Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
💬 Exprimez-vous en commentaire et contribuez à ce grand chantier national !
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Bien sûr, voici une argumentation pour convaincre les participants aux assises nationales au Niger, en soulignant l’importance de la suppression des frontières artificielles héritées du colonialisme et l’idée d’un espace comme l’AES (Espace de l’Afrique de l’Ouest) pour redonner une cohésion à nos sociétés :
Argumentation pour la suppression des frontières artificielles et la création d’un espace commun comme l’AES :
Mesdames et messieurs, honorables participants,
Nous vivons dans une ère où les sociétés africaines, en particulier celles du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest, sont marquées par les divisions héritées des périodes coloniales. Les frontières tracées sans considération des réalités sociales, culturelles, ethniques et géographiques ont fragmenté des communautés autrefois unies. Aujourd’hui, ces frontières artificielles continuent de poser des défis majeurs à nos efforts d’intégration, de développement et de coopération.
1. L’impact néfaste des frontières coloniales :
Les frontières coloniales ont non seulement séparé des peuples partageant des langues, des traditions et des modes de vie similaires, mais elles ont aussi créé des obstacles à la circulation des personnes, des idées et des ressources. En conséquence, nous assistons à des divisions qui limitent notre potentiel commun et exacerbent les tensions entre différentes communautés. Les guerres, les conflits et les crises humanitaires qui en résultent sont autant de manifestations de ces divisions artificielles.
2. La nécessité d’un retour aux réalités pré-coloniales :
Nous devons nous rappeler que, avant la colonisation, nos peuples vivaient souvent dans des territoires partagés où les frontières n’étaient pas aussi rigides qu’elles le sont aujourd’hui. Nos ancêtres avaient des formes d’organisation politique, économique et sociale qui favorisaient la coopération et l’échange. Nous devons nous inspirer de ces modèles pour refonder un espace où les liens historiques, culturels et économiques peuvent de nouveau prospérer, non pas en raison des décisions imposées de l’extérieur, mais en fonction de nos propres réalités et besoins.
3. L’exemple de l’AES :
L’Espace AES, qui préconise une intégration et une coopération renforcées entre les pays et les peuples de l’Afrique de l’Ouest, représente un modèle de ce que pourrait être un espace commun. L’AES a le potentiel de réunir les pays de la région autour de valeurs partagées, d’une gestion collective des ressources, et d’une sécurité commune. Il offre une alternative positive aux frontières artificielles, en se basant sur des bases solides de coopération régionale et de solidarité. Il permettrait de renforcer les liens entre les cantons et les communautés, tout en préservant l’identité et la souveraineté de chacun.
4. La vision d’une Afrique unie et solidaire :
La suppression des frontières coloniales et la création d’espaces communs comme l’AES s’inscrit dans une vision de l’Afrique unie et solidaire, capable de se défendre contre les menaces extérieures, de favoriser un développement économique durable et inclusif, et de garantir la paix et la stabilité pour les générations futures. C’est un appel à l’autodétermination, à la responsabilité partagée et à la reconnaissance de notre histoire collective, afin que nous puissions prendre en main notre destin.
Conclusion :
Nous avons l’opportunité de redéfinir les contours de notre espace commun, de rétablir les liens solides qui nous unissent au-delà des frontières imposées. En nous appuyant sur des exemples de coopération réussie, comme celui de l’AES, nous pouvons construire un avenir commun, en harmonie avec nos traditions et réalités précoloniales. Ensemble, nous pouvons effacer les cicatrices laissées par les divisions passées et créer un avenir fondé sur la solidarité, la coopération et le respect de nos peuples.
Je vous invite à soutenir cette vision lors de ces assises, afin de poser les bases d’une Afrique plus unie, plus forte, et plus résiliente face aux défis du présent et de l’avenir.
Recommandation :
Nou proposons que toutes les institutions existantes, y compris l’armée, les syndicats, les organisations de la société civile (OSC),les partis politiques,les chefferies, et autres structures de gouvernance actuelles, soient dissoutes dans le cadre de la refondation nationale du Niger. Cette démarche vise à repartir à zéro, sur des bases nouvelles et solides, en prenant en compte les aspirations réelles de la population, afin de bâtir un système plus démocratique, inclusif, transparent et capable de relever les défis actuels et futurs du pays.
