
Géopolitique et Environnement international
14 février 2025Album photo de la cérémonie de lancement
17 février 2025Justice et Droit de l’homme
Engageons-nous pour une justice équitable et le respect des droits humains !
La Commission Justice et Droits de l’Homme vous invite à partager vos idées pour renforcer l’État de droit, l’accès à la justice et la protection des libertés fondamentales.
💬 Quels sont, selon vous, les défis prioritaires et les solutions possibles ?
✍️ Laissez votre proposition en commentaire et contribuez à un avenir plus juste et respectueux des droits humains !

1642 Commentaires
Ma Contribution » Justice et droit de l’homme »
Pour garantir la justice équitable, Premièrement, il faut depolitiser l’administration judiciaire parce que la politique est le grand mal qui gangrène toutes les administrations publiques et alterne la bonne gouvernance. Pour garantir une justice équitable et droit humain, il faut créer une Institution judiciaire forte à l’abri de toute influence avec des Hommes forts. Nous suggérons que le Conseil supérieur de la magistrature ne soit plus présidé par le Chef de l’État mais plutôt par un Conseil des juges élus par ses pairs. Concilier l’âge et la compétence pour les nominations et à défaut des deux, promouvoir uniquement la compétence sans tenir compte de l’âge. Toute nomination doit être précédée d’une enquête de moralité.
2e- il est impératif de sanctionner le comportement des magistrats véreux. Il ne faut pas se contenter uniquement des voies de recours offertes aux plaignant pour défaire un jugement dont on estime que le juge n’a pas dit le droit. Il faut donner la possibilité aux plaignants de dénoncer. Pour cela, Créer à l’image des lignes vertes un service ou un mécanisme( boite de lettres par exemple) permettant aux justiciables de se plaindre ou dénoncer le mauvais jugement dont ils sont victimes. En suite, créer une commission disciplinaire qui examinera les plaintes et ouvrira un débat contradictoire avec le juge en question. Suite au débat, il peut être acquitté ou accablé. Par exemple Si l’erreur du jugement est due à une mauvaise interprétation des lois et des faits de sa part, on l’acquitte mais si l’erreur du jugement est due à un comportement corrompu ou influencé , de prévoir des sanctions à son encontre sans toucher au mauvais jugement rendu. Ce dernier fera l’objet d’un traitement en appel.
3e- la justice équitable ne devra pas être lue dans le sens unique de rendre un jugement juste. Si elle se limite à un jugement juste, elle serait incomplète. Pour qu’elle soit justice équitable, il faut que le juge l’ayant prononcé veille à son applicabilité, à sa traduction dans les faits, à la jouissance du droit par la partie qui a remporté. Il y’a lieu de se demander à quoi servent la justice équitable et droit humain si les jugements souffrent d’exécution par la partie adverse? Si la partie ayant remporté le jugement ne trouve pas jouissance de son droit donné par le juge ? Si le droit humain garanti par le juge est bafoué ? Si les parties ayant obtenu le droit sont délaissés dans l’injustice? L’exemple connu de tous est le fameux concours de spécialistes de douane où il y a une justice qui est rendue et une recommandation de l’Agence Judiciaire de l’État au profit des ayants droit mais qui sont restées sans suite. Pour garantir l’exécution des décisions de justice, il est obligatoire de prévenir et de combattre des comportements qui s’adonnent à des pratiques de piétiner les décisions de justice. il faut donner force publique aux décisions de justice. Pour cela, nous suggérons d’incriminer tout comportement et de qui que ça vienne de » L’OUTRAGE A LA JUSTICE, A L’ÉTAT DE DROIT ET ATTENTE A LA SÛRETÉ DE L’ÉTAT ». Parce que ces comportements sapent la cohésion sociale et menace la sûreté de l’Etat . il y’a lieu de le rappeler que sans la justice, il n’y aura pas État de droit et sans le respect des décisions de justice, la justice perdra toute sa crédibilité au profit de la Loi du Talion et le Niger deviendra la JUNGLE.
