Economie et Développement Durable
Construisons ensemble une économie durable !
La Commission Économie et Développement Durable vous invite à partager vos idées pour une croissance inclusive et respectueuse de l’environnement. Quelles solutions proposeriez-vous pour un développement équilibré et durable ?
Laissez votre proposition en commentaire et participez à la transformation de notre économie !
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S’il vous plait ameliorer les conditions des vies de Notre police pour mettre fin a cet corruption passif a la base
Ma proposition.aussi que vous comprenez que les deux mamelles de l’économie de notre pays est l’élevage et l’agriculture. Et savoir que les budgets de nos communes est alimenté par l’élevage. Mais l’élevage est délaisser et ce malgré des projets qui viennent a son nom. L’élevage est victime de l’insécurité et de la catastrophes naturelles. Je propose de lui créer son ministère. Pour une grande efficacité.
Après la mise en place d’un bon système de gouvernance, tout absolument tout est dépendant de l’économie. Pour jeter les bases d’un développement économique durable pour notre pays il faut :
– construire les infrastructures nécessaires a la libre circulation des personnes et des biens sur l’étendue du territoire national. C’est les moteur du développement. Pour cela il faut songer prioritairement à un chemin de faire de Tillabery à Diffa et de Maradi à Bilma en passant par Tahoua, Agadez et Arlit.
Construire au moins 3 pôles économiques :
1. Agadez : Industrie et innovation technologique. La position géographique d’Agadez à la fois a la porte du magrehb et proche de l’europe et de l’Asie (la nouvelle route de la soie offrira des perspectives intéressantes qu’il faut capter).
2. Dosso : Mines et énergie, en cohérence avec les initiatives déjà existante dans les cas de la pétrochimie et de la raffinerie.
3.Zinder : Élevage et Production agricole.
Un quatrième pôle pourrait aussi être envisager très rapidement sur trois régions au potentialités touristiques énormes Diffa, régions du lac, Timia, zone des trois frontières. On pourrait démarrer la construction de nouvelles villes modernes dont les bâtiments s’inspireraient de l’architecture transitionnelle locale ou nationales mélangeant notre identité traditionnelle et la modernité. Ce seront des projets qui donneront des opportunits a la jeunesse et transformeront l’enfer actuellement vécu par les populations du fait de l’insécurité en paradis, avec des retombées aussi bien économique, écologique que sociale.
Le pays a du potentiel, il faut voir grand et travailler sincèrement. Bonnes chance
Pour un développement durable on doit beaucoup plus investir dans l’agriculture le Niger a le potentiel de nourrir toute l’Afrique mais à cause de notre sous développement agricole on arrive même pas à se nourrir nous même
Proposition pour une Refondation Durable et Inclusive du Niger.
Dans le cadre des assises nationales, il est essentiel d’adopter une approche holistique et intégrée pour garantir une transformation profonde de notre économie et de notre société. Voici les axes principaux sur lesquels je propose de concentrer nos efforts pour une refondation réussie du Niger après des années de sous-développement et de colonisation.
1. Amélioration du Travail Informel
Le travail informel représente une part significative de l’économie du Niger et constitue une source de subsistance pour une grande majorité de la population. Pour améliorer les conditions de travail et encourager l’intégration de ce secteur dans l’économie formelle, il est nécessaire d’adopter une approche progressive :
– Formalisation du secteur informel : Mettre en place des mécanismes simplifiés de régulation et de fiscalité pour permettre une transition en douceur vers le secteur formel.
– Formation professionnelle : Proposer des programmes de formation pratique pour les travailleurs informels, afin d’améliorer leurs compétences et leur productivité.
– Accès au financement: Faciliter l’accès des travailleurs informels aux microcrédits et autres financements adaptés, afin de soutenir la création d’emplois durables et améliorer les conditions de travail.
– Protection sociale: Garantir l’accès à la sécurité sociale et aux droits fondamentaux pour les travailleurs informels.
