Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif. Exprimez-vous en commentaire et contribuez à ce grand chantier national !
1861 Commentaires
En c’est qui conserve l’idée de la combinaison de la théocratie et de la technocratie c’est une vieille de plus de plus cinq ans ou plus soutenu par un document de 32 pages qui avec le temps sera ou plus améliorer en cas de besoin.
Le document contient des institutions mis en place de telles façon que il y n’aura pas de manipulation des acteurs pour des intérêts personnels ou de groupe.
Et la gestion politique économique et sociale sera assurée par des leaders religieux et les technocrates.
J’ai l’avais nommé ordonnance politique ou vers la THEOTECHNOCRATIE
Proposition pour une assise nationale réussie au Niger
Le Niger traverse une phase décisive de son histoire. Une assise nationale bien organisée doit permettre de poser les bases solides pour un développement durable et une stabilité politique. Voici les axes prioritaires et les arguments clés pour régler les problèmes du pays et bâtir un avenir prospère.
1. Restaurer la Souveraineté et la Bonne Gouvernance
Pourquoi ? Sans une gouvernance forte et transparente, aucune réforme ne peut aboutir.
Renforcement des institutions publiques : Une administration efficace et non corrompue est la clé du développement. Il faut moderniser l’État, digitaliser les services publics et réduire la bureaucratie.
Lutte contre la corruption et la mauvaise gestion : Mettre en place une justice indépendante et des organes de contrôle efficaces.
Sécurité et stabilité politique : Assurer un État fort, une armée bien équipée et une diplomatie proactive pour éviter l’ingérence étrangère.
2. Sécurisation du territoire et lutte contre le terrorisme
Pourquoi ? Sans sécurité, aucun investissement, aucune éducation, ni aucune agriculture ne peuvent prospérer.
Renforcer les forces armées et la police : Modernisation des équipements, formation continue et meilleure coordination entre les services de renseignement.
Engagement communautaire et prévention de la radicalisation : Sensibilisation, insertion des jeunes dans des programmes de développement et dialogue intercommunautaire.
Coopération sécuritaire régionale : Travailler avec les voisins pour traquer les groupes armés et renforcer la défense du territoire.
3. Souveraineté économique et développement agricole
Pourquoi ? Dépendre de l’extérieur est un danger. Le Niger doit produire sa propre richesse.
Industrialisation et transformation locale des ressources : Arrêter l’exportation brute des matières premières (or, uranium, pétrole) et créer des unités de transformation.
Autosuffisance alimentaire et modernisation de l’agriculture : Irrigation, mécanisation et soutien aux agriculteurs pour produire localement et réduire les importations.
Encouragement de l’entrepreneuriat et des PME : Réduire les taxes pour les petites entreprises, faciliter l’accès aux financements et soutenir les initiatives locales.
4. Éducation et Formation pour un Niger Compétitif
Pourquoi ? Un pays se développe avec des citoyens bien formés.
Refonte du système éducatif : Adapter l’éducation aux réalités du marché du travail et valoriser la formation professionnelle.
Modernisation des universités et écoles : Financer la recherche, équiper les laboratoires et favoriser le numérique dans l’apprentissage.
Encourager l’innovation et la technologie : Créer des incubateurs pour les jeunes et investir dans l’intelligence artificielle et les énergies renouvelables.
5. Réforme de la Santé et du Bien-être Social
Pourquoi ? Une population en bonne santé est un atout pour le développement.
Accès aux soins pour tous : Construire des hôpitaux modernes, équiper les centres de santé et réduire le coût des soins.
Lutte contre les pandémies et la malnutrition : Programmes de vaccination, nutrition pour les enfants et sensibilisation sur la santé publique.
Soutien aux personnes vulnérables : Aides sociales pour les handicapés, orphelins et femmes en difficulté.
6. Coopération Internationale et Stratégies Diplomatiques
Pourquoi ? Le Niger doit défendre ses intérêts et renforcer sa position à l’international.
Révision des accords internationaux : Évaluer et renégocier les contrats miniers et économiques pour que le pays bénéficie réellement de ses ressources.
Intégration régionale : Renforcer les liens avec les pays africains pour un commerce plus fluide et un marché plus dynamique.
Diversification des partenariats : Ne plus dépendre d’un seul bloc mais collaborer avec divers acteurs (Afrique, Asie, Amérique Latine).
7. Unité Nationale et Renaissance Culturelle
Pourquoi ? Un pays divisé ne peut avancer. Il faut consolider l’identité nationale.
Dialogue intercommunautaire et réconciliation : Encourager la cohésion sociale et éviter les conflits ethniques et religieux.
Promotion de la culture et des langues nationales : Valoriser les traditions, encourager la production artistique et faire du patrimoine un levier touristique et économique.
