
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
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Créer une charte de la transition équitable pour le Niger en vue d’un avenir meilleur est un projet ambitieux qui nécessite une vision collective et durable. Voici une proposition de structure pour une telle charte. Celle-ci pourrait être adaptée aux besoins spécifiques du pays et aux défis à relever.
Charte de la Transition Équitable pour le Niger
Préambule :
Nous, citoyens du Niger, conscients des défis auxquels notre pays fait face et animés par la volonté de bâtir un avenir meilleur, solidaire et prospère pour tous, nous engageons à promouvoir une transition équitable fondée sur les principes de justice sociale, de développement durable et de respect des droits humains.
Dans le respect de notre diversité, de notre culture et de nos ressources, nous aspirons à un Niger plus juste, où chaque citoyen, quelle que soit sa région, son origine ou son statut, pourra bénéficier des fruits du progrès.
Principes Fondamentaux :
1. Justice sociale et économique :
• Assurer l’accès équitable aux ressources et aux opportunités, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé, du logement et de l’emploi.
• Lutter contre les inégalités sociales, économiques et géographiques à travers une redistribution équitable des richesses.
2. Participation citoyenne :
• Promouvoir la participation active de tous les citoyens, en particulier les jeunes et les femmes, dans le processus décisionnel.
• Garantir la liberté d’expression et le droit à l’information pour tous les citoyens.
3. Respect des droits humains :
• Veiller à la protection des droits fondamentaux de tous les individus, indépendamment de leur origine, religion, sexe ou statut social.
• Lutter contre toute forme de discrimination et garantir l’égalité devant la loi.
4. Transition énergétique et écologique :
• Promouvoir une transition énergétique qui favorise les énergies renouvelables, minimise l’empreinte carbone et protège l’environnement.
• Mettre en place des politiques de gestion durable des ressources naturelles pour préserver l’avenir des générations futures.
5. Gouvernance transparente et responsable :
• Instaurer une gouvernance fondée sur la transparence, la responsabilité et l’intégrité, en luttant contre la corruption à tous les niveaux.
• Renforcer les institutions démocratiques et l’État de droit, tout en garantissant une séparation claire des pouvoirs.
6. Paix et cohésion sociale :
• Promouvoir la paix, la sécurité et la réconciliation nationale en soutenant le dialogue entre toutes les communautés et groupes sociaux.
• Développer des mécanismes de prévention des conflits et de gestion des tensions sociales.
7. Solidarité régionale et internationale :
• Renforcer la coopération avec les pays voisins et les partenaires internationaux, dans un cadre respectueux de nos intérêts nationaux et des principes de solidarité et de développement durable.
Objectifs Stratégiques :
1. Réduire les inégalités régionales :
• Développer les infrastructures et les services dans les zones rurales et les régions les plus vulnérables.
• Assurer une répartition équitable des ressources et investissements pour réduire les disparités entre le nord, le sud, l’est et l’ouest du pays.
2. Renforcer le système éducatif et la formation professionnelle :
• Reformer le système éducatif pour en faire un moteur de l’égalité des chances et de l’employabilité des jeunes.
• Promouvoir la formation professionnelle et technique pour répondre aux besoins du marché du travail.
3. Accélérer la transformation économique :
• Encourager l’industrialisation et la diversification économique pour réduire la dépendance aux secteurs primaires.
• Soutenir l’entrepreneuriat local, notamment des jeunes et des femmes, et promouvoir des secteurs stratégiques comme l’agriculture durable, l’industrie et les technologies.
4. Renforcer les systèmes de santé et de protection sociale :
• Assurer un accès universel et équitable aux soins de santé de qualité.
• Développer des programmes de protection sociale pour les populations les plus vulnérables.
Conclusion :
La transition équitable du Niger est un processus à la fois complexe et déterminant pour notre avenir. Elle doit être guidée par un engagement commun en faveur de la justice sociale, de la durabilité et de l’inclusion. Cette charte est un appel à tous les citoyens, à la société civile, aux acteurs politiques et économiques, ainsi qu’aux partenaires internationaux, pour unir nos efforts dans la construction d’un Niger plus juste et plus prospère.
Cette charte peut être utilisée comme une base de réflexion pour des actions concrètes, adaptées à l’évolution du pays et aux besoins exprimés par les différentes communautés.