Arguments en faveur de la dissolution des institutions existantes :
1.L’héritage colonial et l’inefficacité des institutions actuelles :
Les institutions en place au Niger, héritées de la colonisation et parfois adaptées de manière imparfaite après l’indépendance, ne répondent plus aux besoins et aux attentes de la population. Elles sont souvent perçues comme corrompues, inefficaces, ou déconnectées des réalités locales. En les dissolvant, nous offrons l’opportunité de reconstruire sur des bases solides et adaptées aux réalités du pays.
2. Reconstruction d’un système politique véritablement démocratique :
En dissoutant les structures actuelles, nous créons une opportunité de redéfinir un système politique fondé sur la transparence, l’équité et la représentativité. Un tel système permettra une meilleure gestion des ressources publiques et une plus grande responsabilité des acteurs politiques vis-à-vis des citoyens.
3. Favoriser l’inclusivité et la participation citoyenne :
Une refondation des institutions permettra d’intégrer pleinement tous les acteurs de la société (syndicats, OSC, chefferies, communautés locales) dans le processus de gouvernance. Cela garantira une représentation réelle de toutes les catégories sociales et une prise en compte des besoins spécifiques de chaque groupe dans la construction du pays.
4. Réparer les fractures sociales et renforcer la cohésion nationale :
La dissolution des institutions existantes et leur remplacement par un système plus juste permettrait de réparer les fractures sociales héritées du passé. Cela favorisera la réconciliation entre les différentes communautés et garantira une stabilité politique et sociale durable, en instaurant un climat de confiance entre les citoyens et l’État.
5. Assurer la stabilité et la pérennité des réformes :
La refondation des institutions permet de créer un cadre de gouvernance plus stable et capable de résister aux défis de l’avenir, qu’ils soient économiques, sécuritaires ou sociaux. En démarrant sur de nouvelles bases, les réformes entreprises seront plus solides et mieux adaptées à un contexte national en constante évolution.
6. Une meilleure gestion de la sécurité et de la justice sociale :
La refondation des institutions permettra de repenser la gestion des problèmes sécuritaires et sociaux du pays, en adoptant des stratégies plus efficaces et plus inclusives. Cela permettra également de renforcer l’Etat de droit et d’assurer une meilleure protection des droits fondamentaux pour tous les citoyens.
En conclusion, dissoudre les institutions actuelles et repartir de zéro est une démarche audacieuse mais nécessaire pour instaurer un nouveau modèle de gouvernance au Niger. Ce processus de refondation donnera au peuple la possibilité de reprendre en main son destin et de bâtir un avenir prospère, juste et pacifique.
Communication et gestion de l’adhésion populaire : Le changement radical proposé pourrait susciter des inquiétudes parmi certaines parties de la population, notamment ceux qui bénéficient du système actuel. Une stratégie de communication claire et inclusive serait essentielle pour expliquer les bénéfices à long terme de cette refondation, tout en écoutant et en prenant en compte les préoccupations du peuple.
En conclusion, cette proposition de refondation nationale pourrait constituer une opportunité historique de réinventer le système de gouvernance du Niger. Bien que ce soit un processus ambitieux et complexe, ses avantages à long terme pourraient mener à une nation plus stable, inclusive et démocratique.
Vous avez dit :
Rédiger le texte au futur e non a l’imparfait
ChatGPT a dit :
Voici une version révisée de votre texte, rédigée au futur :
R
Arguments en faveur de la dissolution des institutions existantes :
L’héritage colonial et l’inefficacité des institutions actuelles :
Les institutions en place au Niger, héritées de la colonisation et parfois adaptées de manière imparfaite après l’indépendance, ne répondront plus aux besoins et aux attentes de la population. Elles seront souvent perçues comme corrompues, inefficaces, ou déconnectées des réalités locales. En les dissolvant, nous offrirons l’opportunité de reconstruire un système politique sur des bases solides et adaptées aux réalités du pays.
Reconstruction d’un système politique véritablement démocratique :
En dissolvant les structures actuelles, nous créerons une opportunité de redéfinir un système politique fondé sur la transparence, l’équité et la représentativité. Ce système permettra une gestion plus efficace des ressources publiques et une plus grande responsabilité des acteurs politiques vis-à-vis des citoyens.
Favoriser l’inclusivité et la participation citoyenne :
Une refondation des institutions permettra d’intégrer pleinement tous les acteurs de la société (syndicats, OSC, chefferies, communautés locales) dans le processus de gouvernance. Cela garantira une représentation réelle de toutes les catégories sociales et une prise en compte des besoins spécifiques de chaque groupe dans la construction du pays.