Engagement citoyen et patriotisme : Sensibiliser la jeunesse sur l’importance du civisme, du travail et de l’amour pour la patrie.
Conclusion
Cette assise nationale doit être un tournant historique pour construire un Niger fort, souverain et prospère. Il est essentiel d’adopter des décisions courageuses et pragmatiques, avec une exécution rigoureuse et un suivi constant. Les acteurs politiques, les forces de défense, la société civile et la population doivent travailler ensemble pour bâtir un avenir meilleur.
Assalam Chers participants
Courage courage
Vous avez une thématique sensible mais basique.
En tirant les leçons de la naissance des partis politiques au Niger nous pouvons sans risque de se tromper peut les intérêts du pays ne sont pas pris en compte. Ils n’y que des formations politiques pour les intérêts des fondateurs seulement d’où toutes les pratiques connues. Donc Prenons nos responsabilités et dissoudre ces partis totalement. Proposer 2 à 3 courants politiques avec un régime présidentiel à scrutin à seul tour pour un mandat de 7 ans.
Supprimer les PRÉSIDENTS des conseils régionaux et elire directement les gouverneurs pour les gérer.
Laisser les postes des préfets aux FDS.
Pour les députés proposer des listes par département et non par région.
Je voudrais sincèrement proposer a la commission la dissolution de tous les partis politiques actuellement en vigueur au niger . Et demander la création des nouveaux partis politiques et veiller à ce que les sigles mnsd, janhorya,pnds, loumana,cds etc .. n’apparaissent plus dans la nomenclature des sigles de ces nouveaux partis à créer . Je vous jure tant que les mêmes sigles reviennent ,on a beau changer les hommes qui les animent la haine et la rancune historiques et viscérales qui existent entre ces anciens partis vont être transmises de pères en fils et on va toujours revenir a un cnsp 2,cnsp3,cnsp n.
Il est important que nous revoyons le code du travail et procéder à des réformes, notamment en instituant le jour du Vendredi comme jour de repos dans le cas d’un seul jour, le jeudi et le vendredi dans le cas de deux jours, ou le vendredi et le dimanche. L’État a beaucoup perdu avec les dispositions inappropriées actuelles.
RECEVEZ CI JOINT UNE CONTRIBUTION
> *UN MODÈLE POLITIQUE TYPE POUR UNE REFONDATION EFFECTIVE*
> Le contexte de notre pays d’éveil des consciences et de quête de souveraineté sur tous les plans commande une démarche stratégique de mise en œuvre des politiques publiques centrée sur un modèle de dévolution des responsabilités Étatiques d’un autre genre.
> Avant tout, il faut jeter les bases d’un programme développement et de gestion souverainiste, intangible auquel aucun dirigeant, quelles que soient ses convictions, ne saurait se soustraire .
> C’est un genre de contrat entre les générations, un socle sur lequel reposera la conduite de la Nation.
> Ce programme déterminera la forme de gouvernance élective qui sied le mieux. Il balisera les conditions de l’amélioration du fonctionnement et de la probité des institutions élues ou non.
> On ne saurait plus laisser ces structures à la merci d’un quelconque élu.
> Par conséquent ; il reviendrait à se mobiliser, sous le même idéal politique de la refondation souverainiste, à la concrétisation de laquelle chaque citoyen à tous les échelons et quel que soit son statut d’y participera par ses aptitudes à donner le meilleur de lui-même. Il n’y a pas de monopole de capacité.
> Tout le défi est donc de parvenir à des mécanismes adaptés de dévolution des responsabilités à mandat, pour désigner ceux qui en auront la charge de la base au sommet de l’Etat.
> Des jalons devraient être bien posés de façon que les responsabilités ne seront plus des sinécures ou des sources de prébendes attisant de convoitise sans fin qui sont à la base de la compétition pour l’accès prébendier aux ressources publiques.
> On pourrait s’inspirer voire profiter de nos réalités, très courantes et très répandues, de dévolution et d’exercice de responsabilités, ne serait-ce que par les leaders locaux des organisations socio-professionnelles où les élus travaillent efficacement pour le bien-être collectif sans contreparties matérielles.
> S’INSPIRER DES MODÈLES DE BASE.
> La patrie, après tant de péripéties institutionnelles, est dans une phase de refondation impliquant des changements radicaux et efficients dans tous les secteurs de la vie du pays. Ici les contributions de tous sont les bienvenues.
> De tous les secteurs, la gestion du contrat social de l’État providence est le socle sur lequel doit reposer tout le reste.
> La nouvelle fondation nationale basée, elle-même, sur des institutions à légitimités fortes et surtout durables semble incontournable.
> C’est pourquoi le recours à nos réalités institutionnelles pertinentes et à la source de leur pérennité peut être une solution idoine pour la gestion légitime, pacifique et publiquement efficiente de l’État, au nom du bien-être collectif.