Je pense que pour une fonctionnement des institutions, le Niger doit commencer par éradiquer le part de gâteau, c’est à dire la pratique qui constituée à conférer tout une institution entière à un partie politique qui en fait héritage est que les postes sont occupés pas par compétences mais par ce que tu est tu politique bureau ou par ce que un parmis ces parents la été.
Nommé sur des postes de haute responsable des gens appartenant aux domaines et qui sont hautement qualifié qui après nomination se verront présenté sur toutes les chaînes de qui ils sont réellement de ce qu’ils ont apporter à l’édifice du pays;
Il faut que la personne le mérite et non pas par connaissance.
Il faut aussi que l’exécutif soit déchargé de certains suprématie confère sur les institutions. c’est à dire que nos institutions doivent être indépendante et libre d’exercer la tâche pour la quelle elle a été créée de manière à ce que ton rang ne te protégera pas du nécessaire que l’institution doit exercer sur toi;
Il faut de plus que l’état commence par appliquer des mesures de sanction allant du rétrograde à la radiation définitive de la fonction publique. (Le faite de croire qu’ils ne peuvent en aucun cas être radiée de la fonction publique fait en sorte que les agents de l’État ont rendu l’administration comme un paradis de repos éternel où tu arrives quand bon te semble, à l’heure qui te convient, repartir quand l’on veut et pire exercer une activité pour des privé aux heures de travail public ;
Créer des voies de dénonciation anonyme de toutes pratique juge non avantageux à l’émergence de nos institutions.
Prôné l’idée de <> c’est à dire félicité et récompenses publiquement les méritant pour leurs travail rendu à la nation et sanction les noms méritant
Pour la politique
Revoir les critères de l’obtention de l’autorisation de création d’un parti politique (il faut que le bureau politique tien avant toutes autorisation : un congrès statutaire public et une mise en place de tous ces instances dirigeantes du niveau national jusqu’au niveau des district diffuser dans toutes les radios et télévisions ;
Bannir l’esprit de liste qui confère au politique bureau la latitude de choisir qui va représenter le parti au différents postes et instaurer l’enregistrement des voies au nom du candidat qui s’est présenté.
Instaurer un cota de voix nationale tout en veillant à ce que les 80% des voix soit issue de la localité où le candidat s’est présenté et les 20% des autres régions où localités;
Les campagnes doivent être ouvert non pas pour une caravane de » voté pour moi » mais un truc où un délai est fixé à chaque partie pour présenter d’abord devant les médias sont programme d’un mandat en entier et ensuite des les différentes régions.
Instaurer des sanctions pour tout partie que se rallie où qui demande à ses militants de se rallier à un partie au second tour (ce qui permettra à la population de se rallier individuelle et par cause et au-delà de n’avoir pas à partager les les gâteaux des institutions et structures administratives de l’État ;
Retirer à tout parti politique son autorisation d’exercer au cas où il n’arrive pas à avoir un minimum de 25% de voix aux élections ;
Retirer l’autorisation d’exercice à tout parti qui ose battre campagne en chosifiant où en personnifiant sont paires.
Créé une plateforme genre ( avec identifiant complet pour déposer une dénonciation) de recours pour dénoncer toutes tentatives de dissuasion de la population lors des élections et que un taux soit fixé permettant ainsi le retrait de ce pati des élections lorsque le taux de dénonciation est atteint.
Créer un concours National de recrutement des agents chargés de diriger les bureaux de vote et qui répartition nationale soit faite non par les parties une agence indépendante et libre de ses mouvements. Ça évitera d’être redevable à celui qui l’a proposé pour être un président de bureau de vote.
Limité la création des parties politique au minimum 10 si il arrive à remplir les conditions cité si haut.
(Prôné un vote populaire et non représentatif lorsque la question est d’intérêt d’avenir pour le pays
Nous saluons l’initiative des assises nationales, occasion de pouvoir donner à notre cher pays, le Niger, les chances d’un nouvel élan pour un nouveau départ.
En guise de contribution dans le cadre des assises nationales, nous faisons remarquer qu’après un peu moins de quarante ans de démocratie exercée par les partis politiques, nous regrettons de relever l’échec cuisant de toute la classe politique sans distinction, pour avoir travesti l’essentiel des valeurs par lesquelles l’humain se reconnaît et s’être rendue coupable tant du déchirement de notre tissu social que de notre sous développement.
