
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
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Pour une refondation politique et institutionnelle, le Niger a besoin de revoir de fond en comble ses institutions. En analysant en profondeur le système politique actuel, nous constatons que celui-ci ne nous permet jamais de nous en sortir. Ce système est conçu pour favoriser une minorité, un certain groupe d’individus, une classe politique privilégiée (ce que j’appelle les « Nantis de la société »). Ces personnes profitent de leur position pour accroître leur fortune, tandis que les plus démunis (ce que j’appelle les « Prolétaires ») luttent pour survivre.
Ce qui est paradoxal, c’est que ces prolétaires (les citoyens les plus pauvres), bien qu’ils soient exploités, ce sont encore eux qui travaillent dur (en payant leurs impôts) pour faire vivre le pays. Tandis que les autres, malgré leur richesse, certains ne paient même pas d’impôts. Ils s’approprient tous les avantages, notamment les marchés publics pour eux et leurs proches, ils monopolisent tous les postes à pourvoir lors des concours ou des recrutements dans la fonction publique, et même dans le secteur privé, ils sont omniprésents, eux et leurs proches. Ils ne laissent aucune chance à un citoyen lambda de se sentir, ne serait-ce qu’un peu, fier de son pays.
Ce sont ces « Nantis » qui ont provoqué chez les Nigériens un manque d’intérêt ou d’attachement envers leur pays, une indifférence nationale et un comportement antipatriotique. Pour un Nigérien lambda, l’État n’existe pas là où il en a le plus besoin. Un État doit pourtant être présent et actif dans plusieurs secteurs clés pour un citoyen ordinaire :
La santé publique : pour garantir l’accès aux soins de santé pour tous, indépendamment de leurs revenus.
L’éducation : pour assurer une éducation gratuite et de qualité pour tous, en particulier pour les enfants issus de milieux défavorisés.
La protection sociale : pour protéger les citoyens contre les risques sociaux (pauvreté, chômage, vieillesse, handicap).
Le logement : pour garantir un logement décent et abordable pour tous.
L’emploi et la formation professionnelle : pour offrir des opportunités d’emploi et de formation afin de réduire la pauvreté et l’exclusion.
La sécurité alimentaire : pour assurer l’accès à une alimentation suffisante et nutritive pour tous.
Les infrastructures de base : pour fournir des services essentiels et améliorer la qualité de vie.
La justice et l’égalité des chances : pour garantir l’égalité devant la loi et lutter contre les discriminations.
L’environnement et le développement durable : pour protéger les ressources naturelles et assurer un avenir durable.
La culture et la cohésion sociale : pour renforcer le lien social et l’identité collective.
Un État doit être fortement présent dans ces secteurs pour réduire les inégalités, protéger les plus vulnérables et garantir une vie digne à tous ses citoyens. Cependant, force est de constater que tous ces secteurs ont été négligés ces dernières années. La corruption a gangréné le pays de façon exponentielle, au point où de nombreux citoyens se sentaient exclus, comme si le fait d’être Nigérien n’était qu’une formalité sur papier. On ressentait un malaise profond, une frustration généralisée au sein de la majorité des Nigériens. Beaucoup avaient même honte de dire qu’ils étaient Nigériens à l’étranger.
Tout cela est dû à une dégradation avancée de nos institutions et de notre système politique, qui favorise une corruption à grande échelle. Soit tu fais partie du système, soit tu en es exclu. Et nombreux sont les Nigériens restés intègres qui se sentent marginalisés par ce système. Beaucoup de fonctionnaires sont devenus des hommes et des femmes d’affaires, qu’il s’agisse des agents de santé, des enseignants, des forces de l’ordre, des magistrats, des avocats, des députés, des ministres, et même certains anciens présidents. Tous sont à la recherche de marchés publics, ce qui rend difficile pour les petites et moyennes entreprises, les commerçants, les entrepreneurs, etc., de prospérer sans compter sur l’État, c’est-à-dire sans obtenir de marchés publics. C’est pourquoi certains individus sont prêts à tout pour obtenir ces marchés, quitte à vendre leur âme au diable : en adhérant ou en soutenant un ou des partis politiques, en corrompant des fonctionnaires, etc.
