Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif. Exprimez-vous en commentaire et contribuez à ce grand chantier national !
1916 Commentaires
En faite moi je propose à ce que l’état mets fin à l’extraction de l’uranium pour une période bien déterminée. Et quelle crée une école pour former les meilleures élèves étudiants du pays ….dans le domaine afin qu’on puisse extraire nos ressources nous même vue que je me dis toujours ya pas une relation d’amitié entre les pays tout est une question d’intérêt …
*UN MODÈLE POLITIQUE TYPE POUR UNE REFONDATION EFFECTIVE*
Le contexte de notre pays d’éveil des consciences et de quête de souveraineté sur tous les plans commande une démarche stratégique de mise en œuvre des politiques publiques centrée sur un modèle de dévolution des responsabilités Étatiques d’un autre genre.
> Avant tout, il faut jeter les bases d’un programme développement et de gestion souverainiste, intangible auquel aucun dirigeant, quelles que soient ses convictions, ne saurait se soustraire .
C’est un genre de contrat entre les générations, un socle sur lequel reposera la conduite de la Nation.
Ce programme déterminera la forme de gouvernance élective qui sied le mieux. Il balisera les conditions de l’amélioration du fonctionnement et de la probité des institutions élues ou non.
On ne saurait plus laisser ces structures à la merci d’un quelconque élu.
> Par conséquent ; il reviendrait à se mobiliser, sous le même idéal politique de la refondation souverainiste, à la concrétisation de laquelle chaque citoyen à tous les échelons et quel que soit son statut d’y participera par ses aptitudes à donner le meilleur de lui-même. Il n’y a pas de monopole de capacité.
Tout le défi est donc de parvenir à des mécanismes adaptés de dévolution des responsabilités à mandat, pour désigner ceux qui en auront la charge de la base au sommet de l’Etat.
Des jalons devraient être bien posés de façon que les responsabilités ne seront plus des sinécures ou des sources de prébendes attisant de convoitise sans fin qui sont à la base de la compétition pour l’accès prébendier aux ressources publiques.
On pourrait s’inspirer voire profiter de nos réalités, très courantes et très répandues, de dévolution et d’exercice de responsabilités, ne serait-ce que par les leaders locaux des organisations socio-professionnelles où les élus travaillent efficacement pour le bien-être collectif sans contreparties matérielles.
S’INSPIRER DES MODÈLES DE BASE.
La patrie, après tant de péripéties institutionnelles, est dans une phase de refondation impliquant des changements radicaux et efficients dans tous les secteurs de la vie du pays. Ici les contributions de tous sont les bienvenues.
De tous les secteurs, la gestion du contrat social de l’État providence est le socle sur lequel doit reposer tout le reste.
La nouvelle fondation nationale basée, elle-même, sur des institutions à légitimités fortes et surtout durables semble incontournable.
C’est pourquoi le recours à nos réalités institutionnelles pertinentes et à la source de leur pérennité peut être une solution idoine pour la gestion légitime, pacifique et publiquement efficiente de l’État, au nom du bien-être collectif.
A cet égard, les modèles autochtones et ou autonomes de gestion de la vie publique à travers les villages/ tribus, les cantons, les mosquées, les organisations socio-économiques, étendue à l’État nation, peuvent bien inspirer la fondation d’un régime politique inclusif, pertinent, largement assimilée et pérenne.
En effet sur fond de leurs modèles et de leurs pratiques l’appareil d’État peut être doté de conseillers, des députés par cooptation, de gouvernement par dévolution et de chef d’État par acclamation sans forcément imiter d’autres pays.
Les organisations socio-professionnelles les coopératives, les unions, les fédérations, les associations des usagers, (la liste n’est pas exhaustive.), avec leur mécanisme d’élection autonome par la base et cooptées par l’appareil d’État, peuvent jouer un rôle positif irremplaçable dans la gouvernance apaisée et le développement durable du pays.
En effet pour peu qu’on les implique à la décision et à l’action publique, elles peuvent travailler, s’ auto contrôler, s’inter-contrôler et évaluer les résultats du gouvernement, émanant d’elles-mêmes, et qui ne saurait avoir un autre mandat que de promouvoir le bien-être collectif dans tous les secteurs de la vie nationale.