C’est pourquoi, après ce bilan catastrophique, peu honorable, nous formulons des fortes recommandations à l’endroit de ceux qui ont, aujourd’hui, la lourde responsabilité, devant l’histoire, de pouvoir assister à ce grand rendez-vous national, en délibérer sur la dissolution de tous les partis politiques, de sorte que les politiciens de carrière puissent songer à créer de nouvelles formations politiques.
Ce faisant, notre pays, le Niger, serait épargné d’avoir de regroupements analogues, cadre à travers lesquels les gens s’adonnent à des alliances pour soutenir des projets personnels.
Nous sommes convaincus que, grâce à cette mesure, il y aura, sans nul doute, de nouvelles compositions des partis politiques, traduisant les choix justifier de faire chemin avec bon nombre d’acteurs politiques qui ne relevaient pas du même bord politique. Autrement dit, les cartes seront redistribuées pour un jeu démocratique plus responsable.
Il y a également lieu de mettre fin au nomadisme politique, du moins pour les grandes figures (les élitestout commes les bailleurs de fonds locaux). Notre opinion à ce sujet ne consiste pas à ôter le droit de cesser d’appartenir à une formation politique, mais de faire le choix de s’abstenir carrément, tout en conservant le droit de vote. Nousdemandons à la Commission un encadrement vigoureux.
Je pense qu il serait important de mettre dans le nouveau projet de constitution à venir toutes les raisons importantes qui légitimeront la prise du pouvoir ou sanctions par l Armée en cas de manquement par un président élus .
Ma proposition porte sur les horaires à la fonction publique. C’est de ramener la descente à 16h 30 comme sous l’administration Tanja. Ça va permettre aux fonctionnaires de pouvoir s’occuper d’autres choses , tels que l’éducation de leurs enfants car la descente pour les élèves est a 14h. Aussi, pour ceux qui ont d’autres activités,ils pourront le faire, pour contribuer à l’économie . A l’époque il y a eu une évaluation qui a jugé bénéfique ette descente à 16h 30. Le rapport doit être disponible sûrement.
C herchez le et rétudiez le . Merci
Pour garantir la stabilité des institutions, instituer un régime présidentiel
Définir un charte transition de trois ans à compter de janvier 2025 avec un président de transition et un premier ministre chef de gouvernement.
Instituer un mandat de sept ans pour un président de la république non renouvelable.
Instituer un système de parrainage pour les candidats aux élections presidensielles
Dissoudre de fait tout parti politique n’ayant pas obtenu au moins cinq sièges aux prochaines élections législatives.
Revoir le schéma de la décentralisation en tenant compte des conclusions du rapport d’évaluation des quinze ans de Décentralisation au Niger.
Faire élire les maires des communes au suffrage direct concomitamment aux portes de conseillers municipaux.
Exiger un niveau d’instruction supérieur (au moins BAC+3) pour être candidat au poste de maire de commune.
Nommer prioritairement aux portes de portefeuille ministériel les citoyens nigériens qui jouissent d’un mandat électoral (Maire ou député).
Déclarer non éligible tout citoyen reconnu coupable de détournement des deniers publics à tout poste électif et ou nominatif.
Instituer un système électoral à la plus forte moyenne afin d’assurer une large représentativité des citoyens.
Exiger un niveau d’instruction supérieur (BAC+5) pour être candidat à la députation nationale.
Créer un ministère de la fonction publique et de l’efficacité afin de booster le travail de l’administration, évaluer, sanctionner et pouvoir nommer des gens qu’il faut à la place qu’il faut.
Rehausseur le nombre des régions à 24 en créant des nouvelles dont 2 à Diffa, 4 à Zinder, 3 à Maradi, 4 à Tahoua, 3 à Dosso, 1 à Niamey, 4 à Tillaberi et 3 à Agadez. Soit un total de 24.
Définir un pacte national fort en matière de défense, de momaie et de politique extérieure conformément à notre vision commune au sein de l »AES.
La création d’une Agence Permanente des Programmes de l’État.
Qui permet de définir les grands projets du pays dans le moyen et long terme. On parle de projets sur 15, 20, 25, 50 voire 100 ans. Les régimes à venir devront se conformer.
Permanente car non liée aux régimes, voire dirigés par des représentants de l’armée, les magistrats, les enseignants chercheurs, les chefs coutumiers…
La restriction du pouvoir du Président. S’il ne nomme pas les grands magistrats, les pouvoirs seront enfin séparés, au revoir le sentiment de redevabilité, et de peur d’être limogés.
