
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
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2250 Commentaires
A ra’ayi Na bayan an qayyade jam’iyun siyasa guda 2 ko 3 to a saka wata tawaga ta malaman addinin musulinci a matsayin Yan majalissa wato diftotci Wanda Sune za su yanke ko suwa wanene shuwagabannin jam’iyyun guda 3 kafin aje lokacina zabe soboda malamai zasu duba Wanda ya dace ne ba Wanda yake da kudi ba kuma baza su karbi cin hanci ba.
Sannan daga karshe a sanar da talakawa cewa Wayannan malaman Sune wayanda ake jiran abinda zai fitowa daga garesu Na cewa wanene ya dace ya Zama shugaba sannan sai ayi zabe cikin shuwagabannin 3 ko 2 da malamai suka tantance kuma ya zama babu Wanda ya isa Ya canza wannan ka’idar har abada kuma duk shugaban da yazo bai isa Ya canza ba in kuma yayi kokarin canzawa to malamai da almajirai za su Shiga masallaci
A ra’ayi Na bayan an qayyade jam’iyun siyasa guda 2 ko 3 to a saka wata tawaga ta malaman addinin musulinci a matsayin Yan majalissa wato diftotci Wanda Sune za su yanke ko suwa wanene shuwagabannin jam’iyyun guda 3 kafin aje lokacina zabe soboda malamai zasu duba Wanda ya dace ne ba Wanda yake da kudi ba kuma baza su karbi cin hanci ba.
Sannan daga karshe a sanar da talakawa cewa Wayannan malaman Sune wayanda ake jiran abinda zai fitowa daga garesu Na cewa wanene ya dace ya Zama shugaba sannan sai ayi zabe cikin shuwagabannin 3 ko 2 da malamai suka tantance kuma ya zama babu Wanda ya isa Ya canza wannan ka’idar har abada kuma duk shugaban da yazo bai isa Ya canza ba in kuma yayi kokarin canzawa to malamai da almajirai za su Shiga masallaci
Objet : Demande de Réexamen d’une Injustice et de Réintégration d’un Fonctionnaire Victime d’Exclusion Arbitraire
À l’attention des Présidents des Assises Nationales pour la Refondation,
Messieurs les Présidents,
C’est avec un profond respect pour vos engagements indéfectibles, votre sens aigu de la justice, et votre détermination à éradiquer les injustices qui ont longtemps entravé la république que je m’adresse à vous aujourd’hui. Vos personnalités, reconnues pour leur intégrité sans faille et leur quête incessante de révolutionner l’ordre administratif du Niger, sont garantes de la remise en question des abus du passé et du rétablissement des droits fondamentaux de nos concitoyens.
C’est dans ce contexte, qui marque un tournant décisif dans l’histoire de notre nation, que je sollicite votre attention pour un cas particulièrement douloureux et emblématique de l’injustice persistante dont souffrent encore certains de nos fonctionnaires.
Le cas d’un fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères, injustement exclu de la fonction publique pour avoir exercé son droit légitime de faire entendre la voix des travailleurs à travers son engagement syndical, mérite toute l’attention de vos institutions. Un homme qui, durant plusieurs années, a vécu dans la souffrance, dénué de ses droits fondamentaux et privé des moyens nécessaires pour subvenir aux besoins de sa famille.
Je fais appel à votre sens de l’équité, à votre révolutionnaire engagement pour la refondation de notre système administratif pour que cet homme, victime d’une injustice flagrante, soit rétabli dans ses droits.