C’est aussi la raison pour laquelle, aujourd’hui, beaucoup de ces individus ont le souffle coupé depuis les événements du 26 juillet 2023. Tout simplement parce que leurs robinets à billets sont à l’arrêt. Ils se plaignent que rien ne fonctionne au Niger, que tout est à l’arrêt et que l’argent ne circule pas. Mais de quel argent parlent-ils ? Est-ce que les fonctionnaires ne sont pas payés ?
Je reconnais que les commerçants vivent une situation difficile, notamment à cause de la fermeture de la frontière avec le Bénin. Certains ont perdu beaucoup d’argent et continuent de subir des pertes en raison des difficultés liées au tronçon Lomé-Niamey et à la détérioration ou à la perte de certaines de leurs marchandises. Pour cela, je m’incline devant leur souffrance. Si l’activité économique ralentit dans un pays, les affaires peuvent effectivement en pâtir.
Cependant, il est important de reconnaître que nous vivons dans une période de guerre : une guerre économique due à l’embargo dont notre pays a été victime, une guerre contre le terrorisme, une guerre informationnelle, etc. Tous ces défis prennent le pas sur les autres aspects de la vie nationale. Il est donc essentiel que les Nigériens continuent de faire preuve de résilience et soutiennent les autorités actuelles pour nous permettre de sortir la tête de l’eau.
Maintenant, après avoir fait tous ces constats, que faut-il faire pour résoudre ces problèmes ?
Pour moi, il est plus qu’urgent de prendre des mesures radicales et de réformer le système de A à Z. Les demi-mesures ne changeront rien. Il est nécessaire que certains Nigériens fassent des sacrifices pour sauver ce pays du statu quo. Ce statu quo risque de créer des problèmes encore plus graves à l’avenir si nous n’agissons pas dès maintenant (je ne le souhaite pas, bien entendu).
Pour réformer notre système politique et nos institutions, voici quelques propositions :
Limitation des retraités dans les fonctions publiques et politiques :
Toutes les personnes ayant atteint l’âge de la retraite devraient être exclues de toute fonction publique ou privée en tant que salariés ou fonctionnaires. Ces retraités ne devraient pas non plus pouvoir créer de partis politiques ou se porter candidats à un poste politique. En revanche, ils pourraient créer leurs propres entreprises ou travailler en tant que prestataires de services, par exemple en donnant des conseils, mais à titre privé et sous leur propre responsabilité.
Accompagnement des retraités :
L’État devrait créer une structure chargée de les encadrer et de les accompagner dans cette transition. De nombreux retraités ont du mal à s’en sortir en raison de leurs maigres pensions. L’État doit prendre des mesures pour leur verser leurs pensions de manière régulière chaque mois et les revaloriser périodiquement afin qu’ils puissent vivre décemment.
Il faut limiter l’âge pour être candidat à un quelconque poste (président, ministre, maire, etc.) à 70 ans maximum. Ensuite, à mon avis personnel, il faut supprimer l’Assemblée nationale, car dans sa configuration actuelle, elle ne sert à rien. Je m’explique : nous avons hérité d’un système colonial et néocolonial qui a favorisé l’individualisme et la recherche de gains faciles. Il est très difficile, dans ce contexte, que les gens travaillent pour l’intérêt collectif au détriment de leurs propres intérêts. Force est de constater que la plupart des députés étaient là pour faire leurs affaires, en ignorant leur mission régalienne.
Par conséquent, il faut soit supprimer l’Assemblée nationale, soit la réformer en profondeur :
Option 1 : Supprimer l’Assemblée nationale
Il faudrait alors adopter une autre méthode pour désigner des représentants des régions, des départements, des arrondissements, etc. Chaque région, département ou arrondissement serait chargé de nommer son représentant. Ces délégués participeraient à des commissions qui se réuniraient, par exemple, tous les trois ou six mois, pour discuter des problèmes locaux et les remonter aux plus hautes autorités. Une haute commission, basée à Niamey, serait chargée de synthétiser les rapports de ces commissions et de décider des actions prioritaires à mener.
Ces délégués n’auraient aucune responsabilité particulière ni avantage, à l’exception des frais de déplacement liés à leurs activités et d’indemnités pour chaque commission à laquelle ils participent. Ils n’auraient pas droit à une voiture de fonction et ne pourraient appartenir à un parti politique. Ils seraient indépendants et volontaires.