2. Renforcement de l’Éducation
L’éducation est un levier primordial pour assurer la refondation du Niger. Il est nécessaire de garantir un accès équitable à l’éducation pour tous, renforcer la qualité des formations et adapter le système éducatif aux besoins d’un marché du travail en évolution.
– Accès à l’éducation de base : Mettre l’accent sur l’éducation primaire et secondaire**, particulièrement pour les filles et les populations rurales, afin d’assurer un accès à une éducation gratuite et de qualité.
– Formation professionnelle: Renforcer l’enseignement technique et professionnel, en lien avec les besoins du marché local, pour former une main-d’œuvre qualifiée dans des secteurs stratégiques comme les énergies renouvelables, l’agriculture durable, et les technologies de l’information.
– Éducation des adultes: Développer des programmes de formation continue pour les adultes, en particulier pour les travailleurs informels, afin de leur permettre de se réinsérer dans l’économie formelle et d’améliorer leurs conditions de vie.
– Innovation dans l’éducation: Promouvoir des méthodes d’enseignement modernes, y compris l’usage des technologies numériques, pour rendre l’éducation plus accessible et pertinente pour les jeunes générations.
3. Promotion des Langues Nationales
Les langues nationales sont un atout majeur pour l’unité et le développement du pays. Elles jouent un rôle fondamental dans la cohésion sociale et la transmission des savoirs. Il est impératif de les intégrer pleinement dans les processus éducatifs et économiques.
– Intégration des langues nationales dans l’éducation : Encourager l’enseignement en langues nationales, notamment à l’école primaire, afin de renforcer la compréhension des matières et d’améliorer la réussite scolaire des enfants.
-Valorisation des langues nationales dans l’économie : Utiliser les langues locales dans les communications officielles et les documents administratifs pour rendre les services publics et les opportunités économiques plus accessibles à tous, notamment dans les zones rurales.
– Culture et économie créative : Promouvoir la création culturelle dans les langues nationales (livres, films, musique) pour stimuler l’économie et créer de nouveaux emplois dans le secteur culturel.
4. Gouvernance et Partenariats Régionaux
En tant que membre fondateur de la Confédération des États du Sahel,le Niger doit jouer un rôle de leader dans l’intégration régionale, en favorisant des politiques économiques communes et des projets transfrontaliers, notamment dans les secteurs de l’agriculture durable, de l’énergie et des infrastructures. La coopération régionale est essentielle pour surmonter les défis partagés, tels que le changement climatique, la sécurité alimentaire, et la gestion des ressources naturelles.
– Renforcement de la gouvernance locale : Promouvoir la décentralisation et renforcer les collectivités locales pour permettre une gestion plus proche des besoins des populations, notamment dans les zones rurales.
– Partenariats régionaux : Intensifier la coopération avec les pays voisins dans le cadre de projets transfrontaliers et de politiques communes pour favoriser la croissance économique, la sécurité et la stabilité dans la région du Sahel.
5. Développement Durable et Protection de l’Environnement
Le Niger doit intégrer les principes du développement durable dans toutes ses politiques. La gestion des ressources naturelles, la lutte contre la désertification et la promotion des énergies renouvelable doivent être des priorités pour garantir un avenir viable pour les générations futures.
– Transition énergétique: Promouvoir les énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse) pour garantir une autonomie énergétique et répondre aux défis environnementaux.
– Lutte contre la désertification : Mettre en œuvre des projets de restauration des terres et de reforestation dans le cadre de la Grande Muraille Verte et d’autres initiatives régionales.
– Gestion des ressources naturelles : Adopter une approche durable dans l’exploitation des ressources naturelles, notamment en matière d’agriculture et de gestion de l’eau, pour garantir une croissance économique inclusive.
Conclusion
La refondation du Niger repose sur une approche inclusive et intégrée qui tienne compte des réalités socio-économiques du pays. En améliorant le travail informel, en renforçant l’éducation, et en promouvant les langues nationales,nous pouvons créer un environnement propice à une croissance durable, équitable et résiliente. Cela nécessite la mise en place de réformes législatives, la coopération régionale et internationale, ainsi qu’un investissement continu dans le capital humain et social.