IDE KARIMOUN ABDOUL KARIM.
Tout d’abord il faut revoir le cas des contractuels attribuer des numéros matricule à chacun afin qu’ils évoluent dans leur fonction, travail égal salaire égal.revoir la manière que la COLDEF traite les dossiers il faut que les Nigériens identifient ceux qui ont détourner et être jugé conformément à la loi, revoir l’affaire du casier judiciaire il faut permettre aux Nigériens d’avoir accès à leur cassier dans n’importe quelle région et département au lieu que la personne cherche ça dans la région ou il est née.
Ramener le jugement du Coran dans nos justice car nous sommes dans un pays musulman.
Pr katembe le sait !
Il s’agit des droits des admis du spécial A et B suspendus depuis 11 ans !
Quelle rupture d’égalité !
280 enseignants suspendus et des autres non suspendus pourtant restés étudiants jusqu’à la licence et même plus !
Réparez tôt et tout d’abord cette rupture d’égalité qui a assez duré !
C’est une priorité !
Bonnes assises nationales !
Vive le président Abdouramane Tiani !
Vive le CNSP !
Vive le Niger dans ses droits !
L’instauration et la consolidation d’un État de droit reposent sur plusieurs défis majeurs, qui varient selon les contextes politiques, économiques et sociaux. Voici les principaux :
1. Indépendance et efficacité de la justice Assurer une séparation claire des pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire). Lutter contre la corruption dans le système judiciaire. Garantir l’accès à la justice pour tous, sans discrimination.
2. Respect des droits fondamentaux Garantir les libertés individuelles (expression, presse, réunion, etc.). Protéger les minorités et les groupes vulnérables. Assurer un cadre légal qui respecte les conventions internationales des droits humains.
3. Lutte contre la corruption et la gouvernance transparente Mettre en place des institutions indépendantes de contrôle (cours des comptes, autorités anticorruption). Renforcer la transparence dans la gestion des finances publiques et les marchés publics. Encourager la participation citoyenne et le contrôle de l’action publique. 4. Sécurité et maintien de l’ordre dans le respect des lois Éviter l’usage abusif de la force par les forces de l’ordre. Réformer les forces de sécurité pour garantir leur neutralité politique. Lutter contre l’impunité des violations des droits humains.
5. Culture démocratique et éducation civique Encourager la participation citoyenne dans la vie politique. Renforcer l’éducation à la démocratie et aux droits humains dès l’école. Promouvoir une presse libre et indépendante pour assurer un débat public éclairé.
6. Stabilité institutionnelle et adaptation des lois Adapter les cadres juridiques aux évolutions sociétales et technologiques. Assurer un fonctionnement régulier des institutions (alternance démocratique, élections libres et transparentes). Prévenir les crises politiques par des mécanismes de médiation et de dialogue.
7. Développement économique et justice sociale Réduire les inégalités qui fragilisent l’État de droit. Favoriser l’inclusion sociale pour éviter la marginalisation de certaines populations. Assurer un équilibre entre liberté économique et régulation pour protéger les travailleurs et les consommateurs.
L’établissement d’un État de droit est un processus long et complexe, nécessitant l’engagement des gouvernants, des citoyens et des institutions internationales.
Je suis du même avis.
Instaurer une justice équitable entre les citoyens d’un pays repose sur plusieurs piliers fondamentaux :
1. Un cadre juridique juste et accessible Rédiger des lois claires, compréhensibles et applicables à tous sans distinction. Assurer la cohérence des lois pour éviter les contradictions et les failles juridiques. Permettre aux citoyens d’accéder facilement aux textes législatifs et à leurs droits.