> A cet égard, les modèles autochtones et ou autonomes de gestion de la vie publique à travers les villages/ tribus, les cantons, les mosquées, les organisations socio-économiques, étendue à l’État nation, peuvent bien inspirer la fondation d’un régime politique inclusif, pertinent, largement assimilée et pérenne.
> En effet sur fond de leurs modèles et de leurs pratiques l’appareil d’État peut être doté de conseillers, des députés par cooptation, de gouvernement par dévolution et de chef d’État par acclamation sans forcément imiter d’autres pays.
> Les organisations socio-professionnelles les coopératives, les unions, les fédérations, les associations des usagers, (la liste n’est pas exhaustive.), avec leur mécanisme d’élection autonome par la base et cooptées par l’appareil d’État, peuvent jouer un rôle positif irremplaçable dans la gouvernance apaisée et le développement durable du pays.
> En effet pour peu qu’on les implique à la décision et à l’action publique, elles peuvent travailler, s’ auto contrôler, s’inter-contrôler et évaluer les résultats du gouvernement, émanant d’elles-mêmes, et qui ne saurait avoir un autre mandat que de promouvoir le bien-être collectif dans tous les secteurs de la vie nationale.
> COOPTATION DES ÉLUS DE LA BASE
> C’est pourquoi, il parait nécessaire d’instituer un régime d’État providence fondé sur la participation de la base pour laquelle les orientations de développement socio-économiques sont déterminées et exécutées.
> Dès lors, dans le cadre de l’appareil d’État, ce seront leurs leaders élus qui seront les conseillers municipaux, les députés nationaux à sièges renouvelables, selon leurs procédures internes et leurs calendriers habituels, pour le contrôle et la validation de l’action des cadres techniques.
> Fort heureusement la configuration des conseils consultatifs à mettre en place autour des administrateurs délégués (AD), fixée par le CNSP, annonce cette tendance appréciable de la refondation.
> Ils détermineront et adopteront aussi, un système judiciaire pertinent, fondé sur nos valeurs, nos us et coutumes mais aussi et surtout purgé des mécanismes déroutant, paralysant, paradoxaux et discriminatoires des modèles importés.
> Le nombre tant des conseillers municipaux que des députés, pour mettre fin à la pléthore actuelle, pourrait être directement proportionnel aux secteurs d’activités ou d’intervention des organisations d’origine, bloquant ainsi l’accès des tout venants aux discussions sur des domaines précis d’action. On sait, à titre illustratif, qu’une grande puissance comme les USA n’a qu’autour de 500 parlementaires pour ses deux chambres réunies.
> ÉLECTION DU CHEF DE L’ÉTAT.
> La fonction du chef d’État (providence) dont les candidats pourraient être des élus de base et autres haut responsables des corps de métiers sera réservée, entre autres aux vertueux attestés, aux héros les plus intègres.
> Il peut être élu ou acclamé par les élus des organisations de base. Là aussi, déjà dans nos réalités autochtones de gouvernance publique, les élections de leader, les plus fréquentes sont faites par des grands électeurs assurant ainsi la stabilité séculaire des institutions et le renouvellement ou l’alternance pacifique. Que dire de certaines pratiques telles que la succession à tour de rôle toujours en vigueur dans certaines chefferies tel que chez les toubou. C’est un mécanisme d’apaisement et de partage de pouvoir qui a fait ses preuves depuis des siècles.
> Nous avons donc, nos modes pertinents et apaisés d’élection. Par exemple : Les chefs de famille élisent les chefs de village et tribu, ces derniers élisent, à leur tour, les chefs de canton et groupement dans notre pays au grand bonheur de tous)
> Pourquoi devrions-nous, nous accrocher obstinément au mécanisme trop bouillant et dispendieux du suffrage universel direct, totalement étranger à nos us et coutumes ?
> Par conséquent, une refondation qui se voudra solide et pérenne, devrait travailler à une amélioration et à une institutionnalisation de ce mode de scrutin qui fait quotidiennement ses preuves à la grande satisfaction des masses populaires.
> Ce sera la plus belle occasion d’ouvrir concrètement la page de la souveraineté nationale et de tourner définitivement la page des intimidations des pays impérialistes qui exigent publiquement, l’alignement sur leurs modèles de gouvernance quoique très divers même chez eux.
> MISE EN PLACE DU GOUVERNEMENT.
> Le gouvernement, pour sa part, sera constitué de technocrates parmi les cadres techniques les plus compétents des secteurs respectifs, sans ingérences profanes, pour conduire efficacement le développement durable. Par exemple en Suisse, une fois ministre, on le demeure jusqu’à la retraite quelle que soit l’issue des élections depuis plus de 170 ans; ce qui a l’avantage supprimer la course aux postes et aux prébendes telle qu’elle est sous nos cieux.