COOPTATION DES ÉLUS DE LA BASE
C’est pourquoi, il parait nécessaire d’instituer un régime d’État providence fondé sur la participation de la base pour laquelle les orientations de développement socio-économiques sont déterminées et exécutées.
Dès lors, dans le cadre de l’appareil d’État, ce seront leurs leaders élus qui seront les conseillers municipaux, les députés nationaux à sièges renouvelables, selon leurs procédures internes et leurs calendriers habituels, pour le contrôle et la validation de l’action des cadres techniques.
Fort heureusement la configuration des conseils consultatifs à mettre en place autour des administrateurs délégués (AD), fixée par le CNSP, annonce cette tendance appréciable de la refondation.
Ils détermineront et adopteront aussi, un système judiciaire pertinent, fondé sur nos valeurs, nos us et coutumes mais aussi et surtout purgé des mécanismes déroutant, paralysant, paradoxaux et discriminatoires des modèles importés.
Le nombre tant des conseillers municipaux que des députés, pour mettre fin à la pléthore actuelle, pourrait être directement proportionnel aux secteurs d’activités ou d’intervention des organisations d’origine, bloquant ainsi l’accès des tout venants aux discussions sur des domaines précis d’action. On sait, à titre illustratif, qu’une grande puissance comme les USA n’a qu’autour de 500 parlementaires pour ses deux chambres réunies.
ÉLECTION DU CHEF DE L’ÉTAT.
La fonction du chef d’État (providence) dont les candidats pourraient être des élus de base et autres haut responsables des corps de métiers sera réservée, entre autres aux vertueux attestés, aux héros les plus intègres.
Il peut être élu ou acclamé par les élus des organisations de base. Là aussi, déjà dans nos réalités autochtones de gouvernance publique, les élections de leader, les plus fréquentes sont faites par des grands électeurs assurant ainsi la stabilité séculaire des institutions et le renouvellement ou l’alternance pacifique.
Que dire de certaines pratiques telles que la succession à tour de rôle toujours en vigueur dans certaines chefferies tel que chez les toubou. C’est un mécanisme d’apaisement et de partage de pouvoir qui a fait ses preuves depuis des siècles.
Nous avons donc, nos modes pertinents et apaisés d’élection. Par exemple : Les chefs de famille élisent les chefs de village et tribu, ces derniers élisent, à leur tour, les chefs de canton et groupement dans notre pays au grand bonheur de tous)
Pourquoi devrions-nous, nous accrocher obstinément au mécanisme trop bouillant et dispendieux du suffrage universel direct, totalement étranger à nos us et coutumes ?
Par conséquent, une refondation qui se voudra solide et pérenne, devrait travailler à une amélioration et à une institutionnalisation de ce mode de scrutin qui fait quotidiennement ses preuves à la grande satisfaction des masses populaires.
Ce sera la plus belle occasion d’ouvrir concrètement la page de la souveraineté nationale et de tourner définitivement la page des intimidations des pays impérialistes qui exigent publiquement, l’alignement sur leurs modèles de gouvernance quoique très divers même chez eux.
MISE EN PLACE DU GOUVERNEMENT.
Le gouvernement, pour sa part, sera constitué de technocrates parmi les cadres techniques les plus compétents des secteurs respectifs, sans ingérences profanes, pour conduire efficacement le développement durable.
Par exemple en Suisse, une fois ministre, on le demeure jusqu’à la retraite quelle que soit l’issue des élections depuis plus de 170 ans; ce qui a l’avantage supprimer la course aux postes et aux prébendes telle qu’elle est sous nos cieux.
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CRÉATION DE CONSEIL NATIONAL DE SECURITE
Il doit être mis en place un conseil national de sécurité à vocation géostratégique, aux membres assermentés issus des corps constitués et totalement indépendant de l’exécutif et qui veillera au respect et à l’inviolabilité des orientations nationales souverainistes. Il pourrait se réunir à la demande d’un ou plusieurs de ses membres.