Je pense qu’il serait judicieux de mettre en place une institution ou un guide suprême apolitique chargé de veiller au respect, à l’application et à la protection de la constitution comme le cas en Iran
CHARTE DE LA REFONDATION (TRANSITION) DU NIGER – LA NATION HAMDALLAH : LA GOUVERNANCE COLLECTIVE CITOYENNE (GCC)
PRÉAMBULE
A’ouzou Billahi Mina Chaytani Rajim
Bismi Allāhi Ar-Raĥmāni Ar-Raĥīmi ,
Allahouma Salli Ala Sayyidina Mouhammadine Wa salim
Lâ ilâha illa-llâh, Muhammad rasûlu-llâh (SAW),
Bismi Allāhi Ar-Raĥmāni Ar-Raĥīmi ,
Al-Ĥamdu Lillāhi Rabbi Al-`Ālamīna,
Ar-Raĥmāni Ar-Raĥīmi,
Māliki Yawmi Ad-Dīni,
Īyāka Na`budu Wa ‘Īyāka Nasta`īnu,
Ihdinā Aş-Şirāţa Al-Mustaqīma,
Şirāţa Al-Ladhīna ‘An`amta `Alayhim Ghayri Al-Maghđūbi `Alayhim Wa Lā Ađ-Đāllīna,
AAMIIINE
Au nom d’Allah (DIEU), le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,
Louange à ALLAH, Seigneur de l’univers
Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,
Maître du jour de la rétribution,
C’est Toi que nous adorons et c’est Toi dont nous implorons secours,
Guide-nous dans le droit chemin
Le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.
AAMIINE
Nous, Djama’a, peuple souverain de la nation Hamdallah, réunis par la grâce d’ALLAH le Tout-Puissant, affirmons notre volonté de bâtir un système de gouvernance collective citoyenne libéré des partis politiques, fondé sur les principes de justice, de solidarité, d’équité et de prospérité pour tous. Nous établissons cette charte en vue d’une gestion harmonieuse, participative et consensuelle de nos affaires communes, plaçant au centre de la prise de décision Djama’a, le peuple souverain source de tout pouvoir.
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CHAPITRE I : PRINCIPES FONDAMENTAUX
Article 1 : Souveraineté du peuple
Source unique et suprême de la souveraineté dans la nation, le peuple, appelé Djama’a, est constitué des citoyens des villages et des quartiers urbains des 8 régions de la nation Hamdallah, qui sont : Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Niamey la capitale, Tahoua, Tillabéry, Zinder. Aucune institution, personne ou groupe ne peut se réclamer d’une autorité supérieure à celle du peuple.
Article 2 : But de la Gouvernance Collective Citoyenne
La GCC a pour objectif d’établir une société fondée sur la justice sociale, la solidarité, la transparence, l’équité, la paix durable, et la prospérité partagée, sans distinction communautaire, religieuse ou sociale, conformément aux principes de l’Islam, sous la bénédiction d’ALLAH (SWT).
Article 3 : Mode de gouvernance
La GCC se caractérise par une structure en pyramide inversée où le peuple Djama’a, occupe la place suprême. Les institutions de gouvernance qui fonctionnent en symbiose dans un mouvement consensuel, émergent du peuple et servent ses intérêts à tous les niveaux. Les décisions sont prises pour l’accomplissement de la prospérité du peuple souverain. Les institutions de la GCC tirent leur légitimité du consentement populaire, exprimé par le biais de suffrages, directs pour certaines, indirects pour d’autres, à la majorité simple à un tour.
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CHAPITRE II : STRUCTURES DU DJAMA’A
Article 4 : Djami’iya Villageois (DV) et Djami’iya de Quartier Urbain (DQU)
• Composition : Le Djama’a est organisé en Djami’iya Villageois (DV) dans les zones rurales et en Djami’iya de Quartier Urbain (DQU) dans les zones urbaines. Ces cellules de base regroupent les citoyens de chaque quartier du village / chaque rue du quartier urbain.
• Rôle : Ces structures sont les premières cellules de prise de décision où les citoyens discutent et proposent des solutions pour leurs communautés locales.
• Mandat : Les Wakils du DV /DQU sont élus pour un mandat unique de 8 ans, non renouvelable de suite.
