
Economie et Développement Durable
12 mars 2014
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014Réfondation politique et institutionnelle
Participez à la Refondation de notre Nation !
La Commission de Refondation Politique et Institutionnelle vous invite à partager vos réflexions et propositions pour bâtir un avenir plus juste et inclusif.
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2302 Commentaires
Assalamaleykum wa rahamatoulahi wa barkatahu, Sur cette thématique j’en suis sûr qu’il aura une tension sur tout au niveau de la prise des décidons. Mais pour assuré une refondation politique et institutionnel je propose entre autre :
Refondation Politique et Institutionnelle : Réformes Électorales et Gouvernance Alignées sur les Valeurs Islamiques et Locales
1. Réforme Électorale Adaptée au Contexte National
Optimisation du Système Biométrique : Bien que le Niger ait adopté le fichier électoral biométrique pour garantir des élections sécurisées et fiables, son exploitation reste perfectible. L’État doit adapter cette technologie aux réalités locales, en tenant compte des infrastructures disponibles et des compétences techniques, afin d’assurer une mise en œuvre efficace et accessible à tous les citoyens.
Limiter le nombre de candidats à l’élection présidentielle à deux. Cette proposition vise à :
Simplifier le processus électoral : Réduire le nombre de candidats permettrait de clarifier les choix pour les électeurs et de faciliter l’organisation des scrutins.
Renforcer la légitimité du président élu : Une compétition entre deux candidats favoriserait une majorité plus nette, consolidant ainsi l’autorité du président élu.
Débats Télévisés Structurés : Organiser des débats télévisés entre les candidats, axés sur la critique et l’autocritique, offrirait aux électeurs une meilleure compréhension des programmes et des visions de chacun, favorisant ainsi un choix éclairé.
2. Rationalisation des Postes Ministériels et Nomination Basée sur les Compétences
Réduction de la Fragmentation Ministérielle : Éviter la multiplication des postes ministériels en regroupant les portefeuilles connexes permettrait une gouvernance plus cohérente et efficace.
Nomination sur la Base des Compétences : Attribuer les postes ministériels en fonction d’une évaluation rigoureuse des compétences des candidats garantirait une adéquation optimale entre les responsabilités et les qualifications, améliorant ainsi la performance gouvernementale.
3. Autonomisation des Gouverneurs pour une Gouvernance Décentralisée
Délégation de Pouvoirs Décisionnels : Accorder une autonomie décisionnelle accrue aux gouverneurs renforcerait la gouvernance locale, permettant des réponses plus rapides et adaptées aux besoins spécifiques de chaque région.
Responsabilisation et Redevabilité : Cette autonomie doit s’accompagner de mécanismes de contrôle et d’évaluation pour assurer que les décisions prises au niveau régional sont en ligne avec les objectifs nationaux et respectent les valeurs locales.
4. Conformité avec la Religion Islamique et les Valeurs Locales
Alignement des Réformes sur les Principes Islamiques : Toutes les réformes politiques et institutionnelles doivent être conçues en conformité avec les enseignements de l’Islam, garantissant ainsi leur acceptation par la majorité de la population.
Respect des Traditions et Coutumes Locales : Intégrer les valeurs culturelles et les traditions locales dans le processus de refondation politique assurera une gouvernance harmonieuse et respectueuse de l’identité nationale.
La reconduction commence surtout par le changement de comportement.
Aujourd’hui au Niger tout le monde est membre de la société civile. Si demain on lève la suspension des partis ils vont se reconvertir en militants des partis politiques.
Il faut revoir ce système.
Si on limite les partis à 2, 3, ou 4, il faudrait aussi limier la pléthore des associations à caractère (société civile).
Après le 26 juillet 2023 la reconversion en acteur de la société civile est très exagéré.
Tout cela d’explique par la recherche.
Donc pour cette raison il faut refonder ce système (Société civile).
D’où le changement de comportement est nécessaire la bonne de notée pays et de ses institutions.
