Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif. Exprimez-vous en commentaire et contribuez à ce grand chantier national !
1557 Commentaires
Bonsoir Monsieur/Madame,
Nous avons une proposition par rapport au nombre des députés dont l’assise avait initialement proposé 100 députés.
Pour une question de représentativité nous proposons que chaque commune ait son propre député à l’assemblée nationale plus la diaspora un député également.
Nous avons aujourd’hui 266 communes plus la dispora qui nous donne un total de 266+1 ça fait 267 députés donc impaires même en cas de votes.
Dans cette configuration nous allons faire en sorte que chaque député soit issue de sa commune d’origine pour parler des problèmes de sa commune à l’assemblée nationale.
Le CNSP doit réformer ses propres rent pour ne pas tomber dans les mêmes dérives et injustice sociale pratique par le régime dechu car en effet ces derniers temps beaucoup de scandales politique, financier et social se font entendre.
Ces sont entre autres le cas FSSP, le cas du recrutement de 92 agents RTN, cas Paac Nigelec etc …
La jeunesse vous regardez et attends des décisions direct et ferme contre les pratiques anti-sociales.
D’après moi le CNSP doit renforcer et améliorer la justice car pas de justice pas d’unité nationale or cette dernière est indispensable pour le développement d’un pays.
Le CNSP doit regarder de près la situation déplorable de notre système éducatif.
C’est dans ce domaine seulement que les agents partent en retraite après 2ans de service civique et avec 2, 3 voir 4 mois d’arriérés non payés .
Je propose de redresser avec des décrets :
Favorisant l’intégration des jeunes diplômés dans ce domaine
Recrutement des enseignants
Formation intensive des enseignants
Payement régulier des enseignants
La suivie des enseignants
Et bien d’autres
Paix sur Tous!
Nous revenons sur la point d’insérer la charia ou même reconnaître l’islam comme religion majorité. D’autres parle de république islamique.
Nous pensons que faire cela nous place sur une pente glissante. Et, n’est pas nécessaire pour le développement de notre pays.
Lors de la mise en place de la confédération en juillet 2024, le président de la confédération son excellence Assimi Goita a dit que la confédération va suivre les principes du panafricanisme. Et le panafricanisme n’a pas de religion. En effet, le Mali a fait ses assises et il n’a pas été question pour les maliens de reconnaître une religion dans sa constitution parce que majorité. Pourtant ils peuvent bien faire cela, c’est parce qu’ils suivent les principes du panafricanisme. Le Burkina a fait ses assises et tout comme le Mali, le Burkina n’a pas amené sur la table la religion. Parce qu’ils suivent eux aussi les principes du panafricanisme.
Alors pourquoi ce sera le Niger qui va s’éclater
Auditer tous les partis politiques et les organisations de la société. Sur la base des résultats des audits, sanctionner tous les récalcitrants et faire des reformes en lien avec la charte des partis politiques et les organisations de la société civile
Proposition des Jeunes Ambassadeurs de paix du Niger, pour la refondation du Niger
1. Gouvernance et Participation Citoyenne
Inclusion des jeunes dans la gouvernance locale et nationale : Création d’un cadre institutionnel favorisant la participation active des jeunes dans les processus décisionnels (quota de jeunes dans les instances locales et nationales, conseils consultatifs).
Lutte contre la corruption et la mauvaise gouvernance : Renforcement des mécanismes de transparence, de redevabilité et de contrôle citoyen avec une implication forte des jeunes.
2. Paix, Sécurité et Cohésion Sociale
Mise en place de Comités Locaux de Paix et de Dialogue pilotés par des jeunes pour prévenir et gérer les conflits communautaires.
Éducation à la paix et à la tolérance dans les écoles et universités pour lutter contre l’extrémisme violent et renforcer la cohésion nationale.
Insertion socio-économique des jeunes vulnérables à travers des programmes de réinsertion et d’accompagnement pour les jeunes exposés aux risques de radicalisation.