Je vous invite donc à prendre en compte ces propositions dans le cadre des assises nationales, afin de poser les bases solides d’une transformation durable et inclusive du Niger.
Cela devra fournir une base solide pour vos propositions aux assises nationales, couvrant les enjeux clés du développement durable et de la refondation économique et sociale du Niger.
C’est pas en fermant les commerces ou en envoyant les gens en chômage que vous allez créé une économie durable.
Avant des prendre des décisions qui vont impacté la vie des milliers des citoyens, créé d’autres solutions ou d’autres alternatives.
4 – Notre pays le Niger doit coûte que coûte incorporer l’enseignement du Coran et des Valeurs Islamiques réelles qui ne prennent pas la violence sous toutes ses formes mais qui ne cherchent qu’à Cultiver la paix, la tolérance mutuelle, le Développement Humain dans les sens et tous les Secteurs pour Harmoniser d’avec les Nouvelles Sciences et Technologies.
« RÉINVENTER UNE ÉCONOMIE PUBLIQUE CATALYSEUSE D’UN SECTEUR PRIVÉ FORT GERMOIR DE PMEs ». Dans un contexte morose pour les investissements étrangers au Niger et une capacité nationale d’investissement moindre, les Collectivités Territoriales ont un rôle majeur à jouer dès aujourd’hui et dans la durée pour l’atteinte des objectifs nationaux de la Transition.
Du fait de leurs compétences obligatoires notamment dans les domaines transférés (Education, Santé, Hydraulique et Environnement), le développement local ou encore la création de l’emploi, et de l’étendue de leur patrimoine, elles sont de facto incontournables dans la feuille de route de la Transition.
Le développement de l’intercommunalité crée les conditions d’établir une marque de la confiance des nouvelles autorités dans le potentiel d’innovation des acteurs territoriaux.
Un programme d’investissements d’avenir porté en intercommunal, destiné à sécuriser prioritairement aux piliers basiques de notre alimentation (riz, maïs, blé, sucre, huile et lait) et à relever le défi énergétique auquel le pays est confronté, un programme qui vise à soutenir des projets co-construits avec les acteurs locaux ; Collectivités Territoriales et partenaires engagés dans le développement économique local.
Dans la vision des actions envisagées par le CNSP et le Gouvernement durant la transition, ces projets seront une illustration de l’ambition des nouvelles autorités pour les territoires. Lieux d’expérimentation à grande échelle d’actions et de services innovants impliquant les populations, ces projets structurants seront aussi des modèles d’inspiration.
Une trajectoire à suivre et les actions à mener en priorité devraient être définies pour atteindre leur ambition de transformation à 3 ans. Partant des différents atouts de chaque territoire de terrain, invitant les Collectivités Territoriales à coopérer pour construire des projets ambitieux, structurants et ouverts aux approches sur les chaînes de valeur agricoles centrées sur 6 piliers de notre alimentation de base à savoir le riz, le maïs le blé, le sucre, l’huile et le lait.
Une prospective du financement de leurs investissements devrait être appréhendée et accompagnée.
Un second point d’attention concerne la dissémination au niveau des villages, des cantons, des Communes ou leurs groupements de systèmes alimentaires communautaires résilients et écologiques dont le but est la démonstration d’un modèle économique caractérisé par un fort potentiel d’innovation et subdivisé en 4 composantes : – une exploitation agricole à vocation céréaliculture; – une exploitation agricole à vocation maraîchage; – une ferme pension à vocation laitière; – une ferme pension à vocation d’embouche commerciale.
Ces projets PPP, d’investissements locaux dynamiques, portés par les Collectivités Territoriales en intercommunalité ont des avantages multiples dont entre autres :
– la dissipation de l’inappétence des investisseurs pour les projets agro-industriels territoriaux,
– l’amélioration des ressources financières des Collectivités Territoriales,
– la contribution significative à la souveraineté alimentaire, la contribution au mixte énergétique,
– la promotion de l’entreprenariat rural et la création d’emplois
– l’endiguement des importations et par conséquent l’amélioration de la balance commerciale.