Option 2 : Réformer l’Assemblée nationale
Si l’Assemblée nationale est maintenue, il faudrait radicalement changer le rôle des députés. Ces derniers seraient volontaires, sans responsabilité particulière ni avantages en nature. Ils ne pourraient pas non plus appartenir à un parti politique. Ils seraient désignés par les régions, départements ou arrondissements et percevraient uniquement des frais de transport et des indemnités plafonnées pour les missions auxquelles ils participent.
Ces mesures permettraient à l’État de réaliser d’importantes économies, car la gestion des députés nationaux, dans leur forme actuelle, coûte cher sans apporter de réelle valeur ajoutée.
Réforme sur les marchés publics :
Les marchés publics doivent être réservés à des entreprises qui emploient un certain nombre de salariés (selon un seuil fixé par l’État) avec des contrats de longue durée. L’État doit s’assurer que ces entreprises paient leurs impôts régulièrement, qu’elles ne sont pas en retard dans leurs obligations fiscales et qu’elles n’ont aucun contentieux en cours.
Il est essentiel de créer une autorité de régulation des marchés publics ainsi qu’une institution de contrôle financier. Ces organismes seraient chargés de veiller au respect des procédures, à la concurrence loyale, à la légalité des attributions de marchés, et de mener des audits spécifiques sur les marchés publics. Ils devraient également auditer régulièrement les entreprises bénéficiaires pour s’assurer de leur conformité.
Ainsi, les particuliers, les entreprises sans salariés ou celles nouvellement créées n’auraient pas accès à ces marchés. La mise en place de ces mesures permettrait de réduire la corruption, les fraudes et les attributions illégales de marchés publics à des personnes ou entités non éligibles. Cela encouragerait également les entreprises bénéficiaires à embaucher davantage pour pouvoir continuer à bénéficier de ces marchés.
Réforme de l’administration :
Il est essentiel de digitaliser toutes les démarches administratives afin que l’État puisse assurer une traçabilité complète : services des impôts, douane, police, ministères, mairies, etc. Toutes les procédures administratives doivent être dématérialisées pour accélérer le traitement des dossiers, raccourcir les délais et, surtout, lutter contre la corruption qui gangrène notre administration.
Il faut également décentraliser certaines démarches pour désengorger la concentration excessive des services dans la capitale. Par exemple, chaque région devrait être capable de fabriquer des passeports sans que les citoyens aient à se déplacer systématiquement à Niamey. Cela faciliterait grandement les démarches, en particulier pour les régions éloignées comme Diffa, Zinder, Maradi, Tahoua et Agadez.
En dématérialisant les démarches, on réduirait les contacts directs avec l’argent liquide, qui est un problème majeur qu’il faut aborder de front. Il est crucial d’empêcher tout échange d’argent entre particuliers, fonctionnaires, responsables et autres acteurs. Les seules manipulations devraient concerner des chiffres virtuels, tandis que l’accès à l’argent physique doit être évité autant que possible. Seules les personnes habilitées, sous la surveillance d’auditeurs indépendants et intègres, devraient avoir accès à des fonds physiques.
Management et gestion des ressources humaines :
Il est crucial de choisir les bonnes personnes pour les postes de responsabilité. Un bon leader sait placer la bonne personne au bon endroit pour assurer le succès de son équipe. Cependant, il ne suffit pas de mettre une personne compétente à un poste si l’environnement de travail est toxique. Tant que cette personne n’a pas le pouvoir de remodeler son équipe et de la diriger selon sa vision, les résultats resteront limités.
Dans une entreprise ou une administration, travailler en équipe est essentiel pour maximiser la productivité. Mais si 80 % des membres de l’équipe sont incompétents ou corrompus, et que vous n’avez pas le pouvoir de sanctionner ou de démettre un employé placé par une hiérarchie elle-même défaillante, vous ne pourrez rien faire d’autre que suivre le mouvement.
Il est donc nécessaire de restructurer notre mode de gouvernance pour permettre aux personnes compétentes d’avoir le libre choix de sanctionner, de démettre ou de constituer une équipe alignée sur leur vision et capable de réaliser les projets définis. Sans cela, rien ne changera dans nos administrations.
Il y a beaucoup d’autres aspects à aborder, mais je vais m’arrêter ici en espérant que ces réflexions puissent être profitables à l’ensemble des Nigériens.
vraiment, tres pertinent.
« Goyan baya »
Bonsoir chers compatriotes,
Le CNSP est notre dernier rempart et notre tremplin vers une souveraineté réelle, ainsi qu’un développement socio-économique et technologique harmonieux et durable.