3. Éducation et Formation
Réforme du système éducatif pour mieux l’adapter aux besoins du marché du travail et aux défis du pays.
Renforcement des formations techniques et professionnelles pour offrir aux jeunes des opportunités concrètes d’emploi et d’auto-emploi.
Promotion du numérique et de l’entrepreneuriat chez les jeunes à travers des incubateurs et des formations adaptées.
4. Développement Économique et Emploi des Jeunes
Facilitation de l’accès au financement et aux opportunités d’affaires pour les jeunes entrepreneurs à travers des fonds d’investissement dédiés.
Appui à l’agriculture et à l’agro-industrie en développant des pôles agricoles modernes intégrant les jeunes.
Promotion du Made in Niger et du consommer local pour dynamiser l’économie et renforcer la souveraineté économique.
5. Lutte contre la Désinformation et Promotion d’un Internet Sain
Création d’une plateforme nationale de fact-checking pour lutter contre la désinformation et les discours de haine en ligne.
Éducation numérique et sensibilisation aux dangers des fake news dans les écoles et les médias.
Mise en place de campagnes de sensibilisation sur la citoyenneté numérique et la responsabilité en ligne.
6. Environnement et Développement Durable
Renforcement des politiques de lutte contre la désertification et la gestion durable des ressources naturelles avec une participation active des jeunes.
Développement des énergies renouvelables pour promouvoir un Niger plus écologique et autosuffisant en énergie.
Sensibilisation et engagement des jeunes dans des actions de reboisement et de protection de l’environnement.
7. Refondation de l’État et Renforcement de l’Unité Nationale
Organisation d’un dialogue national inclusif et permanent pour garantir l’implication de toutes les composantes de la société, y compris les jeunes, dans la refondation du Niger.
Refonte du contrat social en mettant l’accent sur la justice sociale, l’équité et la solidarité nationale.
Décentralisation renforcée et autonomisation des collectivités locales pour rapprocher l’administration des citoyens et améliorer la gouvernance territoriale.
Révision et modernisation des institutions pour les rendre plus efficaces, inclusives et adaptées aux réalités socio-économiques du pays.
Promotion des valeurs républicaines et de l’identité nationale à travers l’éducation civique, culturelle et historique dès le plus jeune âge.
Cette refondation doit être portée par une vision claire et collective pour un Niger uni, fort et prospère, où chaque citoyen, en particulier la jeunesse, joue un rôle actif dans la construction de l’avenir.
8) Limitation des postes de conseillers à la présidence et à l’Assemblée Nationale.
Dans la prochaine éventuelle assemblée nationale ou le conseil consultatif national, il faut réduire drastiquement le nombre pléthorique des conseillers qui en réalité ne servent à rien. Il faut des conseillers techniques nécessaires pour la bonne marche de ses institutions. Pour se faire, il faut distinguer les postes à caractère politique et les postes à caractère purement techniques.
Les grands axes de la politique étatique sur tous les domaines de la vie de l’Etat.
L’Etat devrait mettre tous les différents axes de la politique d’Etat en quelque sorte une loi de programmation dans tous les secteurs de la vie de l’Etat dans domaines suivants:
Le domaine éducatif
Le domaine économique
Le domaine agricole
Le domaine de l’élevage
Le domaine de l’économie
Le domaine du développement rural
Le domaine de la recherché et bien d’autres
Ici il s’agit d’écrire les grandes lignes qu’aucun régime ne peut pas modifier dans le sens négatif. C’est-à-dire le régime ne peut aller en dessous des lignes traces mais il peut aller au-delà dans le sens positif.
9) Asseoir une vraie séparation de pouvoir.
La séparation du pouvoir doit se voir dans une interdépendance des pouvoirs qui dirigent l’Etat. Il faut juste garantir l’autonomie et une interdépendance harmonieuse entre les différents pouvoirs que constituent l’Etat.