Réparer les fractures sociales et renforcer la cohésion nationale :
La dissolution des institutions existantes et leur remplacement par un système plus juste réparera les fractures sociales héritées du passé. Cela favorisera la réconciliation entre les différentes communautés et garantira une stabilité politique et sociale durable, en instaurant un climat de confiance entre les citoyens et l’État.
Assurer la stabilité et la pérennité des réformes :
La refondation des institutions permettra de créer un cadre de gouvernance plus stable et capable de résister aux défis de l’avenir, qu’ils soient économiques, sécuritaires ou sociaux. En démarrant sur de nouvelles bases, les réformes entreprises seront plus solides et mieux adaptées à un contexte national en constante évolution.
Une meilleure gestion de la sécurité et de la justice sociale :
La refondation des institutions permettra de repenser la gestion des problèmes sécuritaires et sociaux du pays, en adoptant des stratégies plus efficaces et plus inclusives. Cela permettra également de renforcer l’État de droit et d’assurer une meilleure protection des droits fondamentaux pour tous les citoyens.
Nous proposerons également que les membres des assises nationales soient érigés en membres du Comité National de la Refondation.
Conclusion :
Dissoudre les institutions actuelles et repartir de zéro sera une démarche audacieuse mais nécessaire pour instaurer un nouveau modèle de gouvernance au Niger. Ce processus de refondation offrira au peuple la possibilité de reprendre en main son destin et de bâtir un avenir prospère, juste et pacifique
La première des choses à faire est d’arrêter la propagande du chirk qui est actuellement en cours dans notre pays. Nous n’avions jamais vu un tel déluge de manque de respect à l’égard de l’unicité d’Allah comme nous le voyons ces derniers temps. Les mouchrik (boka et autres animistes) ont toujours effectué leur méfait en cachette, ils ont toujours su leur place et ils ne sont jamais sorti faire une telle propagande avant ces jours. Comment peut on expliquer qu’ils soient relayés jusque sur la chaine nationale qui représente le portail de notre pays ? Comment le Niger, ce pays musulman, peut il accepter la reconnaissance d’une telle association jusqu’à en porter la présidence ? Comment le Président et tout le CNSP peuvent-il les recevoir dans un salon avec tapis rouge alors qu’il n’y a jamais eu un tel honneur pour nos savants musulmans qui pourtant s’évertuent de garder ce pays dans la piété, la paix et qui sont les héritiers des messagers ? Et cela même si vous vous accrochez à la laïcité pour expliquer un comportement aussi injuste et odieux ! Pensez vous que ceci sera une justification auprès d’Allah le jour où il n’y aura plus d’ombre que Celle de Son Arche ? Le retour à nos cultures et notre histoire ne rimes pas avec le retour à l’ignorance alors que l’islam nous a illuminé. Nous pouvons prendre ce qui était un bien, ce qui faisait notre force et notre dignité et laissé ce qui entrainera à jamais notre perdition et celles de nos descendants en ce bas monde et en l’au-delà. N’oubliez pas surtout que cette ère n’a été possible qu’avec Allah azawajal et que nous continuons de vivre en paix et sérénité que par nos invocations et nos supplications, tant que nous associerons quelque chose à Allah, alors Il nous abandonnera dans les mains de ce à quoi nous L’avions associé. Remettons-nous en marche vers une vraie refondation, pas du folklore ni de l’a peu près, un Etat islamique sera probablement la solution qui sied le plus mais avant cela mettons déjà les jalons pour que nos cœurs soient en phase avec nos gestes par la préservation du tawhid.
Cette réforme commence par la préservation de l’unicité d’Allah (At-tawhid) comme l’ont fait tous les prophètes qui sont les plus grands réformateurs dans l’histoire de l’humanité.
L’homme ayant un penchant naturel au « moufsid » (desordre, excès) comme le témoigne le verset 30 de Souratoul Baqara « Lorsque Ton Seigneur confia aux Anges: “Je vais établir sur la terre un vicaire (Khalîfah). Ils dirent: “Vas-Tu y désigner un qui y mettra le désordre et répandra le sang, quand nous sommes là à Te sanctifier et à Te glorifier?” – Il dit: “En vérité, Je sais ce que vous ne savez pas!” ».