Quelques priorités à prendre en compte :
1. Création de la Fédération du Sahel
Les leaders actuels du CNSP ont le devoir historique de ne jamais transmettre le pouvoir à des civils sans avoir réalisé, avec les Républiques sœurs du Burkina et du Mali, la création et l’avènement de la Fédération du Sahel. Il s’agit d’un impératif et de la suite logique de la Confédération AES. Cette fédération nous destine à devenir le pays le plus puissant du continent et à œuvrer pour la libération et l’unité de toute l’Afrique.
La Fédération dispose de potentialités incommensurables. En plus des ressources minières, énergétiques, agricoles et bien d’autres, elle sera le pays le plus jeune du monde, avec une population estimée à au moins 150 millions d’habitants d’ici 2050.
La forte démographie est une chance et constituera l’un de nos atouts de puissance les plus déterminants, et non un fardeau, contrairement à ce que nos ennemis voudraient nous faire croire. Investissez dans la formation, la recherche et les technologies dans tous les domaines des sciences afin de transformer nos pays, à l’image de ce qu’a accompli la Chine.
2. Durée de la transition
La durée de la transition ne doit pas être une fin en soi. Nos dignes autorités doivent se voir assigner des objectifs clairs, sans quoi l’histoire risque de se répéter.
i. Réaliser la création de la Fédération.
ii. Renforcer les moyens de défense du pays (de la Fédération) afin d’atteindre un niveau de dissuasion hautement crédible, capable de neutraliser toute menace provenant de groupes criminels, de pays tiers ou de conglomérats de pays et de groupes d’intérêts. Il faut se surarmer. Aucun pays ne saurait se développer sans faire de sa défense intérieure et extérieure l’un de ses piliers fondamentaux.
iii. Créer la monnaie du Sahel.
La réalisation de ces trois priorités fondamentales devrait inconditionnellement précéder la fin des transitions respectives au Niger, au Burkina Faso et au Mali.
Les leaders actuels de l’AES et leurs équipes respectives doivent conserver le pouvoir pendant dix ans afin d’atteindre ces objectifs. C’est une durée réaliste.
Les politiciens ou acteurs appelant à des élections rapides dans le but de compromettre ces objectifs stratégiques ne sont que des impertinents mus par des ambitions personnelles limitées à eux-mêmes et à leurs petites familles, et non à la nation entière. De tels individus sont des ennemis de l’État et seraient prêts à trahir nos idéaux de souveraineté.
3. Élections et Mode de Gouvernance
i. Interdiction des financements étrangers !
ii. Enquêtes de moralité : Toute personne ayant un casier judiciaire défavorable doit être exclue de la candidature.
iii. Conseil des Sages : Il devrait être constitué des acteurs actuels de la révolution sahélienne et pourrait se voir conférer un droit de veto sur toutes les décisions stratégiques du pays et de la Fédération. Cet organe sera régi par un règlement intérieur définissant les modalités de prise de décision, de délibération, ainsi que les conditions de renouvellement ou de remplacement des membres en cas de non-respect des règles ou de force majeure, sur décision collégiale.
iv. Le président élu, avec son équipe, aura la charge de mettre en œuvre la politique de l’État fédéral sous l’autorité du Conseil des Sages.
L’idée principale est de pérenniser les acquis de la révolution et de ne jamais laisser le pouvoir au seul bon vouloir de simples politiciens.
4. Justice
Nous avons besoin d’une justice forte, impartiale et dotée de moyens conséquents (juges, police judiciaire, infrastructures, moyens financiers, …) pour assumer pleinement son rôle, rendre justice et sévir contre tout citoyen, sans exception.
Par ailleurs, le recouvrement des milliards de francs CFA, du foncier, des permis miniers illégaux détournés sous les régimes précédents est un impératif. Les centaines de milliards, voire les billions, détournés doivent être récupérés et réinjectés dans le Trésor national. Nous en avons un besoin crucial. Les terres volées ou achetées par l’argent détourné doivent également être confisquées et réaffectées au foncier national, afin de garantir leur gestion dans l’intérêt du peuple et de l’État.