Messieurs les Présidents,
Je n’ai pas les contacts de tous les Présidents mais celui du Président Camarade Nouhou Mahamadou Arzika et de Mon Professeur Monsieur Dagra Mamadou. Je me permets par leur canal, de saisir tous les Présidents. Et, comme je vous le signale si haut, c’est avec une grande considération pour l’intégrité et la rigueur exemplaire qui vous caractérisent, ainsi que pour votre engagement sans relâche dans la refondation profonde et juste de notre pays, que je m’adresse à vous tous aujourd’hui. Vous, qui êtes porteurs de l’espoir d’un Niger réinventé dont le cœur de la refondation repose sur la justice équitable, ne pouvez que comprendre l’importance d’une action immédiate face aux injustices du passé, qu’elles concernent la sphère administrative ou tout autre domaine.
La mission qui vous incombe de restaurer la dignité et la justice sociale dans notre pays vous place à un carrefour où chaque décision, chaque engagement, ne peut qu’être révolutionnaire et profondément transformateur. C’est pourquoi je vous sollicite, convaincu que votre sens de l’équité et votre volonté de redresser les torts seront un levier puissant pour réparer une injustice flagrante.
Je vous écris en toute humilité pour attirer votre attention sur un cas de victimisation d’un fonctionnaire, injustement exclu du Ministère des Affaires Étrangères après s’être engagé, de manière légitime, au sein de syndicat des Agents diplomatiques et Consulaires. Un cas qui, bien que je ne connaisse ni de près ni de loin ce fonctionnaire, m’a été rapporté à de nombreuses reprises par des personnes de bonne foi, profondément affectées par cette injustice persistante.
Il s’agit de Monsieur ALI ISSOUFOU, dont l’histoire a marqué, et continue de marquer, la vie de nombreux compatriotes. Ce fonctionnaire a été éloigné de la fonction publique pendant des longues années, malgré ses charges familiales et des raisons administratives et juridiques qui plaident en sa faveur. Ce dénouement tragique, qui va à l’encontre des principes fondamentaux de justice et d’équité, doit être réévalué dans le cadre des Assises Nationales pour la Refondation.
Je vous implore donc de bien vouloir étudier ce cas avec toute la vigilance et la rigueur qui vous caractérisent, pour permettre à Monsieur ALI ISSOUFOU de retrouver son honneur, ses droits et sa place au sein de la fonction publique, au service de notre nation.
MANI AMADOU MAMAN BACHIR, Juriste Privatiste, Cyberjuriste.
Considérant la situation financière du pays,
Considérant le coup des denrées alimentaires,
Considérant que un plus grand nombre du peuple vivent en dessous du seuil
Nous recommandons de créer toutes les mesures possibles pour que les commerçants vendent les produits de sorte que le pauvre citoyen puisse avoir ses plats quotidiens
Bonsoir ,
Je propose tout simplement la suppression des fonds destinés à la caisses noire que sa soit de la présidence,de l’assemblée ect …,il est inadmissible de donner un feu absolue a n’importe quel Niger de prendre dans l’argent de peuple une sommes aussi importante pour en faire ce qu’il veut sans aucun pouvoir de contrôle de ce qu’il fait avec l’argent du contribuable,par contre elle peut être remplacée pour des raisons de sécurité en des fonds secret qui pourront être contrôlé par la cour des comptes et l’assemblée Nationale.
L’argent du contribuable est sacré
Nous tenons à remercier tous les participants pour la réussite de cette assise nationale.
Tous mes vœux ont été pris en compte. Néanmoins j’aimerais ajouter un vœux qui me tiens à cœur et qui malheureusement n’a été évoqué il s’agit des critères pour être député national. Nous savons très bien si le pays est à terre c’est bien à cause des députés qui votent les lois non pas pour l’intérêt général mais pour l’intérêt de leur parti politique, Admettre des députés illletrés au 21 ème siècle est inadmissible. Par conséquent je suggère que la commission penche sur cette question pertinente. Je suggère pour être éligible tout candidat à la députation doit avoir un niveau étude minimum de Licence sans oublier de mener une enquête de moralité.
Vive le Niger uni et prospère.
Nous tenons à remercier tous les participants pour la réussite de cette assise nationale.