2. Une indépendance et impartialité de la justice Garantir l’indépendance des juges face aux pouvoirs politiques et économiques. Mettre en place des mécanismes pour éviter la corruption et les conflits d’intérêts. Assurer une diversité et une formation continue des magistrats pour limiter les biais. 3. Un accès équitable à la justice pour tous Proposer une assistance juridique gratuite ou à faible coût pour les personnes défavorisées. Simplifier les procédures judiciaires pour qu’elles ne soient pas uniquement accessibles aux élites. Développer des tribunaux locaux ou des solutions alternatives (médiation, arbitrage) pour désengorger les cours de justice.
4. Une application des lois sans discrimination Renforcer les contrôles sur l’application des lois pour éviter les traitements de faveur. Sensibiliser et former les forces de l’ordre aux droits humains et à l’impartialité. Assurer une transparence dans les décisions judiciaires et permettre un droit d’appel effectif.
5. Un contrôle citoyen et une transparence judiciaire Publier les décisions de justice pour garantir la transparence. Permettre aux citoyens et aux médias d’avoir un rôle d’observateur dans les affaires publiques. Créer des instances de surveillance indépendantes pour signaler et corriger les injustices.
6. L’éducation juridique des citoyens Intégrer des notions de droit et de justice dans l’éducation dès le plus jeune âge. Informer la population sur ses droits et les recours possibles en cas d’injustice. Encourager la participation citoyenne dans les réformes judiciaires et législatives.
En appliquant ces principes, un pays peut garantir une justice équitable qui protège efficacement tous ses citoyens sans distinction de richesse, d’origine ou de statut social.
Bonjour chers participants. En ce qui concerne ce volet des assises,( justice et droit de l’homme de l’Homme) les assises doivent respecter un seul principe qui s’articule sur deux points: 1. remettre le peuple dans leur droit c’est à dire reprendre des voleurs de l’Etat tout ce qu’ils ont volé et les nationaliser. En effet, comment comprendre qu’en seulement 5 ans de mandant, la quasi totalité d ministres deviennent des milliardaires ???? Des invidus prennent les biens de l’Etat pour investir dans d’autres pays pendant que le peuple crève dans des hôpitaux par manque de médicaments, des élèves sont assis même l sol par manque de tables-bancs?? Des femmes ramassent du sable ,des cailloux pour vendre et assurer leur substance. On dit que l’Occident, particulièrement la France nous a pillé pendant 60 ans ou 100 ans, ces individus sont aussi pire que la France..2 il s’agit de sanctionner très fort pour que demain ce comportement ne se reproduira plus jamais. En effet, tout le mal de ce pays c’est l’impunité. Prenons des mesures sur l’impunité et qui seront scellées. Je propose qu’on supprime la notion d’amnistie même. C’est qui ce qui protège et qui encourage
Lutte contre la corruption
Combattre la corruption dans un pays nécessite une approche globale et systématique impliquant plusieurs acteurs et stratégies. Voici les principales mesures à adopter :
1. Renforcer le cadre légal et les sanctions Adopter des lois strictes contre la corruption, incluant des peines sévères pour les corrupteurs et les corrompus. Créer des organismes indépendants chargés de l’application des lois anticorruption. Protéger les lanceurs d’alerte qui dénoncent les actes de corruption.
2. Assurer la transparence et l’accès à l’information Rendre public le financement des partis politiques et des campagnes électorales. Exiger la déclaration des biens et revenus des hauts responsables de l’État. Publier les appels d’offres et les contrats publics pour éviter les détournements de fonds.
3. Renforcer l’indépendance et l’intégrité de la justice Garantir l’indépendance des juges et des procureurs pour éviter les pressions politiques. Accélérer les procédures judiciaires liées aux affaires de corruption pour éviter l’impunité. Mettre en place des tribunaux spécialisés dans les affaires de corruption.
4. Réformer l’administration publique Réduire la bureaucratie excessive qui favorise les pots-de-vin et les abus de pouvoir. Mettre en place des services publics numériques pour limiter l’interaction directe avec les fonctionnaires et donc les risques de corruption. Renforcer les contrôles internes dans les administrations et les entreprises publiques.