• Sessions : Wakils du DV / DQU et le chef de village / chef(fe) de quartier urbain, lors des sessions du DV / DQU
Article 5 : Djami’iya Communaux (DC)
• Composition : Chaque commune de la nation Hamdallah est représentée par un Djami’iya Communal (DC), composé de 1 Wakil Communal élu par les citoyens de chaque village / chaque quartier urbain, de la commune. Le nombre de wakils du DC est égal au nombre de villages administratifs / quartiers urbains, qui la composent.
• Rôle : Le DC est responsable de l’organisation des affaires communales et du relais des décisions du Djama’a le peuple.
• Mandat : Les Wakils Communaux sont élus pour un mandat unique de 8 ans, non renouvelable de suite.
• Sessions : Chaque Wakil est accompagné du chef de village lors des sessions du DC.
Article 6 : Djami’iya Régionaux (DR)
• Composition : Les DR sont constitués de représentants des communes de chaque région. Un Wakil Régional est élu par les Wakils Communaux pour représenter chaque commune avec la participation de tous les chefs de canton de la région .
• Rôle : Le DR assure la coordination régionale des politiques publiques et transmet les besoins et les décisions aux organes nationaux.
• Mandat : Les Wakils Régionaux sont élus pour un mandat unique de 8 ans, non renouvelable de suite.
• Sessions : Les Wakils Régionaux participent aux sessions du DR accompagnés des chefs de canton.
Article 7 : Djami’iya National (DN)
• Composition : Le DN est le parlement bicaméral et se compose de deux chambres :
1. 271 Wakils Nationaux, un pour chacune des 266 communes et 5 pour la diaspora.
2. 130 Wakils Corporatifs élus par leurs pairs, dont :
82 wakils civils
10 wakils pour chacune des 8 régions
– 8 wakils corporatifs travailleurs,
– 1 wakil de l’association islamique
– 1 wakil de l’association des chefs traditionnels
1 wakil de l’église catholique
1 wakil de l’église protestante
48 wakils des Forces de Défense et de Sécurité (FDS)
8 wakils régionaux pour chacun des 6 corps FDS (armée, gendarmerie, police nationale, garde nationale, eaux et forêts, douane)
• Rôle : Le DN est l’organe législatif suprême, veillant à la formulation des lois et à l’adoption des politiques nationales.
• Mandat : Les Wakils du DN sont élus pour un mandat unique de 8 ans, non renouvelable de suite.
• Sessions : Les Wakils du DN participent aux sessions trimestrielles et extraordinaires.
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CHAPITRE III : LE GOUVERNEMENT
Article 8 : Composition du Gouvernement
• Composition du gouvernement
Le gouvernement est formé de 8 tandems Wazir-Wazir Adjoint, un pour chacune des 8 régions.
• Élection : Les membres du gouvernement sont élus par les deux chambres du Djami’iya National.
• Mandat : Le mandat gouvernemental est de 8 ans, non renouvelable immédiatement
Article 9 : Rôle du Gouvernement
Le gouvernement est chargé de l’exécution des lois, de la gestion des affaires nationales, de la coordination entre les différentes régions, veillant à la justice, à l’égalité et à la prospérité nationale.
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CHAPITRE IV : INSTITUTIONS JUDICIAIRES ET DE CONTRÔLE
Article 10 : Cour des Comptes
La Cour des Comptes est responsable de la surveillance des finances publiques et des budgets des institutions de l’État, afin de garantir une gestion transparente et équitable des ressources.
Article 11 : Système judiciaire
Les tribunaux de la nation Hamdallah incluent des juges islamiques et canoniques, qui délibèrent en collégialité pour assurer une justice impartiale selon les principes islamiques et civils.
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CHAPITRE V : ÉLECTIONS ET MANDATS
Article 12 : Mode d’élection
Les wakils au niveau local, régional et national, ainsi que les membres du gouvernement (wazirs et wazirs adjoints), sont élus au suffrage universel direct pour certains, et indirect pour d’autres, à la majorité simple, et à un tour.
Article 13 : Durée des mandats
Tous les mandats électifs sont fixés, pour certains à 2 ans ou 4 ans renouvelable une seule fois, pour d’autres à 8 ans, non renouvelables immédiatement après la fin du premier mandat. Aucune personne ne peut servir consécutivement dans la même institution.
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CHAPITRE VI : GESTION DES RESSOURCES NATIONALES
Article 14 : Propriété collective des richesses
Les richesses immatérielles et matérielles de la nation appartiennent au peuple. Dans toutes les sociétés extractives opérant sur le territoire, l’État ou les citoyens privés doivent détenir au moins 51% des actions, garantissant que les bénéfices reviennent à la population.