10) Prendre toutes les dispositions nécessaires pour prévenir et punir toute velléité de nature à mettre à mal l’unité nationale et la cohésion sociale d’où quelle vienne. Pour ainsi préserver le caractère unitaire, républicain et laïc de l’Etat du Niger ou chaque citoyen se sentira considérer au même pied d’égalité que ses autres concitoyens indépendamment de son appartenance religieuse, ethnique ou sa classe sociale.
11) Bien entendu assurer la sécurité des populations qui est une priorité primordiale.
12) Mise en place d’une structure judiciaire pour juger les suspects des malversations économiques, financières et abus de pouvoirs.
13) Renforcer les capacités de mobilisations des ressources internes avec la diaspora qui doit aussi payer l’impôt.
14) Bannir les fonds politiques colossaux aux présidents des institutions.
Il faut juste prévoir un fond minimum de fond politique pour les présidents d’institutions pour les mettre à l’abri de corruption et autres chantage liés aux biens matériels.
15) La dissolution des partis politiques existants au Niger et suspendre la formation des nouveaux partis jusqu’à nouvel ordre. Ceci permettra de stabiliser le pays et de réconcilier les citoyens
• Sur le plan institutionnel et politique: adopté un système bicaméral avec une chambre de l’assemblée nationale dirigée par les politiciens et une chambre constituée des chefs traditionnels qui élisent le président de la République parmi les députes à eux seuls sans l’intervention des députes et qui mettent fin à son mandate suite à une haute trahison. Le mandate présidentiel à un seul mandat de cinq (5 ans). La chambre constituée des chefs traditionnels, aucun d’eux ne peut être élu président de la République ou accédé à un post de nomination ( ministre, DG, gouverneurs ou autres…)
• Pour le cas de la cour constitutionnelle et et la CENI, chacune d’elle devrait avoir avoir des agents périodique qui seront présents dans chaque bureau de vote et de la même façon les deux chacun établi les résultats des élections et s’il y’a un écart entre les deux, il faut trouver et corriger la faille avant la proclamation officielle des résultats. Les députés et les conseillers municipaux seront directement déclarés élus sans passer les listes fournies par les bureau des partis politiques. Ceci pour éviter l’emprise des partis politiques sur les élus du people.
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Adamou M. Sabiou
Je salue tout le monde. Je remercie le président du CNSP.
Ma contribution est axée sur trois points importants :
1) le premier point concerne les ingénieurs pétroliers du Niger dont je fais parti et qui ont été sciemment ignoré sous le régime de la 7 ème république. En effet, en 2008 sous la vision du président feu Mamadou Tandja a été créé la filière Mines et pétrole à la faculté des sciences de l’UAM dirigé par le Doyen de la faculté Djibo Garba à l’époque. L’objectif de Tandja était une insertion professionnelle direct et programmée dès la fin de formation. Mais malheureusement il n’avait pas eu le temps nécessaire réaliser cela. Depuis l’avènement du régime Tarayya cette filière a été oublié de même que les produits issus qui sont des détenteurs de licence et d’ingéniorat. La première promotion a fini le cycle ingénieur en 2015 en côte d’ivoire mais ils n’ont jamais eu la reconnaissance de l’état comme étant des cadres formés avec l’argent du contribuable et qu’ils doivent servir la cause. Puis la 2e, 3e, 4e, … promotions d’ingénieurs sont sorties de la côte d’ivoire, du Mali et même de la Chine pour subir le même sort, la plupart se sont retrouvés dans le contrat d’enseignement malgré compétences Pétrolière. D’autres ont entrepris des projets innovants. Nous attendons alors l’aide du gouvernement dans ce contexte de labu sanni, zanche kassa ne. Notamment le ministre du pétrole Dr Sahabi de prendre en considération les ingénieurs oubliés du pétrole formés à l’UAM de Niamey puis dans d’autres universités. C’est très bien d’avoir une école du pétrole mais il faut consolider ce qui existe déjà. Monsieur le ministre du pétrole Je vous demande solennellement de nous recruter à la sonidep.