Cette proposition s’inscrit bien dans cette nouvelle logique de développement de projets structurants de transformation ambitieux et fédérateurs servant de socles territoriaux aux enjeux de la Transition.
Il faut donc résolument changer de paradigme pour une capacité productive souveraine et l’industrialisation de nos territoires et faire des Collectivités Territoriales le moteur du développement d’une économie publique vectrice d’un secteur privé promoteur d’investissements vertueux.
Je voudrais qu’on élaboré un calendrier de paye pour chaque année avec des dates fixées pour la paies des salariés pour chaque mois , contractuels et autres pour vraiment bannir les aéré de salaire.
Mettre en place dans chaque ville du pays une équipe pour colmater les goudrons endommagés
La lutte syndicale doit être encadré et aussi le nombre des syndicats doit être revus car ce système fait partie de la déstabilisation de la fonction au Niger.
Il est aussi plausible de revoir certains avantages que perçoivent des catégories de fonctionnaires surtout du ministère de finance où un fonctionnaire peut toucher des rustines 10 fois plus que son salaire chaque mois et pendant toutes l’année
Il faut aussi revoir les sociétés civiles qui coopèrent avec l’occident dans le cadre de renseignements d’ordre politique économique et sociale
Bonjour à toutes et à tous,
Pour l’axe Économie et développement durable, mes propositions se déclinent en deux points principaux.
1. Production nationale d’énergies électriques. Sachant que le coût de l’énergie est la base d’une industrialisation efficace dans un pays, moins l’énergie est chère plus d’industries (avec des entreprises nationales et étrangères) peuvent s’installer avec de l’emploi pour nos jeunes et de la valeur ajoutée pour le pays.
• Mettre en place une stratégie permettant d’accélérer le projet Kandadji jusqu’à la puissance électrique maximale que l’on peut produire avec le barrage
• Il faut ressusciter le projet *Salkadamna* aussi bien pour la production de charbon (pour l’utilisation dans les foyers) que pour la production d’électricité (surtout cette dernière). Je sais que ce projet suscite une certaine réticence des éventuels partenaires, c’est pour quoi l’État nigérien doit majoritairement financer ce projet sur fonds propres. Il y a certes une critique pour l’environnement, mais soyons réalistes, tous les pays du monde ont utilisé et continuent d’utiliser le charbon pour se développer. On doit pas se limiter à utiliser nos ressources pour sortir nos populations de la pauvreté.
• Installer des centrales à gaz pour pouvoir valoriser le gaz produit chez nous en électricité
• Installer des centrales solaires combiner avec les centrales à gaz car les centrales solaires photovoltaïques sont intermittents et donc pour une productions stables ont besoin d’un backup en cas de faible productivité
• Et pour des perspectives à moyen et long terme mettre en place des structures pour une installation de centrales nucléaires pour valoriser notre uranium au profit de nos populations. Pour cela, conditionner tout contrat minier sur notre uranium avec des transferts de technologies et la formation de nos jeunes dans les domaines autour du nucléaire civil
2. Amélioration de la production agricole et la transformation des matières premières agricoles en en produits finis.
• Dans le cadre de la grande irrigation, créer le maximum possible de rétention d’eau dans les village aussi bien par l’État par des privés ( organisation par village ou groupement de villages) avec un accompagnement de l’État.
• Faciliter l’importation de machines agricoles à défaut de les fabriquer chez nous
• Faire des campagnes d’informations et de formations des cultivateurs de l’importance d’utiliser des semences de qualité et des outils de travail améliorés voire des machines agricoles si possible, pour obtenir de meilleurs rendemens
• Fabrication de d’engrais en local, la matière première existe chez nous
• Collaboration avec les pays excellent dans la production maraîchère comme le Maroc et l’Espagne.
• Formation des agronomes orientée vers le terrain
Industrialiser le pays afin de réduire les importations.
Construire des routes pour faciliter le transport dans le pays et dans la sous région.
Former la jeunesse pour meilleure intégration de l’économie numérique.
Le onde avance et c’est encore les anciens ingénieurs et autres qui travaillent.