens, lesquels portent encore les traumatismes de leurs formations académiques mystifiantes.
> Restreindre l’emprise du Dollar, cet outil de pillage légalisé.
> L’endettement quasi généralisé du pays qui se fait en dollar ou en Euro ne semble pas au service de la nation.
> En effet les dettes extérieures étant remboursées en dollars, il faudrait nécessairement trouver cette monnaie pour les rembourser.
> Or notre économie qui fonctionnement avec le CFA ne peut pas générer le dollar pour payer les 3200 milliards de CFA dus aux étrangers.
> Les engagements internationaux, fussent-ils dictés, étant des impératifs catégoriques, la nation doit s’endetter chez les propriétaires de la devise impériale obligatoire, le Dollar, soutenue par nulle garantie, fabriqué suivant les droits de tirage spéciaux pour rembourser ses dettes.
> Ces dollars sont dépensés dans leur pays ou au profit de leurs firmes implantées ailleurs par le truchement des importations des biens et services dits modernes dans le cadre des réalisations des gros projets, souvent sans effets significatifs de levier pour l’économie locale.
> En réalité, bien avant la suggestion de ces projets par eux-mêmes, les calculs de rendement pour leurs économies respectives sont déjà bouclés et les partages des marchés convenus entre eux.
> Ainsi, ils savent qui doit fournir quoi à quel moment. On vient simplement nous dire ou « convaincre » que c’est préférable d’importer tels produits suivant le principe de qui paye dicte. Cela est valable même pour les projets aux financements à caractères sociaux ou humanitaires dans le domaine de la santé, de la sécurité alimentaire où le semblant de solidarité est bien sous-tendu par des calculs de vente de leurs produits.
> Au bout du compte tout l’endettement extérieur sert à enrichir les étrangers qui le prêtent d’une main et le reprennent de l’autre et tout ce qu’on produit et exporte ne sert qu’à rembourser des investissements « fictifs » en richesses réelles.
> Finalement le financement en dollar de notre économie est un pillage organisé et quasi systématique que l’on subit avec l’illusion qu’ont les cadres techniques et les dirigeants stratégiques, de bien comprendre et de se conformer aux « saines » règles de la finance internationale.
> En réalité il s’agit de cette duplicité arrosée par des pots de vin et autres intimidations à laquelle les gens se sont prêtés pendant longtemps, au détriment de la nation.
> Il y a fort à craindre que les milliards de dollars promptement lâchés par la banque mondiale pour financer notre agriculture, ne soit une anticipation pour étouffer nos élans souverainistes tendant à rejoindre les BRICS. Ne visent-ils pas qu’à nous maintenir dans le carcan pilleur de l’impérialisme du fait des engagements qu’on aurait pris à la va-vite ? La vigilance patriotique voudrait bien qu’on s’y interroge.
> Dans tous les cas, à présent que la refondation est en cours, tous les financements courants doivent être repassés au peigne fin et révisés librement. Aussi toutes les nouvelles initiatives d’endettement doivent être analysées par les trois tamis superposés de la pertinence évidente, de la priorité absolue et de l’impact positif bien calculé et recalculé, si l’on tient vraiment à se soustraire du pillage économique perpétuel.
> 3. En finir avec les contradictions entre idées et actes.
> Les idées et des actes dans les investissements sont contradictoires particulièrement dans le secteur primaire (agriculture élevage). Tout se passe comme si l’économie consiste, non pas à générer des revenus pour la population active, tel que ce devrait être, mais à produire des recettes directes pour l’Etat, quelles que fussent les sources, pour assurer des importations à la limite, luxueuses au service d’extrêmes minorités.
> C’est pourquoi la question de l’emploi des ruraux, principaux pourvoyeurs de PIB (à 44.6% en 2022) n’est plus une priorité depuis des années, sous le diktat du FMI et de la BM, au point que les gouvernements ne s’astreignent, essentiellement, qu’à payer les dettes extérieures.
> Ainsi les yeux des cadres et des dirigeants sont rivés sur l’exploitation des ressources naturelles hors terres arables, temps libres et bras valides.
> Or l’impact des recettes issues de l’exploitation des matières premières, quelle que soit l’ampleur de la redistribution, ne pourrait que réduire relativement les vulnérabilités sans constituer des revenus à épargner issus de la production directe.
> A titre d’exemple, il est reconnu qu’en Arabie saoudite, les revenus du pèlerinage est la meilleure manne de la population active en dépit de revenus de 8 à 10 millions de barils de pétrole par jours, pour le royaume.