LES AVANTAGES D’UN TEL RÉGIME.
Ce faisant, on pourrait éviter toutes ces dépenses électorales faramineuses et les achats dégradants des consciences finissant par l’usurpation fasciste des pouvoirs publics et le bradage éhonté des ressources nationales.
En plus il n’y aura plus de place pour la politisation des agents de l’État sur la base du parti et des promesses aériennes de carrière fulgurante. Les carrières se construiront naturellement et les envies et jalousies se tariront sensiblement des cœurs des cadres pour laisser la place à l’attachement sincère au bien-être collectif et à la défense patrie.
En outre, le CNSP pourrait donner le coup de grâce au chantage des occidentaux et de la CEDEAO pour des élections prétendument démocratiques à brèves échéances qui les préoccupent, curieusement, plus que les nigériens, eux-mêmes.
La mise en place d’un comité d’élaboration de ce système authentique et pertinent de gouvernance pour l’émergence de notre pays, à l’instar des autres nations comme la Chine, l’Iran, la Suisse, les Émirats, estompera définitivement leur espoir de réussir leur conspiration contre la patrie.
Pour notre part, nous ne devrions pas céder à la tentation de la « facilité » qu’offrirait le mimétisme institutionnel dont on n’a pas encore fini de mesurer les effets paralysants de notre autonomie d’analyse et de conception stratégique.
Le pire est que l’on continue à répéter, dans certains milieux dits intellectuels, l’idée inculquée selon laquelle la démocratie libérale est le meilleur système, en dépit des appréciations indexées aux intérêts stratégiques de ses prédicateurs perfides et de ses échecs patents y compris en occident, que l’on constate.
Vivement pour la refondation intégrale de l’État providence! *Insha Allah.*
IPH. HASSANE .Laouel . L
Nous voulons une transition de 10 ans renouvelable. L’équité et Justice
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Balayage du gouvernement car ya les gens de Mahamadou Issoufou traître de la nation.
Bonjour aux membres de la commission
Moi je propose :
– la dissolution sans délais des partis politiques , car la politique est à la base de presque tous nos problèmes au Niger, dressant les uns contre les autres, région contre région dans un même pays, enfants contre parents, gouvernement contre population tout en cultivant l’esprit du gain facile, de la corruption, l’achat de conscience et l’impunité
– organiser la création de nouveaux partis ( maximum 3)d’ici la fin de la transition qui j’espère sera dans 10 ans à compter de fin des assises et les présidents de ces partis doivent être des personnes qui connaissent parfaitement le pays.
– créer un dispositif pour qu’aucun parti n’utilise l’argent pour gagner des voix, si l’on doit adhérer à un parti ça doit être par idéologie.
– redynamiser les services d’inspection et leurs donner plus de pouvoirs pour agir sans risquer quoi que ce soit.
– rehausser les salaires des agents et surtout les enseignants et les FDS
Il serait intéressant de prévoir une instance composée d’ ulémas, de chefs traditionnels, de juges et de sages qui auront pour mission d’arrêter éventuellement les dérives des autorités.
Bonne assise à tous.
* Volet éducatif. Il faut revoir le programme à tout les niveaux, il faut déterminer les finalités du programme. Commentaires : nous sommes pauvres, au Sahel, donc l’école ne doit passer midi, il faut tenir compte de sa.
* Santé : équipé les distriques sanitaire avc des agents et matériel adéquat.
* Religion. Exploité et créer des économies
Je suggère à ce que l’état repense l’éducation au Niger, revoir les heures d’intervention qui ont changé récemment nous sommes dans un pays musulmans nous ne pouvons nous permettre de rater toujours nos heures de prières il y’a des endroits où l’eau et les douches ne sont pas accessibles on est donc obligé de revenir à la maison pour prier et il faut 15h avec les longs trajets revoyez tout ça, et intégrés les professeurs encadrés dans les écoles normales tout comme ça a toujours été, les enseignants du Niger depuis le temps de nos aïeux ont été formés dans les écoles normales, intégrés les contractuels qui remplissent les conditions, intégrés les jeunes diplômés du pays afin que le Niger se relève à nouveau.