> .
> CRÉATION DE CONSEIL NATIONAL DE SECURITE
> IL doit être mis en place un conseil national de sécurité à vocation géostratégique, aux membres assermentés issus des corps constitués et totalement indépendant de l’exécutif et qui veillera au respect et à l’inviolabilité des orientations nationales souverainistes. Il pourrait se réunir à la demande d’un ou plusieurs de ses membres.
> LES AVANTAGES D’UN TEL RÉGIME.
> Ce faisant, on pourrait éviter toutes ces dépenses électorales faramineuses et les achats dégradants des consciences finissant par l’usurpation fasciste des pouvoirs publics et le bradage éhonté des ressources nationales.
> En plus il n’y aura plus de place pour la politisation des agents de l’État sur la base du parti et des promesses aériennes de carrière fulgurante. Les carrières se construiront naturellement et les envies et jalousies se tariront sensiblement des cœurs des cadres pour laisser la place à l’attachement sincère au bien-être collectif et à la défense patrie.
> En outre, le CNSP pourrait donner le coup de grâce au chantage des occidentaux et de la CEDEAO pour des élections prétendument démocratiques à brèves échéances qui les préoccupent, curieusement, plus que les nigériens, eux-mêmes.
> La mise en place d’un comité d’élaboration de ce système authentique et pertinent de gouvernance pour l’émergence de notre pays, à l’instar des autres nations comme la Chine, l’Iran, la Suisse, les Émirats, estompera définitivement leur espoir de réussir leur conspiration contre la patrie.
> Pour notre part, nous ne devrions pas céder à la tentation de la « facilité » qu’offrirait le mimétisme institutionnel dont on n’a pas encore fini de mesurer les effets paralysants de notre autonomie d’analyse et de conception stratégique.
> Le pire est que l’on continue à répéter, dans certains milieux dits intellectuels, l’idée inculquée selon laquelle la démocratie libérale est le meilleur système, en dépit des appréciations indexées aux intérêts stratégiques de ses prédicateurs perfides et de ses échecs patents y compris en occident, que l’on constate.
> Vivement pour la refondation intégrale de l’État providence! *Insha Allah.*
IPH Hassane Laouel.
Commençons à tendre vers l’application des règles islamiques dont l’objectivité et l’efficacité sont sans égales. Soyons en harmonie avec nous-mêmes en vivant avec nos règles, sinon, changer pour appliquer les règles des autres. On ne peut pas concilier des réalités naturellement opposées.
La suprématie de l’armée sur la Constitution et ce quelqu’en soit le type de régime, est à notre avis, fondamentale. Tu es élu, tu abuses l’armée te dégage sans ménagement. C’est tout simple.
Bonsoir et bonne assises à toutes et à tous. la réussite de cette assise passe nécessairement pas une réforme dans différents secteurs sociaux de base. cependant je vais m’apaisentir sur secteur sanitaire que connais le plus. ma proposition c’est d’abord la de politisation du secteur saninitaire car de nos jour de la responsabilité d’une case de santé jusqu’au poste du secrétaire général du ministère en passant par les district sanitaire et les régions sans oublier les différents programmes. Le cas spécifique des districts sanitaires environs 40 % des fonds alloués à ces dernièrs sont consommés par deux ou 3 éléments de l’équipe cadre du district cela ne restera pas anodin quand à l’atteinte des objectifs du pdss. il est nécessaire de planifier un audit dans tous les districts et cela chaque. la codef doit en faire une priorité car des milliards destinés à la santé de la population sont encaissés par quelque individus. bonne suite de l’assise à tous.
Pour bâtir un avenir plus juste et inclusif pour notre pays, la justice doit être dotée d’un pouvoir non influençable par les dirigeants.
Tout ceux qui ont fait du mal pour pays ne doivent plus revenir sur la scène politique, tout les partis politiques doivent être dissoutes sans laisser des traces.
Par rapport aux futures parties politiques, ils faudrait une enquête de moralité très rigoureuse sur tous les membres du bureau,
Encadré les syndicats surtout scolaires. Car la mode de vie des scolaires Nigériens reflète la même image de nos anciens dirigeants. Les politiciens, les autres acteurs de la société civile doivent laisser les étudiants faire leur études.
Je pense qu il faut :
– renforcer la gouvernance par le deploiement des agents de l Etat sur toute l étendues du territoire;
Renforcement socio économique en dotant les communautes d infrastructures marchandes
– Renforcement de la décentralisation financière;
– Assurer le suivi et evaluation de toutes les actions de développement en regionalisant les corps d inspection( inspection des finances, infections d Etat, IGAT et celles sectoriels);
– replacer toutes les structures dans leurs missions de délivrance du service public