Conformément au discours du chef de l’état je propose un délais de transition de 3ans allant 20 février 2025 au 19 février 2028.
Soit 3 ans après les assises
Si vraiment nous voulons répondre notre nation je pense que la transition a le devoir de supprimer presque tous les partis politiques et de laisser uniquement cinq parties politique au maximum 5 .
Chaque partie politique présentera son programme et ce en fonction de ce programme là qu’il est élu par la population . Au campagne politique il exposera son programme à la télé nationale dans toutes nos langues .
Il peut être destitué en refusant d’exécuter ce programme par la justice. Il peut ajouter quelque chose dans le programme qu’il a présenté à la population mais elle peut pas les retirer ou modifier le programme de la présenter avant les élections. Donc je pense cet article là doit être vraiment mis à la disposition de la population pour une gouvernance durable
Assalamu alaykum warahmatullah wabarakatuh. Je pense qu’une bonne refondation institutionnelle est censée se baser d’abord sur la religion, et du moment où plus de 99% de la population est musulmane, et que même dans l’administration publique, la laïcité n’existe que de nom, alors je propose de transformer la république du Niger en une république islamique. Ainsi les comportements et attitudes seront davantage conformes à la religion.
Aussi celui qui a osé dépasser les bornes en insultant notre prophète Çallallaahu Alayhi Wassalam bien aimé doit être rapatrié au pays pour subir les conséquences de son acte.
Sur le plan politique je propose le retour à la chefferie traditionnelle du moment où la démocratie depuis qu’elle nous a été importée n’a rien fait de concret. A défaut du retour à la chefferie traditionnelle il faut songer à l’abolition des centaines ou milliers de partis politiques existant pour ne garder que 2 à l’image de ceux qui nous ont importé cette foutue démocratie.
Les femmes musulmanes souhaitent avoir la liberté de prendre leurs photos d’identité avec leurs voiles, le fait de se dévoiler lors de la prise des photos est extrêmement agaçant pour la musulmane qui est censée être voilée en présence des hommes étrangers.
Amélioration du Système Éducatif au Niger par l’Intégration de l’Éducation Civique
Introduction
L’éducation est un pilier fondamental du développement d’une nation. Au Niger, l’amélioration du système éducatif ne doit pas se limiter à l’acquisition de connaissances académiques, mais doit également favoriser le renforcement des valeurs civiques et du patriotisme. Pour atteindre cet objectif, il est impératif d’agir sur les mentalités en instaurant des cours d’éducation civique parallèlement aux cours d’éducation physique et sportive (EPS). Cette initiative permettra de cultiver chez les élèves un profond respect des biens publics, un sens du devoir et un amour inconditionnel envers la patrie et le drapeau.
Proposition de Mise en Œuvre
Afin d’inculquer ces valeurs de manière efficace, nous proposons de diviser l’heure d’EPS en deux sessions de 30 minutes :
Première session (30 minutes) : Activités physiques
Animée par un encadreur sportif, cette session permettra aux élèves de pratiquer des exercices physiques pour leur bien-être et leur santé.
Elle contribuera à développer la discipline, l’esprit d’équipe et la résilience physique.
Seconde session (30 minutes) : Instruction civique et patriotique
Cette session sera animée par un militaire, garant de la discipline et des valeurs patriotiques.
Les enseignements porteront sur :
Le respect des symboles de la République (hymne national, drapeau, institutions publiques).
L’importance du civisme et du respect des biens publics.
Le sens du devoir et de l’engagement citoyen.
Le renforcement de l’identité nationale et de l’amour du pays.
Bénéfices Attendus
Renforcement du civisme : En sensibilisant les élèves aux comportements responsables et respectueux, nous contribuerons à la création d’une société plus harmonieuse et solidaire.
Promotion du patriotisme : En inculquant l’amour de la patrie et le respect des institutions, nous préparons une génération consciente de son rôle dans le développement du pays.