2) le 2eme point est relatif à la société pétrolière Wanda group qui a recruté les opérateurs et techniciens du pipeline Niger Bénin. En ce qui concerne la grille salariale souhaité par les autorités du Niger notamment « travail égal » « salaire égal » entre nigériens et expatriés chinois Wanda group refuse de s’y conformer soit disant que ça lui concerne pas. Et pourtant il y a des chinois et pakistanais qui font le même travail sur le terrain pour la CPP dont leur salaire de base dépasse largement le salaire des nigériens. Pourquoi Wanda group s’oppose à cette idée ?
3) le 3e point concerne les mairies et la caisse nationale de sécurité sociale CNSS. Nous les usagers de ces institutions en souffrent beaucoup. Nous attendons des réformes sociales adaptées, transparentes, inclusive et facile. Concernant la CNSS nous avons un grand nombre de travailleurs du privé qui n’ont même pas connaissance de la caisse et ne sont pas déclarés pourtant ces sociétés prélèvent la taxe. Même les manœuvres qui balayent les routes ne sont pas épargné. Ensuite la lenteur dans du circuit administratif pour la caisse. De même il faut revoir la fourniture de la connexion internet car il toujours un problème de connexion au niveau des guichets de la caisse, les femmes attendent pendant plusieurs heures. Depuis des années le même problème de connexion internet continue.
La lenteur administrative concerne aussi la mairie où vous pouvez attendre 7 à 12 mois afin d’obtenir l’acte de naissance de votre enfant. De même il faut revoir la fourniture de la connexion internet car il toujours un problème.
À l’attention des Présidents des Sous-Commissions des Assises Nationales: Niger-Niamey, du 15 au 28 / 02 / 2025
Objet : Mise en garde contre les dérives institutionnelles et la captation des Assises Nationales par une fraction de la société civile
Messieurs les Présidents,
Les Assises Nationales, conçues comme un cadre de refondation institutionnelle et de dialogue inclusif, sont en train de devenir l’instrument d’une confiscation politique orchestrée par une frange de la société civile en quête de positionnement institutionnel. Ce constat amer, que de nombreux observateurs partagent, s’écarte radicalement des principes fondateurs de ces assises et menace dangereusement leur crédibilité ainsi que la légitimité des conclusions qui en seront issues.
Le Président de la Transition a pourtant été sans équivoque : les contributions des différents acteurs doivent servir l’intérêt général et non devenir un tremplin pour des ambitions personnelles ou partisanes. Or, il apparaît que sous couvert d’un activisme réformateur, certains ont sciemment écarté les fonctionnaires, les cadres administratifs et les représentants politiques des débats stratégiques, instaurant ainsi un monopole décisionnel qui n’a aucune assise légale et encore moins démocratique.
Un détournement contraire aux principes de gouvernance démocratique et révolutionnaire.
D’un point de vue strictement juridique, la société civile repose sur des principes fondamentaux définis par le droit national et international. La position internationale du Niger, surtout sous l’AES, garantit une participation équilibrée et inclusive aux débats publics, tandis que les engagements internationaux du Niger, notamment la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, imposent la séparation des rôles entre société civile et instances de décision étatique. En cherchant à exclure les acteurs étatiques et politiques légitimes du processus décisionnel, les assises s’orientent vers une dérive oligarchique qui viole ces principes.
En outre, le principe de continuité du service public impose que les politiques publiques soient conçues et mises en œuvre par des institutions légalement établies, et non par des acteurs sans mandat électif ou administratif. Il est inadmissible que des structures associatives, dont la légitimité repose uniquement sur leur capacité d’influence et non sur un mandat démocratique, prétendent s’arroger la direction des réformes étatiques.
Une responsabilité historique des sous-commissions.