5. Encourager la participation citoyenne et la liberté de la presse Protéger les journalistes d’investigation et garantir la liberté de la presse. Encourager les ONG et la société civile à surveiller et dénoncer les actes de corruption. Éduquer les citoyens sur leurs droits et les moyens de signaler les abus.
6. Instaurer une culture de l’éthique et de la responsabilité Mettre en place des formations sur l’éthique et la lutte contre la corruption pour les fonctionnaires et les élus. Récompenser les comportements intègres et les bonnes pratiques en matière de gouvernance. Sensibiliser dès l’école aux dangers de la corruption et à l’importance de l’honnêteté.
7. Coopération internationale Collaborer avec les organismes internationaux comme Transparency International et Interpol pour identifier et poursuivre les responsables de corruption transnationale. Signer des conventions internationales contre la corruption, comme celle de l’ONU (UNCAC). Faciliter l’extradition et la confiscation des biens mal acquis à l’étranger.
En combinant ces mesures, un pays peut progressivement réduire la corruption et instaurer une culture de transparence et d’intégrité.
Lutte contre l’impunité
La lutte contre l’impunité est essentielle pour garantir la justice, l’égalité devant la loi et la confiance des citoyens envers les institutions. Voici les principales stratégies pour y parvenir :
1. Renforcer le système judiciaire Assurer l’indépendance des juges et des procureurs pour éviter les pressions politiques et économiques. Accélérer les procédures judiciaires pour éviter que les affaires traînent et permettent aux coupables d’échapper à la justice. Créer des tribunaux spécialisés pour juger les crimes graves (corruption, crimes contre l’humanité, abus de pouvoir).
2. Mettre en place des sanctions effectives Appliquer des peines sévères et dissuasives contre tous les responsables, quel que soit leur statut social ou politique. Renforcer les contrôles pour éviter les interventions et les amnisties injustifiées. Assurer l’exécution des peines prononcées pour éviter que les condamnés échappent à la prison ou aux amendes.
3. Protéger les victimes et les lanceurs d’alerte Mettre en place des mécanismes de protection pour les témoins et les victimes afin qu’ils puissent témoigner sans crainte. Encourager la dénonciation des abus en garantissant la sécurité des lanceurs d’alerte. Offrir un accompagnement psychologique et juridique aux victimes.
4. Renforcer la transparence et l’accès à l’information Publier les décisions de justice pour que les citoyens puissent suivre les affaires importantes. Mettre en place des commissions indépendantes pour enquêter sur les abus de pouvoir et les crimes d’État. Encourager les médias à couvrir les affaires judiciaires sans censure.
5. Mobiliser la société civile et les institutions internationales Encourager les ONG et les associations de défense des droits humains à surveiller et dénoncer les injustices. Collaborer avec les instances internationales (ONU, CPI, ONG) pour juger les crimes les plus graves. Sensibiliser la population à l’importance de l’état de droit et du respect des lois.
6. Mettre fin aux privilèges des élites Supprimer l’immunité abusive pour les responsables politiques et hauts fonctionnaires impliqués dans des crimes graves. Réduire les protections légales excessives qui empêchent les enquêtes et poursuites contre les puissants. Appliquer la loi de manière égale à tous, sans distinction de statut ou de richesse.
En appliquant ces mesures, un pays peut réduire l’impunité, renforcer la justice et rétablir la confiance des citoyens envers les institutions.
qu’Allāh Subhanahu vous assiste!
Pendant que vous délibérez, veuillez considérer que l’homme et la femme sont semblables aux ailes d’un même oiseau, l’humanité dans sa splendeur !
Allāhu Wa’alam !
Bonjour à tous 1 justice pour tous 2 libère tout le nigeriens en prisone de ex régime