Encadrement par des modèles d’autorité : La présence de militaires comme enseignants de cette discipline garantira la rigueur et l’efficacité de l’enseignement des valeurs civiques.
Développement physique et moral : En couplant l’activité physique à l’enseignement du civisme, nous favorisons un équilibre entre la santé physique et la formation citoyenne.
Conclusion
L’instauration de ces cours d’éducation civique parallèlement à l’EPS représente une opportunité unique pour forger une jeunesse engagée, respectueuse et fière de son pays. Cette approche permettra d’insuffler aux élèves un sens profond des valeurs républicaines et de leur responsabilité en tant que futurs citoyens. La mise en place de cette initiative exigera une collaboration entre le ministère de l’éducation nationale, le ministère de la défense et les différents acteurs de l’éducation. Il est temps d’agir pour bâtir un Niger fort, uni et prospère.
Bonsoir très chers compatriotes !
•Je propose à ce que la question de démocratie reste et demeure une histoire chez nous.
•Réviser la constitution de telle sorte qu’aucun futur président de ce pays noble pays n’osera parler de cette démocratie mortelle.
• Le CNSP n’a une période déterminée pour la transition jusqu’à ce que ce pays soit refonder comme nous le chantons.
Maastricht, mardi 18 février 2025
Analyse politique et diplomatiqueTitre : Assises nationales.
Aujourd’hui, nous célébrons le quatrième jour des Assises nationales à Niamey, au Niger, un événement d’une importance capitale qui réunit des acteurs politiques, des experts en développement, et des représentants de la société civile. Cette conférence pluridisciplinaire est consacrée à des discussions approfondies sur l’avenir du Niger, en abordant des thèmes essentiels tels que les réformes politiques, la révolution constitutionnelle, la souveraineté, l’indépendance, ainsi que le développement socio-économique et la sécurité.
Les débats de cette quatrième journée ont été particulièrement marqués par des préoccupations concernant le choix des langues nationales. En effet, des rumeurs circulent sur la sélection potentielle du Hausa et du Zarma comme langues officielles, suscitant des réactions vives sur les réseaux sociaux. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’identité nationale et la diversité linguistique, des sujets qui méritent une attention particulière.
Il est impératif d’inviter les citoyens nigériens à adopter une perspective plus large face à cette problématique linguistique. La question de l’adoption d’une ou plusieurs langues nationales ne devrait pas être source de division, mais plutôt être considérée dans le cadre d’une vision inclusive et fédératrice. À l’échelle mondiale, de nombreux pays, tels que la Suisse avec ses quatre langues nationales ou le Canada, illustrent avec succès comment la coexistence de plusieurs langues peut enrichir la culture et favoriser le développement économique.
De plus, le Niger possède une richesse linguistique unique, notamment à travers le Tifinagh, qui est non seulement une langue, mais aussi un symbole culturel avec son propre alphabet. Si une volonté politique sincère se manifeste pour promouvoir cette langue en tant que langue nationale, cela pourrait renforcer le sentiment d’appartenance et de fierté nationale parmi les Nigériens, tout en valorisant leur patrimoine culturel.
Cependant, il est crucial de reconnaître que le véritable défi auquel le Niger est confronté ne se limite pas à la question des langues. Il s’agit plutôt de s’attaquer aux structures systémiques qui ont historiquement entravé le développement du pays. Ce “système de frein” a, pendant des siècles, limité les opportunités et freiné la croissance économique. Il est donc essentiel de réfléchir à des stratégies intelligentes et diplomatiques pour lever ces entraves, permettant ainsi au Niger d’aspirer à une réelle indépendance économique et à un développement durable.
Les Nigériens doivent orienter leur attention vers des enjeux fondamentaux tels que le développement socio-économique, la promotion de la cohésion sociale, la garantie de la sécurité, ainsi que la mise en œuvre de réformes politiques significatives. Il est également indispensable de réformer le système éducatif, d’améliorer les pratiques agricoles et pastorales, de renforcer les services sociaux, d’assurer la sécurité alimentaire, et de moderniser le système de santé. L’industrialisation du pays et l’ouverture vers les marchés mondiaux sont également des étapes cruciales pour maximiser les bénéfices des ressources naturelles dont le Niger regorge.