> Dans la même lancée tout en proclamant invariablement et à juste titre, que l’agriculture et l’élevage sont les deux mamelles de l’économie du Niger, les investissements sont paradoxalement orientés ou programmés vers d’autres secteurs beaucoup moins pertinents.
> En effet, dans la mentalité des cadres fortement influencés par les bailleurs de fonds extérieurs, on ne voit que la sécurité alimentaire à travers l’agriculture, mais pas de revenus consistants encore moins d’épargne générée, de sorte à ne pas mériter des investissements sérieux. (Estimé 2 à 3% des investissements publics ? )
> Ce faisant, la base de l’économie réelle, source de croissance reconnue et considérée déterminante chaque année, n’est curieusement pas l’objet de l’attention logique et légitime qu’elle mérite.
> Pourtant le vrai travail de reconstruction économique ne peut en aucun cas se passer de la revalorisation du secteur primaire où présentement les capitaux : terres arables, semences, temps libre et bras valides sont dangereusement négligés.
> En fait ces capitaux ne sont exploités qu’à peine à 30% de leurs potentiels faute du facteur clé qui est l’eau d’irrigation.
> Par conséquent la reconstruction économique est inéluctablement liée à la mobilisation de l’eau par un développement énergétique fulgurant dans la structure de la production agricole.
> Fort heureusement, le pétrole, l’uranium et le charbon déjà en exploitation et l’imminent barrage de Kandadji peuvent servir de rampe de décollage énergétique du Niger.
> Désormais la conception des programmes de développement doit en tenir obligatoirement compte, si tant est que les cadres et les dirigeants comprennent et croient le contenu de leurs discours sur la croissance économique du pays.
> Dans tous les cas les richesses des hommes et de toutes les nations sont construites avec les moyens de production les plus répandus au sein de la population active et non pas par de recours à des sources de financement les plus faciles et standardisées tel que c’est le cas actuellement.
> On peut d’ailleurs se demander, si en relisant nos ambitions nationales sous le tamis triangulaire de la pertinence, des priorités et des potentialités, notre économie ne fera pas de grands Pas de développement durable ?
> Aux spécialistes décomplexés et libres de confirmer ou réfuter et remplacer cette hypothèse-là.
IPH.. Hassane Laouel. Lélégomi
Bonsoir
C’est un grand plaisir de voir ce jour qui consacre l’ouverture officielle des assises nationales au Niger. A mon avis les sessions doivent mettre un accent particulier sur:
1) La justice : réforme des textes et veiller à leur application sans pitié,
2) le changement des mentalités : des initiatives de changements des mentalités doivent être mises en place à tous les niveaux, société, école, administration publique, gestion des biens publics,
3) le suivi évaluation et la redevabilité sont à promouvoir à tous les niveaux. Chaque détenteur des pouvoirs publics doit rendre compte de manière périodique . Des mécanismes rigoureux de suivis et évaluation des politiques publiques doivent être mise en place sur la base des indicateurs objectifs vérifiables
4) la distribution des responsabilités entre le niveau central et les niveaux décentralisés et déconcentrés. L’état doit créer les conditions pour asseoir le développement endogène à travers la base.
En matière de justice:
– Nul ne bénéficie d’immunité quelque soit son rang , sa classe politique.
– Tout agent de l’Etat mise en cause doit démissionner jusqu’à faire la preuve d’un contraire.
Suis très heureuse de voir ce jour si important dans l’histoire de notre cher pays tant meurtri. Toutes mes remerciements à Allah SWT et je prie qu’il soit votre éclaireur pour les travaux de ces assises nationales. Pour qu’au sortir, nous ayions les résultats les meilleurs , les bases sur les quelles, nous nous appuyons pour avancer et parvenir à cet ère nouvelle, dans un Niger nouveau,uni, solidaire, prospère, travailleur, juste, équitable, riche, et surtout libre !
Vive le Niger,
Vve le CNSP,
Vive les assises,
K’Allah bénisse davantage le peuple.
Objet : Propositions pour une refondation solide et durable du Niger
Excellence,
Distingués membres du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie,
Chers compatriotes, je suis Nigerien étudiant en Algérie….
La refondation de notre cher Niger est une opportunité historique qui nous est offerte pour bâtir un État fort, souverain et prospère. À travers ces assises nationales, nous avons la responsabilité collective de poser les bases d’un développement durable, d’une gouvernance transparente et d’une unité nationale renforcée.