Messieurs les Présidents, votre responsabilité dans ce processus est immense. Vous êtes les gardiens de l’équilibre des assises et, à ce titre, vous ne pouvez cautionner une orientation qui bafoue les principes de représentativité et d’inclusivité. En laissant prospérer cette captation institutionnelle, vous exposez non seulement la transition à une crise de légitimité, mais vous hypothéquer également l’avenir du pays en validant une approche biaisée et conflictuelle du débat national.
C’est pourquoi je vous appelle, en vertu des prérogatives que vous détenez, à :
1. Rétablir une gouvernance équilibrée et inclusive au sein des assises, en garantissant la participation effective des fonctionnaires, des cadres administratifs et des représentants politiques aux discussions stratégiques.
2. Éviter toute instrumentalisation des assises par des acteurs cherchant à se positionner dans les futures institutions, conformément aux directives initiales du Président de la Transition.
3. Veiller à ce que les recommandations issues des assises respectent les cadres légaux et institutionnels du Niger, en évitant toute dérive pouvant aboutir à une remise en cause des principes fondamentaux de l’État de droit.
Les assises doivent être un moment de concertation nationale et non un simulacre de refondation orchestré par une minorité au mépris des principes démocratiques. L’histoire retiendra que votre rôle dans cette transition a été soit celui de garants de l’équité républicaine, soit celui de complices d’un détournement institutionnel.
Dans l’espoir que vous prendrez toute la mesure de cette mise en garde, je vous prie d’agréer, Messieurs les Présidents, l’expression de ma considération distinguée. Mani Amadou Maman Bachir. Juriste Privatiste, Cyberjuriste.
Chers Concitoyens,
A l’aube de la Refondation, permettez-moi de partager mes aspirations pour un nouveau Nigérien. Ce qui nous a toujours caractérisé, malgré notre appauvrissement (voulu et entretenu), c’est notre solidarité, le maintien de notre vivre ensemble.
Certes par le passé, certains parmi nous ont été utilisés par les forces impérialistes non pas pour les aider comme ces dernières ont voulu nous faire comprendre, mais plutôt pour nous diviser et facilement atteindre leur objectif d’accaparement de nos richesses.
Pensant toujours surfer sur le même terrain, le même état d’esprit, ces forces de la division ont voulu utiliser les mêmes méthodes pour nous faire chanter, nous faire courber l’échine mais n’y sont pas parvenues. C’était l’heure du LAABOU SANNI NO, ZANCEN KASA NE, HAALA LEYDI NOON, BETOUN NAKAL.
En effet, les Nigériens se sont soulevés comme un seul homme pour dire non et Stop à l’insécurité, à la stigmatisation de certaines communautés, à la Balkanisation imminente de notre cher pays, au néocolonialisme, à l’Impérialisme malgré toutes les tentatives de briser cet élan qui, d’ailleurs continuent toujours. Aujourd’hui, maintenant et pour toujours, nous voulons notre indépendance véritable et clamons ardemment notre Souveraineté.
Pour ce faire, et afin de former une nation véritable, rien de mieux que de renforcer et préserver les liens séculaires, cet acquis, ce bien propre et cher à nous tous qui nous unissent.
En effet, je suggère l’introduction dans notre système éducatif, notamment dès l’école primaire de l’importance de la famille, des liens de parenté, de la parenté à plaisanterie, bref notre identité culturelle. Nous devons expliquer à nos enfants les liens qui existent entre nos différents peuples. Par exemple, pourquoi le Peulh et le Béribéri se taquinent? Pourquoi le Zarma-Songhai et le Bogobiri sont cousins et se taquinent ? Le Touareg et le Gourmantché ? Le peulhs et le Maouri ? Le Zarma-Songhai et le Touareg ? Etc… Aussi, devons faire connaitre l’histoire et la signification des signes de reconnaissances ethniques « scarifications » de notre population. Moi qui suis là, je ne puis expliquer à mes enfants tous ces aspects de notre identité et pourtant…
medibiss