Il est essentiel que le Niger puisse compter sur des leaders visionnaires, des fils et des filles déterminés à faire briller leur pays sur la scène internationale de manière positive et prospère. Ces individus doivent être animés par un patriotisme authentique et un nationalisme constructif, mettant en avant l’intérêt collectif plutôt que des ambitions personnelles.
Il serait souhaitable que cette conférence pluridisciplinaire donne naissance à une nouvelle dynamique de fierté et d’amour pour le Niger. Ce processus pourrait déboucher sur une réforme politique orientée vers l’unité et l’affirmation de la beauté de ce pays. Peu importe la langue choisie comme langue nationale, ce qui importe véritablement est la volonté collective de faire avancer le Niger vers un avenir prometteur, où chaque citoyen se sentira valorisé et impliqué dans la construction d’une nation forte et résiliente.
Je vous remercie de votre attention et de votre engagement envers le développement du Niger.
Respectueusement,
Abakoula Argalaless
Asalamou aleykou chère frère participants de grasse moi à mon emble aviez je proposé que pour làélection d’un député il faut que se lui ci réside dans sa circonscription au moins pour une durée bien déterminée pour qu’il pusse connaître les réalités des qui il doit représenter
Assalam aleykoum
Nous voulons intervenir par rapport à la gestion de l’enseignement secondaire.
Nous avons particulièrement et seulement cinq points à évoquer :
1. Le choix des ministres ;
2 : Le choix des DREN ;
3 : Le choix des activités à réaliser ;
4 ; La gestion des inspecteurs pédagogiques ;
5 : La gestion du Bac.
Voyons ce que nous pensons :
1 : Le choix des ministres de l’éducation nationale.
Pourquoi faut-il nécessairement un quelqu’un qui n’est pas du domaine :
* des enseignants chercheurs ;
* des douaniers ;
* des postiers.
Et que sais – je encore !
Dans tout le pays on ne peut pas trouver un inspecteur du secondaire qui est en mesure de gérer la boîte ?
Si cela s’avère vrai alors c’est vraiment étonnant.
Une proposition : évitons une déification du diplôme de » doctorat ».
2 : Le choix des DREN
Aujourd’hui encore la politique bât son plein dans l’administration nigérienne. En effet dans certaines régions de notre pays, ne doit et ne peut être DREN qu’un natif de ladite région. Sinon…
3 : Le choix des activités à réaliser dans les IRESG
Je me demande si les inspecteurs pédagogiques sont associés dans le choix des activités à réaliser. Car si même on vous demande, c’est dans la nuit (la veill) qu’on vous balance un message pour vous instruire presque de faire des propositions de thèmes. * La réunion des chefs de service c’est pour le lendemain « .
Je me demande encore si les inspecteurs pédagogiques du secondaire ont le droit de participer à la rencontre d’élaboration du PRAA.
4 : La gestion des inspecteurs pédagogiques (IP)
Sans langue de bois, quelles activités réalisent les IP du secondaire ? Ce n’est un secret pour personne qu’actuellement même si l’IP du secondaire passe 45 jours sans aller au service ne cause aucun désagrément.
Les IP du secondaire sont-ils autorisés à concevoir ?
Je pose cette question à celui qui maîtrise la pratique et non le cadre théorique. – c’est à dire les contenus des simples Arrêtés.
5 : La gestion du Bac
C’est honteux. C’est vraiment honteux que pendant cette refondation les universités continuent à garder l’organisation du Bac. Surtout quand on sait que des enseignants chercheurs se plaignent après du volume de leur travail. * LE SECONDAIRE ENSEIGNE ET LE SUPÉRIEUR VA EN MISSION*