Tous mes vœux ont été pris en compte. Néanmoins j’aimerais ajouter un vœux qui me tiens à cœur et qui malheureusement n’a été évoqué il s’agit des critères pour être député national. Nous savons très bien si le pays est à terre c’est bien à cause des députés qui votent les lois non pas pour l’intérêt général mais pour l’intérêt de leur parti politique, Admettre des députés illletrés au 21 ème siècle est inadmissible. Par conséquent je suggère que la commission penche sur cette question pertinente. Je suggère pour être éligible tout candidat à la députation doit avoir un niveau étude minimum de Licence sans oublier de mener une enquête de moralité.
Vive le Niger uni et prospère.
La commission doit avant tout prendre en compte l’aspect jeunesse qui est un levier important pour notre développement en créant des cadres de l’insertion professionnelle de cette dernière et à tous les niveaux de prise et d’exécution des décisions.
Le moment est enfin arrivé pour restaurer tous les Sultanats et toutes les Chefferies Traditionnelles supprimées ou rattachées.
Au nom de la justice sociale qui place les Nigériens où qu’ils se trouvent sous la même loi et jouissant de la même considération, nous invitons humblement les membres du Bureau des Assises Nationales de prendre en compte la restauration des Sultanats et toutes les Chefferies Traditionnelles supprimées ou rattachées, injustement supprimés par les Colons Français. Un acte légitime pour la sauvegarde de notre patrimoine socioculturel, en vue de rétablir la vérité à travers des symboles auxquels notre peuple reste profondément attaché !
Cet acte, à plus d’un titre héroïque, marquera pour l’éternité l’avènement des Autorités de la transition aux commandes depuis le 26 juillet 2023. Cette décision s’inscrit dans une tendance en cours dans de nombreux pays d’Afrique, où les dirigeants épris de paix et de justice tiennent à ce que les citoyens n’oublient point les faits marquants de leur histoire. Pour illustrer notre propos, nous rappelons qu’en Ouganda, le Président Yoweri Museveni avait pris la sage décision de restaurer un ancien royaume détruit par les Colons Anglais, il y a de cela plus d’un siècle, afin de répondre à un souhait exprimé par les membres dudit Royaume. En s’inscrivant dans cette ligne des Chefs d’Etats patriotes à l’écoute de leurs peuples, l’histoire retiendra que le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), le Général de Brigade Abdrahamane Tiani fait partie des restaurateurs de nos valeurs ancestrales auxquelles les populations sont profondément attachées. Un dicton n’enseigne-t-il pas qu’un peuple sans histoire est un peuple sans âme ?
En effet, aux yeux de nombreux Nigériens, l’Ordonnance du 17 septembre 2010 portant changement de dénomination de trois provinces en Sultanat, montre que le Président du Conseil Suprême pour la Restauration de la Démocratie (CSRD), le Général Salou Djibo avait amorcé la réhabilitation des plus belles pages de notre histoire. Nous sommes convaincus que tous les historiens ont salué à juste titre cet acte symbolique et nous pensons que les dirigeants actuels, grâce aux supports des écrits de nos érudits de l’histoire africaine, comme les Professeurs Djibo Hamani, André Salifou, Idrissa Kimba, etc…, pourraient utilement apporter leurs concours dans cette noble quête de la vérité qui est la restauration des Sultanats et des Chefferies Traditionnelles et que cette restauration soit autant que faire exhaustive et équitable au regard de tous les compatriotes.
En parlant de l’histoire des Sultanats du Niger, légitimement, l’on ne saurait passer sous silence le Sultanat de l’Ader créé par Muhammed Aggaba au 17ème siècle dont le passé, tout comme celui du Sultanat de Doguéraoua, est indissociable de l’histoire du Sultanat de l’Aïr.
A cet effet, il importe de rappeler brièvement sa création :
– avant le 17ème siècle, l’actuelle région de Tahoua, appelée à l’époque « région des Azna » ou « Aznan ramous », était sous la domination du Sultanat de Kébi (actuel Argungu du Nigéria), dirigée par Muhammad Kanta.