Article 15 : Utilisation équitable des ressources
Les revenus issus des ressources naturelles doivent être utilisés pour financer des projets de développement collectif, en accord avec les besoins de chaque région, et favoriser la prospérité commune.
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CHAPITRE VII : ORGANISATION SOCIALE
Article 16 : Responsabilité individuelle
Chaque citoyen majeur et doté de ses facultés mentales est responsable de sa contribution à la société, selon ses capacités.
Article 17 : Lutte contre la paresse
Le Zougga, un système d’exhortation collective, est institué pour encourager le travail productif et lutter contre la paresse et l’oisiveté.
Article 18 : Cousinage à plaisanterie
Le Tabastaka-Bassetarey (cousinage à plaisanterie) est institué comme mécanisme de résolution des conflits entre communautés cousines. Tout différend doit être résolu de manière pacifique, en respectant l’autre.
Article 19 : Puissance paternelle collective
L’éducation des enfants est une responsabilité collective. Chaque citoyen a un rôle à jouer dans l’éducation et le bien-être des jeunes.
Article 20 : Respect des coutumes sociales
Le respect du droit d’aînesse, de la parole donnée, et l’humilité sont des valeurs fondamentales de la société.
Article 21 : Dot et frais coutumiers
La dot est fixée à :
• 100 000 F CFA pour une fille vierge,
• 50 000 F CFA pour une veuve ou divorcée sans enfant,
• 30 000 F CFA pour une veuve ou divorcée avec enfant(s).
Article 22 : Respect des animaux domestiques
Les animaux domestiques doivent être attachés ou gardés en enclos durant les périodes de culture. Les chats, chiens, et volailles ne sont pas soumis à cette mesure.
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CHAPITRE VIII : SYMBOLES NATIONAUX ET LANGUES
Article 23 : Couleurs de la Nation
Les couleurs de la nation Hamdallah sont le vert avec une étoile blanche à 8 branches en son centre.
Article 24 : Devise nationale
La devise nationale est : » Laabou Sanni No – Zancen Kasa Ne »
Article 25 : Langues nationales et langues de travail
Les langues nationales sont haoussa, zarma-sonrai, tamachek, foulfouldé, kanouri, gourmantché, toubou, arabe, et goudouma. Le français et l’arabe sont les langues de travail.
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CHAPITRE IX : PROTECTION DES DROITS FONDAMENTAUX
Article 26 : Protection contre l’arbitraire
Toute personne a droit à une protection contre les abus de pouvoir et à une défense équitable devant les tribunaux, selon les principes islamiques.
Article 27 : Dignité humaine
La dignité de chaque individu est sacrée et doit être respectée conformément aux préceptes de l’Islam.
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CHAPITRE X : RÉVISION DE LA CHARTE
Article 28 : Révision de la charte
Toute révision de la présente charte doit être soumise à un vote au DN et approuvée par une majorité des wakils du DN.
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Adoptée en ce jour, cette charte est la fondation de la Gouvernance Collective Citoyenne de la Nation Hamdallah, pour la justice, la prospérité et la paix éternelle sous la protection d’ALLAH.
Merci beaucoup !
C’est très bien !
💯 Pour 💯 soutien !
Et s’il vous plaît :
Incluez notre Situation dans vos propositions et préoccupations majeures donc !
S’il vous plaît !
Laabu sanni » no!!
Il s’agit des 280 enseignants suspendus depuis 11 ans par arrêté et de façon injuste,car leurs collègues ne l’ont pas été !
Et pourtant ils ont étudié jusqu’à la licence et même plus !
C’est une rupture d’égalité !
Que Dieu vous bénisse !
Pour ce qui de ma contribution il faut qu’il ait un changement de mentalité dans tous les secteurs
Je vais parler sur un seul point
Celui de passation de marché ce secteur souffre du fait que tout ce qu’on fait aujourd’hui n’est presque pas conforme beaucoup de tricheries la plupart des gens qui sont dans ce plan d’auto donne le marché ou font un semblant avec d’autres personnes pour comploter afin d avoir le marché ce qui fait que l État souffre parce que les entreprises dignes ne gagnent les marchés et qu il recrute pas pour amener un allègement sur le plan ambauche …en beaucoup d entreprises fermeront après un moment ce qui fait une énorme perte pour l État