Les prophètes ont donc été envoyé après que le mal se soit répandu sur terre pour reformer celle-ci, en être des vicaires, des réformateurs. En définitive, ils ont été envoyés pour ramener le bien et la réforme dans les sociétés. Et qu’a été leur premier objet du rappel à la réforme ? ce fut toujours le tawhid comme le témoigne les versets suivants :
« Nous envoyâmes Noé vers son peuple. Il dit : « ô mon peuple, adorez Allah. Vous n’avez pas d’autre divinité en dehors de Lui. Ne [Le] craignez-vous pas ? » (Coran : 23/23)
« Et aux Aad, leur frère Hud : « ô mon peuple, dit-il, adorez Allah. Pour vous, pas d’autre divinité que Lui. Ne [Le] craignez-vous donc pas ? » (Coran : 7/65)
« Et aux Thamud, leur frère Salih : « ô mon peuple, dit-il, adorez Allah. Pour vous, pas d’autre divinité que Lui. » (Coran : 7/73)
C’est donc le mot récurrent qui a été répété par Chouaib, Moise, Jésus (Alaihoum Assalam) jusqu’à devenir une règle générale décrétée par Allah Lui-même, exalté soit-Il (sens des versets) : « Et Nous n’avons envoyé avant toi aucun Messager à qui Nous n’ayons révélé : « Point de divinité en dehors de Moi. Adorez-Moi donc ». » (Coran : 21/25) « Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, [pour leur dire] : « Adorez Allah et écartez-vous du Tagut ». » (Coran : 16/36)
C’est pour cela que toute réforme tant qu’elle est pour les musulmans ne peut débuter que par le tawhid, c’est le droit fondamental d’Allah. C’est ce qui assainit d’abord les cœurs et toute la société avant d’appeler à tout bien. Tout est vain sans cette première base et c’est pourquoi le premier signe ou caractéristique d’un vrai réformateur est l’appel au tawhid, pas même à la réforme de la santé ou l’agriculture car tout ceci ne peut venir ou être durable sans une croyance parfaite qui passe par la connaissance du Créateur de l’Univers, de même qu’une relation saine avec Lui : Sans rien Lui associer ! Un autre exemple pour montrer l’importance d’assoir le tawhid avant tout acte, est le fait que le prophète Mouhammad sallallahu aleyhi wa salam ait prêché le tawhid avant d’initier toute autre réforme pendant les dix (10) premières années de sa prophétie.
Ensuite, il faut savoir que la chose qui corrompt l’unicité et la rend caduque est le fait d’associer à Allah dans les adorations. L’associannisme (ach-chirk) est la plus énorme chose qu’Allah a interdite parmi les désobéissances et les péchés, ainsi que c’est le plus grand des péchés majeurs et des maux. C’est pourquoi Allâh عز وجل a informé, concernant l’association [en disant] que c’est un péché qu’Il ne pardonne pas et qu’il n’existe pas de plus égaré que celui qui la commet. « Allah ne pardonne pas qu’on Lui donne un associé et Il pardonne, pour une chose moindre, à qui Il veut. Et quiconque donne à Allah un associé commet un péché énorme » [An-Nisâ’ : 48].
Le maintien donc de ce tawhid nécessite obligatoirement l’éloignement du chirk dans toute sa forme (amulettes, statuettes, visite des charlatans, placer sa confiance en autre qu’Allah pour la recherche de pouvoir, de richesses et toute autre chose qui n’est accordée que par Allah) auquel cas toutes œuvres serait vaine et annulée. « Telle est la direction par laquelle Allah guide qui Il veut parmi Ses serviteurs. Mais s’ils Lui avaient donné des associés, alors toutes leurs œuvres auraient certainement été vaines » [Al-An`âm : 88]. Et Il a dit عز وجل au sceau des messagers Mouhammad صلى الله عليه وسلم (selon une traduction rapprochée du sens) : « En effet, il t’a été révélé, ainsi qu’à ceux qui t’ont précédé : « Si tu donnes des associés à Allah, ton œuvre sera certes vaine, et tu seras très certainement du nombre des perdants. Tout au contraire, adore Allah Seul et sois parmi les reconnaissants. » [Az-Zoumar : 65-66].