– Vers 1674, Muhammed Aggaba, conduisit une guerre victorieuse contre le souverain de Kébi, Muhammed Kanta. La région des Aznan ramous prit la dénomination de « Adel » qui signifie Adar, en Tamasheq (c’est-à-dire une zone ravinée géographiquement).
– En 1721, après la destitution du Sultan Muhammed Aggaba du trône du Sultanat de l’Aïr (Agadez) par son frère, pour éviter le soulèvement des partisans du Royaume, les sages avaient recommandé aux deux frères de s’entendre sur l’héritage en suggérant à Muhammed Aggaba de retourner s’installer dans sa nouvelle conquête en compagnie de ses douze tribus.
– Survint le partage des biens et attributs du Sultanat d’Agadez comprenant entre autres les Griots, les Dogarey, les domestiques, les tambours et les groupes sociaux (Illissawans, Tawantakass, Tazgamawa, etc)… A son retour dans le nouveau Royaume de l’Ader, Muhammed Aggaba dit « le Prince Conquérant » entreprit l’organisation administrative du nouveau Sultanat de l’Ader et régna tranquillement jusqu’à sa mort en 1738.
Quatre secteurs (Gouvernorats de régions) avaient été mis en place par le Sultan Muhammed Aggaba qui sont aujourd’hui constitués de 9 Cantons : Bouza, Keita, Déoulé, Tahoua, Illéla, Bambeye, Garhanga, Tamaské, Kalfou et une partie du Canton de Dogaraoua). Tout le territoire était placé sous le commandement du Sarkin Ader Muhammed Aggaba (Sultan de l’Ader).
Les quatre secteurs étaient structurés de la manière suivante :
– le secteur de Keita-Tamaské, (actuels Cantons de Tamaské et de Keita dirigé par les Illissawan). Le Chef de secteur porte le titre de Amattaza, nom que porte l’actuel Chef de Canton de Keita ;
– le secteur d’Alamtei limité par les départements de Keita, Tahoua et Bouza ;
– le secteur de Serkin Magori et de ses vassaux, basé à Déoulé, ville des « Magorawa » située dans l’actuel département de Bouza. Le Chef de Canton de Déoulé porte toujours le titre de Sarkin Magori et sa région s’étend jusqu’au département de Madaoua ;
– le secteur centre qui s’étend de l’Ouest de Tamaské-Keita à l’actuel département d’Illéla et allant jusqu’à la zone de Guidan Idder, (Canton de Dogaraoua).
C’est ainsi que depuis la fin du 17ème siècle, la lignée du Sultan Mohammed Almubareck, père du Sultan Muhammed Aggaba, s’est installée à la tête de l’Ader-Doutchi, qui prit comme capitale, dans un premier temps Birni Ader non loin de Dareye (actuel Canton de Garhanga) et dans un second temps à Azao (situé à 10 km d’Illéla) et enfin à Illéla. Trois siècles durant, les membres de la famille du Sultan Aggaba se sont succédés à la tête du Royaume de l’Ader. Lorsque la colonisation française étendit sa domination sur l’Ader, c’est toujours avec la dynastie des Sarkin Ader (descendants du Sultan Aggaba), qu’elle avait traité.
Cependant, l’arrivée des Colonisateurs français, en 1900 a injustement transformé le Sultanat de l’Ader en Canton d’Illéla. Le Sarkin Ader occupe à ce jour toute l’étendue du territoire de l’actuel département d’Illéla et de Bagaroua, demeurant ainsi l’unique exemple au Niger où les frontières d’un Canton sont confondues à celles de deux départements. Depuis cette mutation, le Canton d’Illéla a été administré par les Sarkin Ader Attou, Boubé, Oumani, Kadi, Yacouba qui sont les arrières petits fils du Sultan Muhammed Aggaba.