1. Une gouvernance exemplaire et transparente
Mettre en place une charte de la transition claire, garantissant une gestion honnête et efficace des affaires publiques.
Renforcer les institutions de lutte contre la corruption et assurer une meilleure gestion des ressources naturelles.
Décentraliser l’administration pour rapprocher les services publics des citoyens et améliorer leur efficacité.
2. Sécurité et souveraineté nationale
Renforcer nos forces de défense et de sécurité avec une stratégie nationale de lutte contre le terrorisme.
Promouvoir une coopération équilibrée et souveraine avec nos partenaires étrangers.
Encourager l’implication des citoyens à travers des comités locaux de vigilance pour une meilleure sécurité communautaire.
3. Économie et pouvoir d’achat
Réduire les prix des produits alimentaires et de première nécessité pour soulager les citoyens.
Diversifier l’économie en soutenant l’agriculture, l’élevage et les industries locales pour réduire la dépendance aux importations.
Garantir du travail aux étudiants en facilitant leur insertion professionnelle après leurs études.
Développer de nouvelles filières industrielles, notamment dans l’aéronautique et les énergies renouvelables, pour moderniser le pays.
4. Santé et éducation pour tous
Garantir l’accès universel et gratuit aux soins de santé avec des infrastructures modernes.
Réformer le système éducatif pour qu’il soit plus adapté aux réalités économiques et culturelles du Niger.
Développer la formation professionnelle pour créer davantage d’opportunités d’emplois pour la jeunesse.
Valoriser l’enseignement des valeurs civiques et patriotiques afin de renforcer l’unité nationale.
5. Unité nationale et cohésion sociale
Promouvoir un dialogue inclusif et permanent entre les différentes composantes de la nation.
Protéger et valoriser notre patrimoine culturel pour renforcer notre identité nationale.
Mettre en place des programmes de réconciliation et de justice sociale pour garantir une paix durable.
Le Niger a aujourd’hui l’opportunité de poser les fondations d’un avenir stable et prospère. Ce renouveau doit être bâti sur la justice, la transparence et la souveraineté nationale. Que ces assises nationales soient un tournant décisif pour notre nation.
Que Dieu bénisse le Niger et guide nos pas vers la prospérité et la paix !
Amine
En parlant de l’économie il faut aussi parler du chômage, l’état doit créer les conditions nécessaires et suffisante pour utiliser la jeunesse en vue de son développement. Comment on peut dire que nous avons plusieurs universités dont ah moins trois facultés d’agronomie et que même un hectare n’est exploité par ceux ci. L’état doit essayer de diminuer le nombre d’heure d’etude dans les universités et ainsi imposer à chaque étudiant 4h de travail pour payer sa scolarité et l’état lui octroyera une subvention pour qu’ils survivent. Peut être même couper la bourse des étudiants l’investir pour créer des institutions prêts à les accueillir pour lesdits travaux. Personnellement je suis étudiant et je pense que la bourse de l’état rend certaines personnes fainéants ils ne vivent à l’université que pour la bourse et avec la bourse. L’état peut les utiliser les mettre au travail chacun en fonction de sa filière. Les sociologues et psychologues envoyez les à Tillaberry Diffa Maradi Tillia pour nous faire une analyse sur l’insécurité. Les agronomes malheureusement ce qui nous fait mal au coeur est que nous avons plusieurs potentialités et toujours nous attendons l’aide, nous avons les fleuve, le lac Tchad, plusieus cuvettes et retenus d’eau nous avons l’une des plus grand réserve d’eau souterraine et nous sommes derniers ou même parmis les derniers du monde. La faculté d’agronomie doit faire tous pour trouver des semences améliorée en partenariat avec l’ICRISAT l’INRAN et autres et les mettres a la disposition des paysans qui seront suivi par ses étudiants dans le cadre de leur mémoires et recherches. Et en parlant encore de l’économie nous avons des ressources naturelles immenses les ressources minières le soleil qui nous tape tous les jours le vent. Une unité rattachée au ministère des finances doit être créé qui prendra en charge les travaux volontaires des étudiants et ceci doit commencer dans 1ans. À la rentrée prochaine les curriculum doivent être revus les heures d’étude la même chose. Et ainsi toutes les conditions pour l’utilisation de la jeunesse doivent être créée.
Créer des banques locales pour les entreprises ,à travers des fonds de vente de pétrole et d uranium.chercher l autonomie énergétique sans le nucléaire.