Proposition de Réforme Institutionnelle au Niger
Vers un Fédéralisme Modéré et une Justice Véritablement Indépendante
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Contexte et Justification
Le Niger, en tant qu’État unitaire, a fait face à plusieurs défis liés à la centralisation du pouvoir, aux tensions régionales et à une justice souvent perçue comme influencée par des pressions politiques.
Pour renforcer l’unité nationale, promouvoir une gouvernance locale plus efficace et garantir l’indépendance totale de la justice, il est nécessaire de mettre en place un fédéralisme modéré et très encadré, tout en réformant en profondeur le système judiciaire.
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I. Fédéralisme Modéré et Très Encadré
1. Objectifs du Fédéralisme Modéré
Renforcer l’unité nationale en permettant aux régions de participer activement à la gouvernance tout en maintenant l’intégrité de l’État.
Promouvoir le développement local en adaptant les politiques publiques aux réalités régionales.
Réduire les tensions politiques et sociales en donnant aux régions un contrôle limité mais significatif sur leurs affaires locales.
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2. Structure Fédérale Proposée
1. Création de Régions Fédérales :
Le Niger sera divisé en 6 régions fédérales correspondant aux régions existantes (Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Tahoua, Tillabéri, Zinder).
Chaque région aura une Assemblée régionale élue et un Gouverneur régional.
2. Pouvoirs et Compétences des Régions :
Compétences décentralisées : Éducation primaire et secondaire, santé locale, gestion des ressources naturelles, développement économique local.
Compétences partagées avec l’État central : Sécurité locale (en coordination avec l’État), infrastructures.
Compétences réservées à l’État central : Défense nationale, affaires étrangères, monnaie, justice supérieure (Cour suprême, Cour constitutionnelle).
3. Encadrement Strict du Fédéralisme :
Aucune autonomie législative en matière de sécurité nationale, défense, politique étrangère ou justice supérieure.
Interdiction de sécession et obligation de respecter la Constitution du Niger.
Supervision constitutionnelle par la Cour constitutionnelle pour veiller à la conformité des lois régionales avec la Constitution nationale.
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3. Gouvernance Régionale
Élections régionales démocratiques pour élire les Assemblée régionales tous les 5 ans.
Gouverneur régional élu par l’Assemblée régionale, responsable devant celle-ci.
Mécanismes de transparence et de reddition de comptes : Contrôle régulier par une Cour des comptes régionale supervisée par l’État central.
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4. Avantages du Fédéralisme Modéré
Participation accrue des citoyens dans la gestion de leurs affaires locales.
Meilleure gouvernance locale en adaptant les politiques aux besoins régionaux.
Réduction des tensions politiques et sociales en donnant une voix légitime aux régions.
Développement économique régional grâce à une gestion locale des ressources.
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II. Réforme du Système Judiciaire pour une Véritable Indépendance
1. Objectifs de la Réforme Judiciaire
Garantir l’indépendance totale de la justice vis-à-vis de l’exécutif et du législatif.
Améliorer l’efficacité et la transparence du système judiciaire.
Restaurer la confiance des citoyens dans la justice en éliminant les influences politiques.
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2. Indépendance Structurelle du Pouvoir Judiciaire
Création d’un Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) entièrement indépendant :
Composé de juges élus par leurs pairs, d’avocats, et de représentants de la société civile.
Présidé par le Président de la Cour Suprême et non par le Président de la République.
Responsable de la nomination, de la promotion et de la discipline des juges sans ingérence politique.
Interdiction des nominations politiques :
Les magistrats ne peuvent pas être nommés par le Président ou le Premier Ministre.
Interdiction de révocation des juges sauf en cas de faute grave, et seulement par le CSM.
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3. Garanties de Procédures et de Transparence
Procédures transparentes pour la sélection et la promotion des juges.
Publication obligatoire des décisions de justice (anonymisées pour protéger la vie privée).
Sessions publiques des cours de justice, sauf pour des raisons de sécurité nationale ou de protection des témoins.
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4. Autonomie Financière et Logistique
Budget indépendant pour le système judiciaire, voté par l’Assemblée Nationale mais géré par le CSM.