En définitif, le chirk est cet acte qu’Allah ne pardonne pas et qui précipite directement en enfer pour l’éternité tant que le repentir ne suit pas. Et s’il y a un acte qui détruit une communauté c’est bien le chirk peu importe la piété de ses dirigeants ou de sa population tant qu’ils le laisseront faire en tant que garants et leaders – qu’Allah les préserve et les guide. « Chacun d’entre vous est un berger et chacun d’entre vous sera interrogé concernant son troupeau. Le dirigeant est un berger, l’homme est un berger pour les gens de sa maison, la femme est une bergère pour la maison de son époux et pour ses enfants. Ainsi chacun d’entre vous est un berger et chacun d’entre vous sera interrogé concernant son troupeau ». (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°5200 et par Mouslim dans son Sahih n°1829)
C’est pour cela que quelque soient la quantité et la qualité des prières, supplications ou Qunut qui sont ou seront adressées en faveur de notre pays, des actes telles que les sorties médiatiques des charlatans pour faire l’immolation en faveur des djinns au sein même des casernes militaires ou pour soutenir l’effort de l’Etat (et que l’Etat, premier responsable laisse faire) ou encore la promotion du chirk pur et clair pendant le sabre national sont autant d’actes qui remettent en cause tous les efforts des musulmans. S’en écarter est siné quanone pour aboutir à nos objectifs de renaissance, d’indépendance et de refondation.
Il est temps de mettre en place des plans stratégiques d’enseignement et de communication pour assoir ce premier pilier de la foi et de la réforme et bannir toute forme de chirk. Il n’est pas nécessaire d’être celui qui voit les fruits mais d’en être le fondateur et quelle belle aumône impérissable et infinie ! Mouhammad Ibn Abdoul Wahab et Mouhammad Ibn Saoud – qu’Allah leur fasse miséricorde, ont bien été ces piliers pour la revivication de l’Arabie Saoudite ! Comme l’a dit Cheick Fawzan, nous ne craignons rien pour l’islam, elle atteindra la victoire comme Allah l’a promis mais la crainte est pour les musulmans. Gagneront-ils une place au paradis à travers cette voie ? Seront-ils les canaux par lesquels cette victoire arrivera comme l’ont fait les premiers musulmans sahaba et les pieux prédécesseurs qui les ont suivi – qu’Allah soit satisfaits d’eux/qu’Allah leur fasse miséricorde- à l’exemple de Mus’ab Ibn Umair, Hamza Ibn Al Muttalib, Sa’ad Ib Muaz, Soummayya, Ahmad Ibn Hambal, Ibn Taimiyyah, Imam Boukhari, Imam Albani etc.
Accepteriez-vous d’être ce canal par lequel le tawhid se répandra au Niger et que la refondation y prendra vie ?
Salaam. On ne doit être au pouvoir et organiser des élections auxquelles on est candidat. Si l’exécutif est candidat à une réélection, il doit démissionner 6 mois avant les échéances et l’intérim sera assuré selon l’ordre établi. L’intérimaire ne pourra pas être nommé par le futur président à la tête de l’un des deux autres pouvoirs ni à la primature.
Une proposition : dans le domaine de l’enseignement, ayez une pensée positive ,une solution adéquate pour ces chers frères et sœurs enseignants contractuels qui se battent jours et nuits pour exercer un metier pour le respect de leurs dignité et pour l’éducation de la relève de la nation,
On souhaite à ce qu’on recrute les enseignants contractuels à la fonction publique même si c’est sans rappel .
Il y’ a des enseignants contractuels qui sont déjà frappés par la limite d’âge à l’engagement de la fonction publique .
Si possible de bannir le système de contrat
La refondation politique et institutionnelle n’est possible que grâce à l’indépendance de la justice.
Il faut surtout bannir le système d’alliance qui n’est rien d’autre qu’un complot contre les citoyens. D’ailleurs je pense que tout candidat aux élections législatives doit être indépendant de tout parti politique pour être redevable uniquement à son électorat et non pas à un parti politique qui lui dicte ses choix à l’assemblée.
Dans le cadre de la refondation, nous avons accueilli avec joie la suppression des paris politiques .
En ce qui nous concerne, nous recommandons, pour accompagner cette décision salutaire, la disqualification pure et simple de tous ces leaders politiques qui n’étaient rien d’autre que des bourreaux pour le peuple nigérien au lieu des leaders patriotes
Bonjour. Je propose que la devise du Niger soit modifiée pour être remplacée par Zancen Kassa ou Laabu Sannu ou Haaland Leydi Nonn. Car, de mon point de vue cela sous-entend la Fraternité, le Travail et le Progrès.
Zancen Kassa ne✊✊✊