Les noms de ceux qui ont volé doivent être exposés publiquement et exclus d’office de toute fonction politique future, conformément aux principes évoqués dans la section (3) Élections et Mode de Gouvernance, en raison de leur moralité douteuse. Cela permettra de réduire considérablement et de prévenir la commission d’actes de détournement, aussi bien aujourd’hui qu’à l’avenir.
5. L’administration
Les services offerts aux citoyens ne doivent nécessiter que les frais exigés par la loi. Tout agent impliqué dans le racket ou toute forme de corruption devrait être radié de la fonction publique. Les citoyens doivent disposer de moyens légaux pour contraindre et faire sanctionner tout fonctionnaire qui sort du cadre de la loi régissant l’accès aux services en question.
La délivrance de passeports, de pièces d’état civil ou de tout autre document administratif doit impérativement suivre la dynamique de la révolution actuelle. L’administration doit être mise au pas. Au-delà du contrôle des horaires de travail, il est essentiel de changer les mentalités mercantiles de certains fonctionnaires qui outrepassent les frais requis par la loi.
Puisse Dieu nous assister et nous inspirer dans la prise de décisions en cette étape cruciale pour notre pays, pour l’AES et pour l’histoire!
Vive le Niger !
Vive la Confédération AES !
Que naisse et vive la future Fédération du Sahel !
Faites nous sortir du cfa par la création et la mise en circulation d’une monnaie AES.
On a assez de ressources et de potentiels pour soutenir notre monnaie.
En ce qui concerne le mandat du président, il va nous falloir prendre 10 ans pendant que le Niger se remette. Pour pouvoir consacrer tous nos efforts aux profondes réparations de tous les dommages subis par le Niger, et aussi renforcer la maturité patriotique du peuple en posant des jalons solides dans ce sens. Ce qu’il nous faut c’est surtout le temps et la stabilité. C’est pourquoi les impérialistes nous poussent à la précipitation car ils savent bien que le temps une fois maîtrisé nous sera d’une utilité fondamentale.
Donc sans donner toutes les raisons, les détails de ma proposition, je crois profondément que les assises doivent Accorder ce temps à notre nouvel élan patriotique.
Que le bon sens , la liberté, la sagesse et le courage soient notre force
Pour une refondation politique et institutionnelle efficace et durable il est impératif de dissoudre tous les partis politiques, car tous les problèmes de ce pays est liés à l’instauration du multipartisme. Le pays a cependant mal démarré sont processus démocratique puisque la plupart des partis sont créés sur des bases régionaliste, opportunistes, ethnocentristes et de là les mauvaises pratiques telles le népotisme, la politisation de l’administration, les divisions ethniques et régionaliste, détournement de deniers publics, l’impunité….etc sont nés et ont continuellement évolués. Laisser ces partis politiques revient à juste une pause à ces mauvaises pratiques et les laisser encore s’établir parce que les politiciens ne vont jamais changer. Ils vont chercher à revenir au pouvoir par tous les moyens et cette fois les militaires seront les premiers à en pâtir puisqu’ils vont essayer d’ôter toutes leurs possibilités de prendre leurs responsabilités même au cas où le pays serait en péril. Quel que soit la constitution ou tout autre texte servant à gérer le pays, le plus parfait du monde nos politiciens trouveront toujours un moyen de les piétiner pour leurs intérêts au détriment de ceux du peuple. Prenons l’exemple des députés, ces gens n’ont aucun rester même pour ceux qui les ont élus, tout ce qui les intéresse c’est de profiter des privilèges et narguer le peuple. On doit même supprimer l’assemblée nationale au Niger et la remplacer par un comité populaire et patrimoine chargé de contrôler tout ce qui concerne la vie du pays.
Nous devons une envisager un modèle politique si possible basé sur le modèle chinois, je dis bien le modèle chinois et non le communisme car devons l’adapter à nos réalités surtout en tenant compte notre expérience suite aux désastres subis par le pays avec la soit disant démocratie. Ce système permet de discipliner le peuple et créer les bases de développements durables en tenant compte des priorités de pays. On est pas obligé de revenir à la démocratie importée comme le crient certains, il faut juste qu’on invente notre propre démocratie et notre manière de gérer le pays pour le bien de tous les nigeriens. Je pense qu’il faut créer des institutions au dessus de toutes autoritéspopulaires avec des personnalités dotées de qualité morales, intellectuelles,…. pour gérer tous les aspects du pays et les intégrer dans le système politique.