Augmentation des salaires et des conditions de travail des magistrats pour réduire les risques de corruption.
Formation continue et obligatoire des magistrats pour garantir un niveau élevé de compétence juridique.
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5. Accès à la Justice pour Tous
Création de bureaux d’aide juridique gratuits dans chaque région pour les citoyens à faible revenu.
Simplification des procédures judiciaires pour accélérer le traitement des affaires.
Révision des frais de justice pour les rendre accessibles à tous les citoyens.
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III. Avantages et Retombées de la Réforme
Unité nationale renforcée grâce à une gouvernance locale plus proche des citoyens.
Meilleure gestion des conflits régionaux en donnant aux régions une voix légitime.
Justice plus efficace, transparente et indépendante, rétablissant la confiance des citoyens.
Développement économique et social harmonieux grâce à des politiques adaptées aux réalités régionales.
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IV. Mise en Œuvre et Évaluation
Amendement de la Constitution du Niger pour intégrer le fédéralisme modéré et les réformes judiciaires.
Phase de transition de 2 ans pour la mise en place des structures régionales et judiciaires.
Évaluation annuelle par une commission indépendante pour mesurer l’impact des réformes.
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Conclusion
Cette réforme institutionnelle propose un fédéralisme modéré et très encadré pour promouvoir la participation régionale tout en maintenant l’unité nationale.
Elle vise également à rendre véritablement indépendante la justice nigérienne, en garantissant son autonomie financière, structurelle et procédurale.
En adoptant ces réformes, le Niger pourra consolider sa démocratie, renforcer son État de droit et promouvoir un développement équitable et harmonieux sur tout le territoire.
Assalamu alaikum chers membres de cette importante commission de la « Refondation politique et institutionnelle ». Après mes sincères salutations et encouragements à Président tonton NOUHOU ARZIKA et à toute l’équipe l’accompagnant, je souhaite un excellent travail tout au long des activités de votre noble tâche.
Par ailleurs, à mon humble avis en tant que citoyen nigérien, pour une refondation politique et institutionnelle forte, vous devez mettre en place des institutions démocratiques fortes pouvant agir ou réagir à tout moment opportun et en toute indépendance sans sentiment ou autre ingérence des autorités à des fins politiques.
La Refondation doit aussi penser à l’application des textes en vigueur surtout sur la question de recrutement à la fonction publique des jeunes nigériens qui fait souvent l’objet sentiment ou l’hypocrisie au niveau administratif. Car le problème de notre institution justice n’est pas souvent l’application des textes par « le judiciaire » mais l’exécution de décisions par « l’administration de l’exécutif » (en tant que haute autorité politique) à l’exemple de l’arrêt rendu par le Conseil d’État concernant le dossier des jeunes nigériens douaniers resté sans suite! Et le dossier des admis au concours de la fonction publique pour le compte du Ministère des Affaires Étrangères qui traine sans raison administrative concrète.
En effet, je profite de ce message pour transmettre à votre équipe de durcir la règle pour tout éventuel concours à la fonction publique en tenant compte de ces points :
• Si fraude il y a, appliquez la responsabilité individuelle prévue par les textes en vigueur sans sentiment comme le cas du concours du Ministère du Plan;
•S’il y en a pas libérez les enfants des pauvres du chômage qui leur a été imposé.
Ainsi, je souhaite qu’à la fin de votre travail, vous preniez en compte ces deux points pour décanter et enterrer la question de ces dossiers une bonne fois pour toute. Et cela donnerait plus un sentiment de confiance à toute la jeunesse nigérienne que la refondation est en marche car cela fait partie de la justice sociale pour les nigériens.
Pour refonder notre nation,je propose que la charte de la transition réorganise le CNSP et son gouvernement. Autrement dit qu’un militaire qui n’a ni participer aux règne des 12 dernière année de notre pays ni aider soit proposé à la tête du CNSP pour d’abord toiletté la nation de toute parasite pendant 5 ans et enfin proposé des élections libres avec une constitution complètement différente de la constitution actuelle.
Ibrahim Amadou