Voilà quelques faits marquants de l’héritage que constitue l’histoire récente de l’Ader et son contour politique, social, culturel et géographique que chaque Nigérien peut connaître suite aux différentes tentatives de restauration du Sultanat de l’Ader :
1°) une tentative de restauration du Sultanat de l’Ader fut proposée sous le Commandement du Capitaine Broun. A cette occasion, il avait été demandé au Sarkin Ader Oumani Attou de désigner ses frères à la tête des nouveaux Cantons qui seront créés dans le territoire qu’il dirige ; mais, en raison de son attachement à l’unité de son territoire, il rejeta vaillamment l’offre de l’administration coloniale.
2°) Au cours d’un débat à la plénière de la première Assemblée Nationale de la 1ère République du Niger sur la création de la province de Tahoua, les Députés Nationaux de l’époque avaient estimé que, pour une question de bon sens, si le Canton d’Illéla, berceau de l’histoire de l’Ader, n’est pas érigé en province, aucune autre province ne pourrait voir le jour dans l’Ader.
3°) Dans le cadre des dénominations des Lycées nationaux du Niger, certaines personnes ont proposé de baptiser le Lycée de Tahoua : « Lycée Galabi ». L’Honorable Galabi étant le premier Chef de Canton nommé par l’administration coloniale de Tawa (Tahoua), après le départ du Prince Adou de la Chefferie d’Illéla, qui dirigeait la ville de Tahoua, pour se rendre à Azaou. En bon connaisseur de l’histoire du Niger, le feu Général Seyni Kountché avait demandé à l’assistance : qui a créé le Sultanat de l’Ader ? La réponse fut sans équivoque : c’est Muhammed Aggaba. Dès lors, le Lycée de Tahoua prit définitivement le nom de Lycée National Aggaba.
4°) A l’amorce de la politique de la décentralisation administrative au Niger, une proposition de redécoupage administratif basée sur l’histoire a été faite par le gouvernement. Pour la région de Tahoua : trois nouvelles régions ont été proposées :
– région de l’Ader ;
– région de la Maggia ;
– région de l’Azawak.
Les débats autour de la question ont montré que Ader et Maggia ont toujours formé un tandem sous l’appellation : « Ader-Maggia ». Ader signifiant relief accidenté découpé par des torrents charriant d’importantes quantités d’eau appelés Maggia. Si l’appellation « région de l’Ader » était maintenue, il va falloir transférer la capitale de la région de la ville de Tahoua à la ville d’Illéla, afin de coïncider avec la référence historique. Compte tenu de cette réalité, ledit débat a été abandonné pour s’accorder au maintien de la dénomination « Région de Tahoua ». C’est pourquoi, l’appellation de la Région de l’Ader fut abandonnée.
5°) Après la visite officielle qu’il avait effectuée au Niger, le Président Français Jacques CHIRAC, avait écrit le 30 octobre 2003 au Président de l’Association des Chefs Traditionnels de la Région de Tahoua, une lettre dans laquelle il a témoigné au « Chef de Province des Haussa de l’Ader » sa satisfaction pour l’accueil qui lui a été réservé. Monsieur CHIRAC se référant aux archives de l’administration française a relevé que le Sarkin Ader, Elhadji Kadi Oumani est bien le Chef de province d’Illéla, selon la documentation de l’administration française.
Il ressort de ces quelques faits et événements, que la transformation du Canton d’Illéla en Sultanat de l’Ader, comme l’ont été les anciennes provinces du Gobir, Katchina et Dosso, n’est qu’un acte souverain, équitable et louable pour la refondation du Niger.
Contributions d’un citoyen
1) Fixer un nombre raisonnable des ministères et l’institutionaliser
2) Limiter le nombre pléthorique des partis politiques à 3.
3) Limiter le nombre pléthorique des députés
4) Dépolitiser l’administration
5) Protèger les biens publics
SOUMANA HASSAN