As salam aleykoum,
Les propositions sont les suivantes:
– procéder à un audit sur le respect de la constitution de l’ensemble des partis politiques et dissoudre ceux qui présentent des failles.
– veiller au respect strict des conditions d’exercice des partis politiques ainsi que le déroulement des campagnes électorales afin de bannir les trafics d’influence .
– le création d’institutions fortes, résiliantes indépendantes et surtout qui rend compte au peuple
Pour une refondation politique et institutionnelle efficace et durable il est impératif de dissoudre tous les partis politiques, car tous les problèmes de ce pays est liés à l’instauration du multipartisme. Le pays a cependant mal démarré sont processus démocratique puisque la plupart des partis sont créés sur des bases régionaliste, opportunistes, ethnocentristes et de là les mauvaises pratiques telles le népotisme, la politisation de l’administration, les divisions ethniques et régionaliste, détournement de deniers publics, l’impunité….etc sont nés et ont continuellement évolués. Laisser ces partis politiques revient à juste une pause à ces mauvaises pratiques et les laisser encore s’établir parce que les politiciens ne vont jamais changer. Ils vont chercher à revenir au pouvoir par tous les moyens et cette fois les militaires seront les premiers à en pâtir puisqu’ils vont essayer d’ôter toutes leurs possibilités de prendre leurs responsabilités même au cas où le pays serait en péril. Quel que soit la constitution ou tout autre texte servant à gérer le pays, le plus parfait du monde nos politiciens trouveront toujours un moyen de les piétiner pour leurs intérêts au détriment de ceux du peuple. Prenons l’exemple des députés, ces gens n’ont aucun rester même pour ceux qui les ont élus, tout ce qui les intéresse c’est de profiter des privilèges et narguer le peuple. On doit même supprimer l’assemblée nationale au Niger et la remplacer par un comité populaire et patrimoine chargé de contrôler tout ce qui concerne la vie du pays.
Nous devons une envisager un modèle politique si possible basé sur le modèle chinois, je dis bien le modèle chinois et non le communisme car devons l’adapter à nos réalités surtout en tenant compte notre expérience suite aux désastres subis par le pays avec la soit disant démocratie. Ce système permet de discipliner le peuple et créer les bases de développements durables en tenant compte des priorités de pays. On est pas obligé de revenir à la démocratie importée comme le crient certains, il faut juste qu’on invente notre propre démocratie et notre manière de gérer le pays pour le bien de tous les nigeriens. Je pense qu’il faut créer des institutions au dessus de toutes autoritéspopulaires avec des personnalités dotées de qualité morales, intellectuelles,…. pour gérer tous les aspects du pays et les intégrer dans le système politique.
Changer la devise du Niger en
« Zancen Kassa Ne- Labou Sanni No »
Les Nigériens aiment parler sans pour autant appliquer ce qu’ils disent. S’il vous plaît, changeons cette mentalité si nous voulons vraiment la refondation de ce pays.
la corruption est devenue une pratique quotidienne à tous les niveaux. Soyons de vrais responsables, il faut qu’on éradiquie cela.
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Mesdames, Messieurs les membres de la Commission,
Je me permets de vous adresser cette lettre afin d’attirer votre attention sur la situation difficile des enseignants contractuels au Niger. Depuis de nombreuses années, ces éducateurs jouent un rôle essentiel dans la formation de nos enfants et le développement du système éducatif national. Malgré leur engagement sans faille, ils continuent de travailler dans des conditions précaires, avec des salaires modestes et une absence de sécurité professionnelle.
L’éducation étant un pilier fondamental du développement, il est crucial de garantir la stabilité et la motivation de ceux qui ont la responsabilité de former les générations futures. Or, la précarité des enseignants contractuels impacte directement la qualité de l’enseignement et la performance des élèves.
C’est pourquoi je propose que les assises nationales prennent en compte la nécessité d’intégrer progressivement les enseignants contractuels à la fonction publique. Cette mesure permettrait de :
Garantir une meilleure qualité de l’éducation en assurant la stabilité du corps enseignant ;
Valoriser et motiver les enseignants en leur offrant des conditions de travail dignes ;
Réduire la rotation fréquente des enseignants, qui affecte la continuité pédagogique ;
Reconnaître leur contribution essentielle au développement du pays.
Je suggère, entre autres, une régularisation prioritaire des enseignants contractuels ayant plusieurs années d’expérience, avec des critères transparents et objectifs.